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DU RESPECT ENVERS LE CHEF SPIRITUEL, SIMON KIMBANGU KIANGANI!!


Posséder une foi translucide n’équivaut pas à affirmer qu’il est permis de certifier que l’on peut percevoir ce que dissimule le jardin secret de notre âme. Nous vivons dans le concret, mais nous ne pouvons cerner l’abstrait. Ce qui fait que bien souvent, nous sommes perdus entre ces deux limites qui possèdent chacune une profondeur pénétrante.

En matière de religion et quel que soit le degré d’instruction acquis, nul ne devrait se targuer, ni se pavaner, ni prétendre être mieux, voire plus outillé que les autres car, devant Dieu, nous sommes tous des apprentis-chrétiens. Aussi, brandir tout un panneau de connaissances qui sonnent creux ou qui frisent l’absurdité, devant la logique et la raison est une pure perte de temps, quand l’œuvre colossale du Saint-Esprit ne demande qu’à s’épanouir et à se répandre en une gerbe de lumière divine sur le monde.

C’est pourquoi, confortés dans un droit légitime et une liberté de penser que l’on ne saurait nous contester, nous nous insurgeons fermement contre le fait établi qu’une tendance dépourvue de finesse, d’élégance pousse d’aucuns à se servir du net pour le transformer en un vide-ordures destiné à vilipender haineusement sa sainteté, le Chef Spirituel Simon KIMBANGU KIANGANI et ses très proches collaborateurs. L’internet, dans sa conception, est technologiquement avancé parce qu’il est un puissant moteur de recherche dans les domaines les plus variés ; il est, par excellence, un moderne et sophistiqué atout pour tout travail exécuté par son canal ; il constitue un moyen de communication efficace et nettement appréciable. Alors, lorsque l’on s’en sert pour émettre des aboiements qui provoquent un tintamarre se perdant dans un écho décroissant, on dévalorise ce système d’exploitation !

Face aux vagues de divergences d’opinions, de protestations qui déferlent intempestivement sur le net, nous nous référons à la bienséance qui a instauré au sein de la société des hommes, des limites qu’il ne faut pas outrepasser. Mais lorsqu’on en enjambe les bornes, on verse dans l’insipidité et la vulgarité qui étouffent l’estime que l’on peut inspirer à autrui.

La sainteté de sa Divinité Simon KIMBAGU KIANGANI est totalement au-dessus de toutes les déconsidérations que sa personne peut inspirer à ses détracteurs. Son prestige suprême n’est nullement ébranlé par le jet de grosses pierres qui sont lancées vers lui et qui, en tombant ne troublent pas la limpidité de la source de survie qu’il représente. Il est l’abreuvoir dans lequel viendront se désaltérer toutes les Nations. Si, nombreux ne lui reconnaissent pas cette puissance qu’est la sienne, qu’ils gardent leurs désapprobations pour eux. A chacun ses propres convictions, dans le respect le plus absolu de l’un envers l’autre.

Dans une démesure indicible, on s’obstine à clouer le Chef Spirituel sur la croix de la diffamation la plus sordide. Cette entité inégalable de l’Eglise est hors d’atteinte des attaques, ni des coups bas de toutes sortes dirigés contre lui. La déférence qui lui est due est légitime, alors stop, aux indélicatesses commises à son endroit !! Les égards que lui confère sa grandeur doivent lui être rendus avec noblesse. La respectabilité dont on est tenu de faire montre vis-à-vis de lui est fortement de rigueur. Nous soulignons, à cet effet, que publier ex abrupto sur le net, des propos médisants sur la personnalité sublime qu’il incarne est un recours dépourvu de classe qui ne dessert que les auteurs de tels actes !

Celui qui est conspué aujourd’hui sur tous les tons, affiche une royale sagesse et sa parole est l’unique vérité. Simon KIMBANGU KIANGANI : Saint-Esprit, il est ; Saint-Esprit, il demeurera, aux siècles des siècles !

Il est là pour combler toutes nos attentes, tous nos besoins, selon les richesses de sa gloire. Il est puissance, pour quiconque croit en lui. C’est pourquoi, dans un cantique de louange chanté avec brio par le GTKI de Talangaï à Brazzaville, il nous dit avec simplicité : « Faites-moi confiance ! ».

Hélène Gisèle BOUKOU
(Preski-Rennes)