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Documents,
Analyses, Récits, Poèmes, ...
“ALONGI MOKILI”, UNE NOUVELLE
PERCEPTION DE LA DEUXIEME PERSONNE EN DIEU. Un virus ronge, depuis
belle lurette la chrétienté.
Il s’appelle CHRISTOMONISME.
Il consiste en une tendance à vouloir comprimer toute
la divinité en la personne de Jésus-Christ. Comme
il s’agit d’un produit de la théologie et,
aux yeux des moins attentifs, apparaît comme un donné
révélé, il s’ensuit que les développements
qui en découlent se voient attribuer le même caractère.
Tout point de vue étant un point d’aveuglement,
les voilà orienter la théologie plus vers la christologie
au détriment d’autres aspects comme la pneumatologie.
Or Dieu est trinitaire.
Donc : Père, Fils et
saint-Esprit. Et l’égalité
est l’une des caractéristiques de leurs personnes.
Ainsi ne sommes-nous pas surpris d’entendre
parler :
1º Du dogme de l’incarnation unique qui
amène certains à croire que la révélation
de Dieu est close à la mort du dernier apôtre.
2º De la considération
de l’Ancien Testament comme constituant la promesse
que le nouveau Testament, comme parlant de Jésus,
vient accomplir. Partant, certains n’hésitent
pas à brandir la caducité de l’Ancien
Testament par rapport au Nouveau Testament.
3º Ou de constater l’immobilité
devant le symbole de la croix ou la passion du Christ,une
sorte d’emprisonnement rappelant l’épisode
où les anges devaient intervenir pour amener
les apôtres à se ressaisir, éblouis
devant l’ascension du Christ.
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Pourtant, dans les milieux où ces
thèses sont soutenues, certaines voix se sont élevées
et s’élèvent pour ne pas taire la manifestation
de Dieu parmi eux.
Regain de conscience ou égoïsme (chez nous ça
va, ailleurs non) ? Nous laissons la question ouverte.
C’est le cas du mystère
de Fatima.
Selon le récit de ce mystère, Marie, la sainte
vierge et mère de Jésus est apparue à trois
enfants en 1917 au Portugal. Dans son bagage, un message pour
l’humanité. Ce message qui devrait être mis
á la portée de tous par la haute hiérarchie
catholique, a été finalement rendu public sous
le pontificat du Pape Jean Paul II par le canal de son secrétaire
en l’an 2000. Au moment où l’humanité
s’attendait à quelque chose de suspens pour avoir
tant attendu, quelle ne fut pas sa surprise d’apprendre
que le message faisait à peine allusion à l’attentat
perpétré contre le Pape Jean Paul II en 1981.
Comme Dieu est vraiment miséricordieux pour envoyer la
vierge aviser 64 ans à l’avance sur ce qui allait
survenir au plus grand voyageur des Papes ! Surprenant encore
le fait que l’attentat perpétré, le Pape
qui dormait à côté du message, devait attendre
19 ans pour permettre que cela soit rendu public au moment où,
selon la source à notre disposition, c’était
lui à rendre cela public.
Quand nous disons source à notre disposition, nous faisons
allusion à la revue «Zaire-Actualités»
qui, en 1991, s’était penché sur le mystère
de Fatima pour en dévoiler les secrets .
A en croire cette revue, la vierge est apparue réellement
à Fatima. Jusque-là, il n’y a pas de divergences.
La divergence vient quand cette revue soutient la version d’un
autre message où l’on pouvait lire : «Jésus
est né au nord de l’Angola»
; message que plusieurs papes évitèrent de publier
depuis 1960, année fixée pour la diffusion selon
toujours la revue. Partant, comprenez-y l’attitude du
pape Jean Paul II.
Quant á ce message, il nous intéresse non comme
fondement mais bien comme un appui. Car il n’est un secret
pour personne que l’Eglise Kimbanguiste ne célèbre
plus la fête de Noël en date du 25 décembre
mais a transféré cette fête pour la date
du 25 mai.
Car en cette date de l’an 1916, est né au Nord
de l’Angola, comprenez R.D.Congo c’est-à-dire
à N’kamba, papa DIALUNGANA KIANGANI qui en l’an
2000, a transmis à l’humanité ce que le
Pape jean Paul II a évité de dévoiler en
disant : « Ce Jésus
que vous cherchez, c’est moi Dialungana. Rendez ceci public
dans le monde entier… ».
Et pour dissiper tout scepticisme sur ces propos, les anges
en ont assuré l’authenticité en inspirant
le cantique « ALONGI MOKILI, il a vaincu le monde »
dont ci-après, donnons le contenu :
Lingala (original)
Bandimi ya Nkolo, boyoka likambo
N’ekuluzu Nkolo abatisama kala, kala asekuaki.
Baye baboyo kososola balobi ete
Kino lelo Nkolo azali kaka na ekuluzu.
Nzoka Nkolo Yesu wuta kala
Ye alongaki liwa na ye
Abotami lisusu kati ya Bas-Congo
Bana ya Congo babeleli NOEL.
Esengo elonga, alongisi bandimi
Mingi bawangani ye.
Mingi basosoli ete bakanisi ete akoya n’ekuluzu.
Mibu ntuku muambe na mitano asaleli kati ya Bas-Congo
Alongi mokili, alongi mokili
Alongi mokili, alongo mokili.
Malita ya basantu mamonani na Congo
tala elonga
Alongi mokili, alongi ! Alongi mokili, alongi !
Bofingami, botiolami mpe bosekami, nzoka
elonga
Alongi mokili, alongi ! Alongi mokili, alongi !
Batikeli bolingo, mibeko mpe misala
Alongi mokili, alongi ! Alongi mokili, alongi !
Yesu atikaki ekuluzu
asekui na ye, tala elonga
Alongi mokili, alongi ! Alongi mokili,alongi !
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Français ( traduction)
Les élus du Seigneur, écoutez
ceci :
Longtemps sur la croix, le Seigneur a été
cloué;
et depuis, est ressuscité.
Mais les insensés soutiennent que Christ,
jusqu'aujourd'hui, continue sur la croix.
Et pourtant, le Seigneur Jésus a vaincu sa
mort
renaissant dans le Bas-Congo;
occasion pour le peuple congolais de jubiler "Noël",
manifestation de joie pour cette victoire que
les chrétiens devraient reconnaître.
Mais beaucoup l'ont renié, prisonniers qu'ils
sont
De l’image de croix.
Durant les 85 ans qu'il a passé au Congo
:
Il a vaincu le monde ! Il a vaincu le monde !
Les vestiges des Saints viennent
d'apparaître
au Congo :
Il a vaincu le monde ! Il a vaincu le monde !
Tant d'injures, tant de moqueries
sans parler
d'humiliations et pourtant, c'est la victoire :
Il a vaincu le monde ! Il a vaincu le monde !
Il vous a laissé l'Amour
- la Loi - et les oeuvres :
Il a vaincu le monde ! Il a vaincu le monde !
Jésus a abandonné
la croix et est ressuscité, voilà
la victoire :
Il a vaincu le monde ! Il a vaincu le monde !
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KALEMBA MANZO
Constantino
Théologien
Lisbonne, Portugal, 26 février
2007
(1) Bavua ne Longo, «
Les secrets du Vatican dévoilés» in Zaïre
Actualités, bimensuel, 1991, page 7. |
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