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Depuis le 13 novembre
2005, la communauté kimbanguiste de la ville Rennes,
en France, a un lieu de culte Article
de Gisèle Hélène BOUKOU
Rennes, 25.12.2005
Après l’assemblée générale
extraordinaire qui s’était tenue à Nkamba
- Jérusalem, du 7 au 21 octobre 2002, la publication
des « Résolutions » avait engendré
bien de controverses au sein de l’Eglise Kimbanguiste.
Les réformes envisagées à l’issue
des assisses avaient dérangé plus d’un à
l’époque et continuent à susciter encore
aujourd’hui moult polémiques.
C’est ainsi qu’à Rennes, lorsque la question
de la lecture des « résolutions » avait été
évoquée, un mur d’incompréhension
s’était systématiquement érigé
entre les fidèles de la paroisse. Pendant que les uns
avaient accepté de se conformer au mot d’ordre
général émanant de Nkamba, les autres,
le trouvant avilissant, repoussèrent tout en bloc. En
conséquence, les résolutions ne furent jamais
lues !
Une scission nette et sans appel naquit ce jour-là, le
16 février 2003, au sein de la communauté kimbanguiste
de Rennes, puis amenant ceux qui avaient opté d’obéir
à Papa Simon Kimbangu Kiangani à quitter définitivement
la paroisse de Saint Marc à Rennes.
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Après
une longue période d’hibernation, les chrétiens
kimbanguistes de Rennes, qui sont fidèlement restés
alignés derrière l’actuel Chef Spirituel
de l’Eglise Kimbanguiste, ont enfin trouvé
un local ou ils ont pu reprendre leurs activités
religieuses depuis le dimanche 13 novembre 2005.
Mais surtout, fiers et heureux d’avoir l’opportunité
d’accomplir un devoir primordial qui leur incombait,
le document des "résolutions" a été
lu, page après page, le dimanche 19 novembre 2005,
scellant ainsi par cet acte, leur engagement indéfectible
vis-à-vis du Chef Suprême de l’Eglise
Kimbanguiste.
Que les jours à venir soient gorgés de promesses
de fraternité dans une communion de foi exemplaire.
Par BOUKOU Hélène
Gisèle, AFKI
RENNES |
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