*** Index du Forum ***

Courant 1999, devisant entre kimbanguistes autour d’un repas dans l’intimité de la salle à manger, nous avons eu à aborder avant l’heure le volet de la succession au sein de l’E.J.C.S.K. Un de nos aînés qui avait une très bonne connaissance du kimbanguisme, nous tint à peu près ce langage: « Dans notre église, la succession est avant tout spirituelle. Mais, à ma connaissance, il y a très peu de chance que le prochain chef spirituel sorte parmi ceux des enfants de nos Papas, qui ont déjà eu à fouler le sol européen. Car, dans l’ensemble, non seulement ils ne connaissent pas le « Kinkulu » c’est-à-dire la tradition ancestrale telle quelle, mais surtout parce que nombreux d’entre eux sont devenus plus matérialistes que spirituels. Toutefois, au moment opportun, si l’on suit à la lettre la toute dernière volonté de papa DIALUNGANA KIANGANI, en principe tout devrait bien se passer ».

Ne voulant pas perdre son fil d’idées, il renchérit tout en mangeant: « mais, il y a de quoi être pessimiste, car certains descendants de papa Simon KIMBANGU ne cachent plus leurs nobles ambitions successorales, tout en se comportant comme des chefs spirituels bis. D’ailleurs, les plus déterminés se sont déjà positionnés en embuscade en Europe, en R.D.C, au Congo, en Angola… et ce, malgré la présence physique parmi nous de papa DIALUNGANA KIANGANI. N’ayant pas fait de longues études et n’ayant jamais habité la ville à l’instar de ses deux frères, on a l’impression que son autorité de chef spirituel est bafouée dans les coulisses; aussi bien par certains hauts membres du clergé que par la descendance elle-même ». Loin d’être une simple impression, cette triste constatation fut confirmée par les « maniongo ma tata Mfumu’a mbanza » (les regrets du chef de la cité sainte) ainsi que par quelques cantiques kimbanguistes, à travers lesquels papa DIALUNGANA KIANGANI se plaint de ne pas être obéi parce qu’il n’a pas été à l’école.

Pendant que nous l’écoutions religieusement, notre fameux aîné poursuivit sa profonde et pertinente analyse en ces termes : « Dans un proche avenir, je ne vois que deux possibilités : soit un chef spirituel tout seul, soit un chef spirituel assisté de deux adjoints, comme c’était le cas avec nos trois Papas. Souhaitons vivement que l’une ou l’autre de ces options fassent l’unanimité au sein même de la descendance ; au cas contraire, il faut s’attendre en perspective à une bataille successorale qui, risquera de déboucher sur un schisme. Nous ne le souhaitons pas mais ne voilons non plus la face ».

Ce jour-là, après notre séparation, sur le chemin du retour, nous nous posions à nous-mêmes ces questions : Est-ce que notre aîné ne délirait-il pas ? N’était-il pas allé trop loin dans son analyse de la situation ? Imaginer un éventuel schisme au sein de l’E.J.C.S.K n’était-ce pas une vraie utopie ? Mais, en observant les faits et gestes de certains de nos frères de la descendance, nous nous sommes très vite rendu compte qu’il n’avait pas totalement tort.

La suite, nous la connaissons. Le 26 août 2001, au lieu de présenter aux fidèles kimbanguistes un chef spirituel tout court ou un chef spirituel avec deux adjoints, la descendance (autoproclamée 26=1) avait plutôt opté pour une chefferie spirituelle à 26 têtes, c’est-à-dire un chef spirituel avec 25 adjoints. Or, avec ce pléthore de chefs qui estimaient avoir tous, de par le sang de leur grand-père, les mêmes pouvoirs spirituels et la même légitimité pour diriger ; il est clair que l’église kimbanguiste ne pouvait que courir un sérieux risque de séparation. Pris de court et mis devant le fait accompli, ce jour-là, le grand clergé n’a eu d’autre choix que d’approuver, afin de ne pas gâcher l’esprit de la fête. Mais, cette unité de façade et de circonstance n’a malheureusement pas pu enterrer l’égotisme de certains. Très vite, les choses se sont compliquées d’elles-mêmes au sein du fameux « 26=1 »; car, en vérité, l’église du Saint-Esprit ne peut être dirigée par 26 individus. Qu’ils soient petits-fils de papa Simon KIMBANGU ou pas, Cela est humainement chose impossible.

Dès lors, depuis le début cette lourde mission, dont les « 26=1 » s’étaient eux-mêmes investis, ne pouvait être matériellement et spirituellement que vouée à l’échec ; parce que la toute dernière volonté de papa DIALUNGANA KIANGANI (un chef spirituel plus deux adjoints) avait été consciemment ignorée au profit d’un simple compromis. Cet arrangement entre petits-fils qui élevait illégalement chacun d’eux au rang de chef spirituel présumé, était un acte public de désobéissance caractérisée vis-à-vis de nos trois Papas, et portait donc en soi les germes d’une désunion annoncée. Car, « on ne se moque pas de Dieu » et, selon papa DIANGIENDA KUNTIMA, « aucun mensonge ne peut devenir vérité ».

Ainsi donc, pendant une année durant, multipliant à la fois les impairs (culte générale du 17 mars 2002 à Bruxelles) et les inepties (répartition listée de compétences administratives entre les 26), la « coalition 26=1 » n’a pas tardé à montrer ses propres limites. D’où, la décision du nouveau chef spirituel papa Simon KIMBANGU KIANGANI de convoquer en octobre 2002 à Nkamba une assemblée générale de l’église, afin de faire le bilan sur le fonctionnement périodique de l’E.J.C.S.K après la disparition de papa DIALUNGANA KIANGANI.

Connaissant la ferme volonté de ce dernier au sujet de la succession, conscient surtout du fait que « 26=1 » n’avait rien à voir avec la révélation divine et que cette formule inappropriée était de très loin incompatible avec les textes réglementaires, le grand clergé a donc décidé à l’issue de cette importante assemblée générale que l’église kimbanguiste n’aura qu’un seul chef spirituel et que les 25 autres petits-fils de papa Simon KIMBANGU seront ses conseillers. Leur rôle principal: assister et aider le chef spirituel à bien accomplir sa mission ; tout en le représentant à sa demande partout où besoin sera.

Contestant cette résolution, 19 d’entre eux ont préféré quitté l’église kimbanguiste et ont créé une structure parallèle, où ils jouissent aujourd’hui pleinement de leur statut de chefs spirituels. Les 7 autres ont accepté de bon cœur d’être de simples conseillers auprès de l’actuel chef spirituel papa Simon KIMBANGU KIANGANI. C’est dans ce contexte qu’est apparu les appartenances codées « 3=1 » et « 26=1 ». L’église kimbanguiste toute entière, dont le siège est à Nkamba et qui a pour chef spirituel son éminence papa Simon KIMBANGU KIANGANI, se reconnait dans « 3=1 » selon le principe que Dieu est en trois personnes. Par contre, les ex-kimbanguistes qui ont quitté l’église, en même temps que les 19 petits-fils de papa Simon KIMBANGU, se retrouvent dans « 26=1 » par référence aux 26 chefs spirituels autoproclamés le 26 août 2001.

Depuis lors, une certaine confusion règne dans l’esprit de nombreux non kimbanguistes, qui ne savent plus qui est qui, qui fait quoi, qui dépend de Nkamba et qui n’en dépend pas. Nombreux ont même l’amère impression que le kimbanguisme s’est en quelque sorte dévoyé, c’est-à-dire qu’il est sorti du droit chemin. Le moins que l’on puisse dire, c’est que « les hommes passent et les institutions restent ». Tant que l’église kimbanguiste aura à sa tête un chef spirituel désigné par révélation divine _ ce qui est le cas pour papa Simon KIMBANGU KIANGANI _ il n’y a aucun intérêt de parler de dévoiement, d’hérésie ou de déviationnisme. Tant que Nkamba et ses attributs (Mausolée de Papa Simon KIMBANGU, temple, source sacrée…) resteront au cœur du kimbanguisme, il n’y a aucune raison de se poser mille et une questions. A partir du moment où l’action et le verbe du chef spirituel actuel s’inscrivent dans le droit fil de l’accomplissement des promesses de nos trois Papas, on ne peut qu’affirmer que le kimbanguisme n’a en rien été dénaturé.

Malgré le schisme consécutif à la succession de papa DIALUNGANA KIANGANI Salomon, deuxième fils de Papa Simon KIMBANGU et dernier chef spirituel historique du kimbanguisme, l’E.J.C.S.K poursuit sous l’impulsion du Saint-Esprit la mission de repentance et du salut confiée jadis par Jésus-Christ à Papa Simon KIMBANGU ; dont la finalité est de parachever en cette quatrième génération le plan initial de Dieu, en faveur de l’homme en général et de l’homme noir en particulier.

Ce schisme, prédit dès 1963 par papa DIANGIENDA KUNTIMA et que l’on savait tout à fait inéluctable, a emporté avec lui une infime partie de fidèles ; mais a aussi permis aux kimbanguistes de découvrir la vraie personnalité de papa Simon KIMBANGU KIANGANI, petit-fils de papa Simon KIMBANGU, qui s’est par la suite révélé être son incarnation. En vérité, c’est lui qui a façonné et divulgué le « signe de la Sainte trinité », c’est-à-dire le geste de la main par lequel les kimbanguistes expliquent que « Dieu est un » mais il se manifeste en trois personnes distinctes. Depuis, « 3=1 » est devenu au sein de l’église kimbanguiste plus qu’un slogan qui traduit par une petite mime la réalité transcendante de la Sainte trinité: Père, Fils et Saint-Esprit.

La mime du symbole « 3=1 » ne date pas d’aujourd’hui. C’est un vieux geste des années 80 que papa Simon KIMBANGU KIANGANI a tout juste réactualisé au gré des circonstances, parce que le moment était venu pour que tous les kimbanguistes en comprennent le sens et la signification. En effet, c’est à Brazzaville où il avait jadis l’habitude de séjourner, que papa « Siros » fit pour la première fois ce geste de la main « 3=1 ». Par mimétisme, au centre d’accueil du plateau des 15 ans, les fidèles en firent une fois une petite démonstration à papa DIANGIENDA KUNTIMA lors d’un séjour sur place à Brazzaville. Désagréablement surpris par cette découverte, il la désapprouva afin de préserver le précieux secret qui s’y attachait. A partir de ce moment-là, plus personne ne récidiva avec ce geste, jusqu’à ce que lui-même papa Simon KIMBANGU KIANGANI le refit à partir de 2003 en sa qualité de chef spirituel.

Quoiqu’en disent ses détracteurs, « 3=1 » a bien un fondement biblique. En effet, dans la sainte trinité, il y a bien le chiffre 3 et le chiffre 1 ; c’est-à-dire un seul Dieu qui s’affiche en trois personnes distinctes : le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Nous kimbanguistes avions eu la chance de vivre cette démonstration mathématique sur le plan humain. En tant que Saint-Esprit, papa Simon KIMBANGU symbolisait seul l’unicité de Dieu ; tandis que ses trois fils (papa KISOLOKELE, papa DIALUNGANA et papa DIANGIENDA) symbolisaient tous les trois la Sainte trinité ou Dieu en trois personnes. Et, tous les kimbanguistes qui ont compris cela, n’ont aucun mal à admettre que l’actuel chef spirituel n’est autre que la réincarnation du Saint-Esprit, c’est-à-dire « Simon KIMBANGU » en personne. Que ceux qui veulent en savoir plus, lisent ou relisent dans ce forum : « Pourquoi et comment papa Simon KIMBANGU KIANGANI se révèle être le Saint-Esprit » ? Toujours est-il que la sainte bible ne manque pas de références sur le chiffre 3, ce qui confirme très bien le caractère trinitaire de Dieu : Exode 19 : 15 ; 1 Rois 17 : 21 ; Daniel 6 : 11 ; Actes 10 : 11-16… Mais, loin de tout cet éventail du chiffre 3, les allusions de Jésus-Christ lui-même et de l’apôtre Paul (Matthieu 28 : 19 et 1 Corinthiens 12 : 4) à la Sainte trinité ont naturellement valeur de preuves.

Si Dieu n’était pas en trois personnes distinctes, le symbole « 3=1 » n’aurait peut-être pas de signification ni de sens particuliers pour les kimbanguistes. Or, Papa Simon KIMBANGU et ses trois fils nous ont aidés à le comprendre, d’autant plus que l’histoire du kimbanguisme est plein de chiffres 3 ; y compris dans les cantiques et messages de nos trois papas. Afin de ne pas inventorier ici tous les cantiques qui font allusion au chiffre 3, nous n’allons en citer qu’un seul : « Ku zulu kakuena mfumu zazingi ko : Tata, Muana ye Muanda velela… ». C’est-à-dire que « Au ciel il n’y a que trois souverains : le Père, le Fils et le Saint-Esprit ». Ce sont les trois qui forment ce qu’on appelle la Sainte trinité.

Pour ce qui est des messages de nos trois papas, nous en avons retenu seulement trois, dans lesquelles papa DIANGIENDA KUNTIMA fait clairement référence au chiffre 3. Le premier, c’est celui du 02 janvier 1992 où il annonce sa mort et celle de ses frères, en citant nommément leurs trois noms. Le deuxième date du 18 mars 1980 et fut délivré aux kimbanguistes de Matadi. Evoquant la question de sa succession, papa DIANGIENDA KUNTIMA affirme que celle-ci a déjà été réglée par le bon Dieu. Là aussi, il cite nommément en passant leurs trois noms selon le droit d’aînesse. Dans le troisième, dont on n’a pas pu retrouver la date exacte, papa DIANGIENDA KUNTIMA dira à propos de son père que : « papa Simon KIMBANGU atikaka bato misato kati na mokili ». C’est-à-dire que « papa Simon KIMBANGU avait laissé ici-bas sur terre trois personnes ». On n’a pas besoin de philosopher là-dessus pour comprendre qu’il parlait simplement de lui-même et de ses deux frères.

S’agissant toujours du chiffre 3, il sied de rappeler que la toiture du temple de Nkamba s’étale sur trois niveaux, ce qui symbolise bien en ce lieu saint la présence spirituelle permanente de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit. D’où, le fameux slogan : « Nkamba oyé… Ku kundanga Tata Nzambi, Mfumu Yisu ye Tata Muanda Velela ». C’est-à-dire que « Nkamba c’est l’endroit où résident à la fois le Père, le Fils et le Saint-Esprit ».
Tous ceux qui ont déjà eu la chance d’aller en pèlerinage à Nkamba, ont certainement pu remarquer que la cité sainte kimbanguiste s’éveille dès 3 h du matin, au rythme de la parade. A partir de cette heure-là, la chorale « Yeluselemi » accomplit chaque jour trois tours du temple, suivie aussitôt à 5h par la FA.KI ainsi que la FLU.KI qui font pareil, entraînant derrière elles de nombreux fidèles. Ces trois tours autour du temple sont effectivement dédiées au Père, au Fils et au Saint-Esprit.
En 1966, lors de l’inauguration du temple kimbanguiste de Matete, (l’une 24 communes de Kinshasa), le chef spirituel de l’E.J.C.S.K papa DIANGIENDA KUNTIMA y avait convié le jeune président Joseph Désiré Mobutu. Ce dernier avait répondu positivement à l’invitation, honorant ainsi l’église kimbanguiste de sa présence. Avant de couper le ruban symbolique, papa DIANGIENDA KUNTIMA et son illustre hôte firent trois tours du temple. L’inauguration proprement dite n’a pu se faire qu’après cela. Là encore, on retrouve une fois de plus le fameux chiffre 3, symbole-phare de la Sainte trinité.

Dans le même contexte du chiffre 3, nous tenons aussi à signaler qu’au sein de l’église kimbanguiste, la liturgie veut que la prière dominicale ou circonstancielle d’intercession soit dite à tour de rôle par trois fidèles, choisis par le pasteur officiant. De même que pendant la retraite spirituelle, le jeûne dure en principe trois jours. Tout fidèle est en principe tenu de s’y conformer, mais pour diverses motifs on peut jeûner exceptionnellement pendant un ou deux jours au lieu de 3. Toutefois, on ne saurait passer sous silence le fait que le chef spirituel a l’habitude d’envoyer les pèlerins, kimbanguistes et non kimbanguistes, d’aller se « laver » dans la source sacrée. La tradition veut qu’on y plonge trois de suite, après avoir fait au préalable une courte prière d’usage au nom de la Sainte trinité : Père, Fils et Saint-Esprit.

A ce sujet, qu’il s’agisse de la sainte bible, de la théologie et de la liturgie kimbanguistes, on peut sans cesse multiplier les exemples jusqu’à l’infini. Si nous avons rétrospectivement débuté par les non-dits de la succession, c’était pour pouvoir essayer de mieux expliquer comment nous en sommes arrivés au schisme. Bien sûr que tout cela avait été prédit par papa DIANGIENDA KUNTIMA plusieurs décennies auparavant, mais n’empêche que Jésus-Christ avait déclaré à propos de sa trahison que : « Le fils de l’homme s’en va, selon ce qui est déterminé ; mais malheur à cet homme-là par qui il est livré ». (Voir Luc 22 : 23). Tirez-en vous-mêmes la conclusion qui convient. On le sait, beaucoup d’assemblées chrétiennes et de groupes de prière ont pour principal objectif de combattre le Saint-Esprit, et cela est loin d’être pour nous une surprise. Par contre, avec ce schisme, on a été tout au moins étonné par la façon dont papa Simon KIMBANGU KIANGANI a été injurié et humilié de front, au vu et au su de tous. En ce qui nous concerne personnellement, nous en tirons un vrai motif de satisfaction, parce que lui-même avait dit qu’il faut bien qu’il en soit ainsi, afin que « l’échéance soit écourtée ».

Mais, en réalité, ce qui a provoqué ce déferlement de colère et de haine envers papa Simon KIMBANGU KIANGANI, c’est le fait qu’il se soit révélé être l’authentique incarnation de son grand-père papa Simon KIMBANGU. Soucieux d’aider les kimbanguistes que nous sommes à bien intérioriser cette vérité, il avait donc tenu à simplifier les choses en nous l’apprenant sous forme de mime. C’est ainsi que dès 2003, au cours de la partie sociale, la plupart des kimbanguistes ne manquaient pas de faire le signe de la Sainte trinité « 3=1 ». Par ce petit geste simple, papa Simon KIMBANGU KIANGANI confirmait ainsi l’enseignement de papa DIANGIENDA KUNTIMA, selon lequel Dieu est réellement en trois personnes. La bible elle-même nous donne la preuve avec l’incarnation du Père en Melchisedek (Hébreux 7 :1-3), du Fils en Jésus-Christ (Jean 1 : 14-17) et du Saint-Esprit en papa Simon KIMBANGU (cantiques inspirés kimbanguistes et messages de nos trois papas). Par le même geste, papa Simon KIMBANGU KIANGANI confirme effectivement que son grand-père papa Simon KIMBANGU, son père papa DIANGIENDA KUNTIMA et lui-même sont matériellement trois personnes différentes ; mais sur le plan spirituel tous les trois ne font qu’une seule et même personne. Par le geste en question, papa Simon KIMBANGU KIANGANI nous fait comprendre aussi qu’il représente spirituellement nos trois papas et qu’il a reçu d’eux la délicate mission d’accomplir matériellement les promesses qu’ils nous ont faites. Aussi vrai que Dieu est le même hier et aujourd’hui ; 3=1 aussi restera toujours 3=1 et ne changera jamais.