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En ce 25 mai 2011, dans un élan fraternel, nous souhaitons à tous les kimbanguistes, éparpillés aux quatre coins du monde, un heureux et joyeux noel. Unis comme nous le sommes dans la foi en Papa DIALUNGANA KIANGANI, qu’il lui plaise de nous insuffler l’esprit de paix, de bien-être corporel, de discernement en tout temps et de la crainte de Dieu. Nous savons que « La gloire de Dieu c’est de cacher les choses… », Proverbes chap 25: v 2 et il appartient au Saint-Esprit de les révéler aux élus (Daniel chap 2: v 22). Que dit le cantique ? « Mbala liboso ayaki, mindele baniokolaki ye ; sik’oyo ayeyi lisusu, moyindo obosani na ye KIMBANGU molimo santu ». Traduisons: « La première fois que Papa Simon KIMBANGU est venu parmi nous, ce sont les blancs qui l’ont maltraité ; à présent qu’il est revenu, le noir ne veut pas reconnaître qu’il est le Saint-Esprit ». Qui est donc ce KIMBANGU qui est revenu pour la deuxième fois ? Tout véritable kimbanguiste le sait, il s’agit bien de Papa DIANGIENDA KUNTIMA. En bon père spirituel, il avait infirmé non seulement le 25 décembre comme date de naissance du Christ ; mais il avait aussi promis de nous dire le moment venu la date véridique de cet événement. En guise de remerciement, adressons-lui en ce 25 mai 2011 cette courte prière: « Je te loue Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants ». Matthieu chap 11: v 25. C’est-à-dire aux moins que rien que nous, kimbanguistes, avons toujours été aux yeux des chrétiens d’autres confessions. Ne demandez pas à papa César NGINAMAU: Pourquoi avait-il choisi d’appeler l’émission qu’il anime « Emission ya ba Zoba » ? Nous osons croire que vous avez tout compris.
Même si Papa DIANGIENDA KUNTIMA ne nous avait pas dit en public que Papa DIALUNGANA KIANGANI était véritablement Jésus-Christ, certains d’entre nous le savaient déjà grâce aux différents canaux de la révélation divine: visions, cantiques et messages de nos trois Papa. « Mpovi bukata: konso diambu ye ntangu’andi », disait si souvent Papa DIALUNGANA KIANGANI. Traduisons: « L’ecclésiaste avait dit: chaque chose a son temps ». Et, en attendant, il avait gardé par-devers soi cette bonne nouvelle. Même ceux des kimbanguistes qui se permettaient de l’appeler Papa « Bébé », n’ont point réussi à éventer le précieux secret. Parce que le moment où Papa DIALUNGANA KIANGANI devait se révéler n’était pas encore venu. Voilà que le 24 mai, à la veille du nouveau millénaire, il confirma enfin qu’il était réellement Jésus-Christ et il s’éclipsa aussitôt, avant même que le monde ne comprenne et ne réalise l’importance de cette révélation. N’ayons donc pas honte ni peur de dire à qui quiconque que, Papa DIALUNGANA KIANGANI est Jésus-Christ revenu au monde pour la seconde fois. En matière de foi, le plus important n’est pas de convaincre mais plutôt d’informer. Car il écrit dans Hébreux (chap 11: v 2) que : « la foi, c’est l’assurance des choses qu’on espère, la démonstration de celles qu’on ne peut voir ». Comment peut-on démontrer quelque chose que l’on espère ou que l’on ne voit pas ? Cela revient à dire que le principe fondamental de la foi, c’est croire pour comprendre et non comprendre pour croire. Donc, notre devoir consiste plus à informer qu’à convaincre. En plus, selon le niveau de raisonnement et le degré de foi de chacun, il est très difficile que l’on comprenne tous la même chose au même moment.
Voici donc quelques pistes de raisonnement qui peuvent nous aider à mieux canaliser et faire passer le message.
Primo. Le Christ devait revenir sous un nom nouveau (Apocalypse chap 3: v 12). Personne ne nous dira le contraire : DIALUNGANA qui signifie accomplissement est bel et bien son nouveau nom. Le même qui avait dit sur la croix que « tout est accompli », c’est également lui qui est revenu avec un nom moins familier ; mais qui nous rappelle néanmoins un épisode crucial de sa vie antérieure sur terre.
Secundo. A Fatima, petit village situé au centre de Portugal, trois pastoureaux (Lucia, Francesco et Jacintha) ont vu apparaître la vierge Marie le 13 mai 1917. Principale caractéristique : elle était noire de peau pendant les six apparitions successives. Si donc, la Sainte mère a pu se manifester telle quelle, il n’est pas exclu que le Christ naisse éventuellement dans la peau d’un noir. Et c’est justement le cas de Papa DIALUNGANA KIANGANI.
Tertio. Considérons Papa DIALUNGANA KIANGANI dans sa vieillesse, lisons ensuite attentivement dans ESAIE (chap 53, v 1-4) et là, nous nous rendons compte que ce portrait-là reflète bien sa personne, telle que nous l’avions connue. Surtout pendant les toutes dernières années de sa divine présence parmi nous.
A côté de ces pistes, nous avons également les cantiques inspirés par les anges, qui nous confirment la révélation selon laquelle Papa DIALUNGANA KIANGANI est le Seigneur Jésus-Christ. Mais c’est dommage que le don de la vision ne soit pas encore donnée à tout le monde, n’empêche qu’il y a quand même des kimbanguistes qui ont pu en avoir sur l’homme du 25 mai. A défaut de la prière universelle qu’il nous a léguée et qui n’est pas du tout caduque, ayons le courage et la volonté d’annoncer au monde haut et fort que : notre cher Papa DIALUNGANA KIANGANI est Jésus-Christ, que Papa Simon KIMBANGU (KIANGANI) est le Saint-Esprit et que la cité de Nkamba est la nouvelle Jérusalem. « Quiconque aura honte de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l’homme aussi aura honte de lui… » (Marc chap 8 : v 3), avait dit un jour le Seigneur Jésus-Christ. Donc, mieux vaut prévenir que guérir. Pour nous, la plus belle façon de célébrer allègrement le présent Noël, c’est de chanter tous ensemble ce merveilleux cantique kimbanguiste : « Nuizeno tuasanisina… Noel e e e…. DIALUNGANA wutukidi… Noel noele e … Muana Nzambi wutukidi… Noel e e e… Nuizeno tukembelela Noel noel e e e … ». Une fois de plus, heureux et joyeux noel à tous.