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Nkamba Nouvelle Jérusalem,
la merveilleuse Cité de Dieu
La Cité Sainte de Nkamba Nouvelle Jérusalem
est l’endroit où sont nés Papa Simon Kimbangu
et ses trois fils, Papa Kisolokele Lukelo Charles, Papa Dialungana
Kiangani Salomon et Papa Diangienda Kuntima Joseph. Nkamba
Jérusalem est située au cœur de l'Afrique,
au sud du Congo -Kinshasa, tout juste au Nord de l'Angola
et non loin du Congo-Brazzaville. Nkamba Jérusalem,
est localisée dans la province du Bas-Congo, district
des Cataractes, territoire de Mbanza Ngungu, secteur de Ntimansi.
La zone de Nkamba est régie par la décision
No 23/CS/EK/95, du 10 juin 1995, de S.E. Dialungana Kiangani
Salomon.
Selon certaines statistiques récentes, Nkamba Jérusalem
comprend près de dix sections ecclésiales et
administratives, composées de 44 communautés
de base dont près de 245 villages qui comptent environs
200.000 habitants.
La Cité sainte de Nkamba Jérusalem
est entourée de plusieurs collines et de huit communautés
de base qui sont: Weno, Camp- Fuma, Camp-Maçons, Kilo
regroupant le Camp-Professeurs et le Collège Kisolokele
Lukelo Charles, Mitinu (La Maison des rois), Kipaku, Ngombe-Kinsuka
et la récente cité résidentielle de Nkendolo.
Placée entre les trois Kongos (Congo /Brazzaville,
Congo/Kinshasa et Angola), la cité sainte de Nkamba
Nouvelle Jérusalem est le siège spirituel universel
de l'église Kimbanguiste.
Dans la vision de l’Eglise Kimbanguiste universelle,
le statut international de Nkamba- Nouvelle Jérusalem
est dores et déjà une impérieuse nécessité.
Dans ce cadre, Nkamba Nouvelle Jérusalem devra être
une cité urbaine dotée d’infrastructures
dignes de la confiance des Chrétiens et des pèlerins
du monde entier qui viennent en masse, chaque année
pour visiter les différents sites spirituels et historiques
de cette Cité sainte au cœur de l’Afrique.
Nkamba Jérusalem est devenue effectivement une cité
cosmopolite des citoyens de la planète qui y viennent
pour adorer et célébrer Dieu. Dans ce contexte,
la construction de la Nouvelle Jérusalem est une priorité
absolue, et c’est pourquoi plusieurs travaux s’y
déroulent en permanence. La contribution de chaque
enfant de Dieu est vivement souhaitée. Du point de
vue économique, Nkamba Jérusalem est assurément
un immense trésor pour la nation congolaise, car à
l’avenir et en temps opportun, cette cité de
Dieu pourra drainer beaucoup plus de monde qu’ailleurs.
La Nouvelle Jérusalem est la concrétisation
de la promesse divine, suite à la récidive de
la désobéissance exacerbée des enfants
d'Israël vis à vis de leur Dieu. Le Christ avait
alors dit aux pharisiens que " le Royaume de Dieu vous
sera enlevé et donné à un peuple qui
en produira des fruits" (Matthieu 21:43). En choisissant
Papa Simon Kimbangu pour poursuivre son oeuvre, le Christ
avait révélé à son Envoyé
Spécial que Nkamba est la Nouvelle Jérusalem,
la cité de Dieu. Quand on aime sincèrement cette
cité dans la foi, on y découvre des secrets
et des mystères qui confirment que Nkamba Nouvelle
Jérusalem est une promesse divine :
1. La Vision biblique d’Ezekiel
(Ezék.47: 1-12)
Quatorze ans, jour pour jour après la chute de Jérusalem,
le prophète Ezékiel eut une vision du temple
futur. Transporté sur une haute montagne par la puissance
du Seigneur, il vit sur le versant sud un groupe de constructions
ayant l’aspect d’une ville. De là, un homme
ayant l’aspect de bronze lui montra les différents
éléments du temple futur de la Nouvelle Jérusalem
(Ezék.40: 1- 4).
Dans ce cadre, Ezékiel vit également l’ensemble
du territoire tout autour du futur temple, notamment la source
du temple (Ezék.47: 1-12).
Faisons quelques commentaires sur la vision relative à
la source du temple:
Les recherches sur le terrain ont montré une similitude
extraordinaire entre la vision d’Ezékiel (47:
1-12) et la réalité actuelle à
Nkamba Nouvelle Jérusalem.
Après une lecture attentive de cette vision dans la
sainte Bible, nous l’examinerons, ensuite pas à
pas. Lisons d’abord cette vision biblique :
La source du temple
« L’homme me ramena à l’entrée
du temple. Je vis alors que de l’eau jaillissait
de dessous l’entrée vers l’est;
la façade du temple était en effet
orientée vers l’est. L’eau s’écoulait
du coté sud du temple puis passait au sud
de l’autel. L’homme me fit sortir de
l’autel par la porte nord et m’en fit
contourner l’extérieur jusqu’à
la porte orientale. L’eau s’écoulait
au sud de cette porte. Il s’avança
vers l’est; il tenait une cordelette avec
laquelle il mesura cinq cent mètres dans
cette direction. Puis il me fit traverser l’eau:
elle m’arrivait aux chevilles. Il mesura encore
cinq cent mètres et me fit traverser l’eau:
elle m’arrivait aux genoux. Au bout de des
cinq cent mètres suivants, il me fit de nouveau
traverser l’eau: cette fois-ci, elle m’arrivait
à la taille.
Il mesura une dernière fois cinq cent mètres,
mais je ne pus plus traverser l’eau, tellement
son niveau était monté. C’était
maintenant un torrent qu’on ne pouvait passer
qu’à la nage. Il me dit : As-tu bien
regardé Ezékiel ?
Il m’amena un moment à l’écart
puis me ramena au bord du torrent. Je constatai
alors qu’il y avait de nombreux arbres sur
chaque rive. L’homme me dit :
Ce torrent se dirige vers l’est du pays, il
descend la vallée du Jourdain et débouche
dans la mer morte. Lorsqu’il parvient à
la mer, il en renouvelle l’eau, qui devient
saine. Des êtres de toute espèce se
mettront à grouiller et les poissons se multiplieront
partout où le torrent arrivera. Il assainira
la mer et là où il se déversera,
il apportera avec lui la vie.
Dorénavant, depuis En-Guédi jusqu’à
En- Eglaim, il y aura des pêcheurs qui mettront
leurs à sécher sur les bords de la
mer. On y trouvera autant d’espèces
de poissons que dans la mer Méditerranée.
Cependant les marais et les lagunes de son littoral
ne seront pas assainis, on les gardera comme réserves
de sel. Sur chaque rive du torrent, des arbres fruitiers
de toutes sortes pousseront. Leur feuillage ne se
flétrira jamais et ils produiront sans cesse
des fruits. Ils donneront chaque mois une nouvelle
récolte, car ils sont arrosés par
l’eau provenant du sanctuaire. On utilisera
leurs fruits comme nourriture et leurs feuilles
comme remèdes ».
Commentaires :
La Nouvelle Jérusalem est placée sur
une colline verdoyante. Au bas de cette colline,
certaines sources d’eau coulent tranquillement,
depuis les entrailles de la colline. Pour bien s’en
rendre compte il faudrait visiter ces lieux de plus
près, afin de mieux s’orienter à
partir du Temple bâti en haut de la colline.
Notre raisonnement sera en partie imagé dans
la mémoire et les distances sur le terrain
seront approximatives. Compte tenu de l’emplacement
du Mausolée, cette façade-Est du Temple
a toujours été la plus fréquentée.
Quand nous sommes au Temple, à Nkamba Nouvelle
Jérusalem, nous ne pouvons pas voir directement
les sources d’eau couler, à cause de
la forêt d’arbres touffus qui couvre
toute la colline de Nkamba Jérusalem. Cependant
après la visite des lieux au bas de la colline,
nous pouvons bien nous orienter et savoir que l’eau
jaillit effectivement de dessous l’entrée
est, un peu en avant vers l’est. La façade
du temple de Nkamba ( coté Mausolée)
est orientée à l’est. L’eau
s’écoule du coté sud du temple,
puis passe au sud de l’autel. Notons que,
lorsqu’on prêche à l’autel
du Temple de Nkamba, on est face au sud et le dos
tourné au nord.
Ainsi, en se plaçant à la porte orientale,
l’eau coule au sud de cette porte, mais au
bas de la colline (direction Ngombe Kinsuka). Le
temple de Nkamba a quatre sorties principales, comme
les points cardinaux (Nord, Sud, Est et Ouest).
De la porte Est ( face au Mausolée) à
la source d’eau bénite, cela pourrait
faire environs 500 m de long. « L’eau
traversée» qui arrivait aux chevilles,
est le petit ruisseau qui coule à partir
de la source d’eau bénite, vers les
champs de riz inondé de Papa Mbenza André.
Les mesures (500 m.) et les traversées successives
pourraient correspondre à l’état
de la source d’eau bénite depuis 1921
jusqu’alors: en 1921 l’eau bénite
de la source était au niveau des chevilles,
vers 1940 cette eau était au niveau des genoux,
vers 1960 cette eau arriva au niveau de la taille
et après les années 1970 - 1980, le
site ne pouvait être traversé qu’à
la nage car l’étendue d’eau était
devenue large et profonde. Cette eau bénite
est actuellement très poissonneuse. On peut
effectivement y voir des poissons de toutes espèces.
Tout autour de cette eau bénite, il y a des
arbres fruitiers, des herbes et feuilles médicinales
qui servent à la vie des populations.
Si l’on prend l’autre possibilité
de mesurer progressivement l’eau du ruisseau
à partir de la source bénite jusqu’au
fleuve Congo, on aura aussi une interprétation
plausible et fondée de la vision d’Ezékiel.
C’est cette dernière variante que nous
examinerons.
A chaque distance de 500 mètres environs,
en effet, ce ruisseau devient de plus en plus grand
et profond, pour se transformer en torrent, exactement
comme décrit dans la vision d’Ezékiel.
On peut aussi facilement remarquer que sur chaque
rive du ruisseau, il y a effectivement de très
nombreux arbres. Le ruisseau dont nous parlons se
dirige vers l’est, se faufilant à travers
vallées et collines, pour se jeter dans le
fleuve Congo qui lui même se jette dans l’océan
Atlantique. L’auteur de ces lignes avait plusieurs
fois parcouru ce trajet en véhicule et à
pieds, depuis Nkamba jusqu’au fleuve Congo
et avait observé cette situation étrange,
comparable à la vision d’Ezékiel.
Pour l’interprétation de la suite du
texte biblique (Ezék.47: 8-11), nous avons
considéré le fleuve Congo comme l’image
de la mer morte, évoquée dans la Bible.
Ainsi, là où le ruisseau, devenu torrent,
se jette dans le fleuve Congo, il y a des villages
de pêcheurs dont la vie dépend de l’agriculture,
de la pêche et la chasse (Ezék.47:
9). Ces pêcheurs utilisent souvent des filets
que l’on peut voir sécher au soleil,
sur la rive du fleuve Congo. Certains font la pêche
à la ligne (Ezék.47: 10). Les chasseurs
peuvent trouver du gibier dans les forêts
et les savanes environnantes. Chaque jour, on peut
y acheter diverses espèces de poissons frais,
grillés ou fumés. Nous y avions, nous-mêmes
souvent acheté du bon poisson grillé
et fumé.
Ainsi, cet endroit apporte la vie aux habitants
des villages environnants. Une joie particulière
et touristique remarquable y existe aussi: un Bac
motorisé permet la traversée journalière
permanente de nombreuses personnes et des biens
à cet endroit du fleuve Congo. C’est
donc un point de rencontres des personnes de divers
horizons. Des voitures sont souvent alignées
en file indienne, attendant une si amusante traversée
du fleuve Congo, large d’au moins trois kilomètres
à cet endroit précis.
A cet endroit, on peut aussi remarquer des marais
et des lagunes envahis par des monticules de sable
blanc (semblable aux réserves de sel), sorti
du littoral du ruisseau et du fleuve, à la
rencontre l’un vers l’autre
(Ezék.47: 11).
Sur chaque rive du ruisseau, à la hauteur
de Nkamba Nouvelle Jérusalem, poussent différentes
sortes d’arbres fruitiers dont le feuillage
est toujours vert et ne flétrit jamais. Ces
arbres, arrosés par l’eau provenant
de la source bénite (au sud de l’autel),
produisent sans cesse des fruits, tout au long de
l’année. On utilise leurs fruits comme
nourriture et leurs feuilles comme remèdes
(Ezék.47: 12).
La similitude discernée entre la vision biblique
d’Ezékiel et la réalité
à Nkamba Nouvelle Jérusalem laisse
pantois tout investigateur ou tout bon observateur.
Cette vision d’Ezékiel, écrite
depuis longtemps dans la Bible décrit en
fait une réalité très concrète
qui existe présentement à Nkamba Nouvelle
Jérusalem, au cœur de l’Afrique.
Préparez votre sac de voyage pour aller découvrir
plus, sur le terrain à Nkamba Nouvelle Jérusalem!
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2. Des Mystères à
Nkamba Nouvelle Jérusalem :
Nkamba Nouvelle Jérusalem est une Cité des mystères,
des symboles d’amour, de paix et d’unité
des nations et des peuples :
En septembre 1910, une constellation,
visible à Nkamba, fut observée dans
la voûte céleste congolaise pendant plusieurs
jours, avec une luminosité lunaire. Ce fut
un signe annonciateur d’événements
inédits, notamment la présence sur la
terre africaine de l’Esprit de vérité
dans le corps appelé Simon Kimbangu. En 1910,
Simon Kimbangu prédit que Dieu lui accordera
trois fils et que lui-même renaîtra en
1918: tout cela s’est accompli comme prédit.
Le 18 Mars 1921, le ciel s’est
ouvert à Nkamba Jérusalem, et un pigeon
portant une Bible y est descendu pour la donner entre
les mains de Papa Simon Kimbangu. Le pigeon s’est
ensuite envolé vers le ciel qui s’est refermé
après l’entrée de la colombe. Papa
Simon Kimbangu était alors revêtu de la
puissance d’en haut.
En 1921 à Kela, aux environs
de Nkamba Jérusalem, Papa Simon Kimbangu reçut,
mystérieusement du Seigneur Jésus Christ
un bâton sacré (Mvuala Lulendo). Kela,
lieu de transmission du bâton sacré est
devenu un site spirituel Kimbanguiste, révélé
au public en septembre 2003. Ce bâton sacré
guidait et aidait Papa Simon Kimbangu durant sa périlleuse
activité religieuse dans la contrée
alors qu’il était âprement recherché
par les colons belges pour être arrêté.
Le bâton sacré de Papa Simon Kimbangu,
toujours opérationnel et gardé jusqu’alors
à Nkamba Nouvelle Jérusalem, tout comme
la Bible sacrée de Papa Simon Kimbangu ont
respectivement une histoire émouvante et excitante
à connaître. Ce sera une merveilleuse
histoire spirituelle à écrire et à
faire connaître au monde, le moment venu.
Le 6 juin 1921 à Nkamba Jérusalem,
Dieu avait montré aux humains sa puissance
et sa force irrésistible. Au moment de l’envahissement
de la cité sainte par les soldats belges, en
vue d’arrêter Simon Kimbangu et sa famille,
ceux-ci furent miraculeusement sauvés par Dieu.
Voici comment :
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- Face au défi
majeur, Papa Simon Kimbangu poussa un grand cri, pour
faire appel au Christ; ce grand cri, entendu de partout
le 6 juin 1921, symbolise aujourd’hui le grondement
musical frénétique et régulier
de la Fanfare Kimbanguiste (FAKI), à la cité
sainte.
- Ainsi, après son cri strident, grâce
à son don divin d’omniprésence
(ubiquité), Simon Kimbangu rejoignit son épouse
et leurs enfants, et en quelques secondes seulement,
ils furent tous transportés spirituellement
(déplacement spirituel) de Nkamba Jérusalem
à N’dimba Nkenge (ou M’buki), lieu
paisible et sûr pour le refuge du foyer Simon
Kimbangu.
- Papa Simon Kimbangu revint à Nkamba Jérusalem,
après une fraction de minutes pour conduire
son peuple. Sur place, il eut une échauffourée
avec les soldats belges. Alors, un ange de Dieu, sortit
d’un arbre (Nsafu), libéra Simon Kimbangu
qui s’échappa ensuite vers Nkendolo,
d’où il suivait tout ce qui se passait
à la cité sainte. Plusieurs fidèles
Kimbanguistes s’échappèrent aussi
et rejoignirent, plus tard, Papa Simon Kimbangu à
Mbanza Nsanda, d’où ce dernier continua
son puissant ministère dans la contrée.
- Les colons belges, alors imbibés d’une
haine terrible, se sont mis immédiatement à
rechercher Papa Simon Kimbangu. A cette époque
de « la grande chasse à l’homme
», Papa Simon Kimbangu reçut du Christ,
à Kéla le bâton sacré dont
nous avons déjà parlé ci-haut;
Il reçut également, à N’dimba
Nkenge « la clé du monde » de la
part du Seigneur Jésus Christ. Le site spirituel
de N’dimba Nkenge, révélé
au public en septembre 2003, draine désormais
chaque année des foules humaines qui y vont
prier et faire des retraites spirituelles.
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Dès 1918 jusqu’en
1921, Papa Simon Kimbangu avait l’habitude de
se retirer discrètement sur la colline de Nkamba
pour aller prier loin de tous bruits. Il allait faire
des prières profondes et des retraites spirituelles
(Beko), à un endroit appelé N’dimba
Mankondo: C’est là que les retraites Kimbanguistes
prirent leur origine. A cet endroit calme et discret
(révélé au public en 2003), Papa
Simon Kimbangu rencontrait Jésus Christ, conversait
avec lui face à face et recevait du Christ des
instructions. (L’Histoire du Kimbanguisme, p.
21) Pour le commun des mortels, cela peut paraître
invraisemblable, voire impossible. Mais, Papa Simon
Kimbangu avait le don de voir le Seigneur Jésus
Christ et converser avec lui face à face quand
cela était nécessaire. (L’Histoire
du Kimbanguisme, p.21)
En 1935, le temple de Nkamba Nouvelle
Jérusalem, descendant des cieux, se fit voir
par les colons belges et les villageois depuis le village
de Kimaza, placé non loin de Nkamba Jérusalem.
Les colons belges, jaloux et furieux se mirent à
fusiller « le temple spirituel qui descendait
du ciel dans toute sa splendeur. » (Apoc.21: 2)
Le temple se mit alors à se déplacer dans
l’espace, de la cité sainte de Nkamba vers
Kimaza et vice versa, de manière répétitive,
devant les militaires colons, glacés d’épouvante:
Ce phénomène très mystérieux
fut appelé « Les manœuvres de Kimaza.»
Il sied de rappeler qu’auparavant, le 10 septembre
1921 à Mbanza Nsanda, Papa Simon Kimbangu avait
lui-même déjà prédit : «
Plus tard, au temps fixé par le Seigneur, il
sera érigé à Nkamba un temple immense
dont l’intérêt spirituel sera considérable
et bénéfique à notre pays, à
l’Afrique et au monde entier. On s’en apercevra
le moment venu. » (L’histoire du Kimbanguisme,
p.83) Ce temple spirituel vu en 1935 était similaire
à l’actuel temple de Nkamba Jérusalem,
construit à mains nues, de 1976 à 1981
par les Kimbanguistes et inauguré le 6 avril
1981.
Certains visiteurs étrangers
chrétiens et non chrétiens, ainsi que
des fidèles Kimbanguistes ont rencontré
individuellement (en vision directe, face à face)
Jésus Christ, Abraham, Moise, Simon Kimbangu
et ses trois fils, Maman Muilu Marie Kiawanga, des anges,
etc., au Mausolée de Simon Kimbangu. D’autres
y rencontrent leurs défunts parents ou grands-parents.
C’est une réelle grâce de Dieu. La
Nouvelle Jérusalem est le siège de Dieu
qui y règne avec toute sa cour céleste:
une vraie béatitude, vue seulement par ceux à
qui l’Eternel l’accorde, en temps opportun.
Des témoignages poignants
et saisissants révèlent que l’Arche
de Noé est à Nkamba Jérusalem,
dans la dimension spirituelle, non visible par le commun
des mortels. Ces témoignages font aussi état
d’un autre grand mystère: sur la colline
de Mitinu, à quelques 10 mètres de l’entrée
principale sud de Mitinu, se trouve l’endroit
où le patriarche Abraham s’apprêtait
à sacrifier son fils Isacc.
Tous les animaux domestiques de
Nkamba Jérusalem (poules, coqs, canards, moutons,
chèvres, cabris, poissons, etc.) doivent y vivre
librement et en paix. Pour s’en saisir, il faut
absolument l’autorisation du chef spirituel de
l’église, l’oint de Dieu. Plusieurs
témoignages relatent qu’à une certaine
époque à Nkamba Jérusalem, des
voleurs abusifs d’œufs de poules, de poissons
de la source d’eau bénite ou ceux qui voulaient
tuer des moutons de Nkamba Jérusalem, étaient
mystérieusement accusés auprès
de Papa Dialungana Kiangani, le gardien de la cité
sainte. Les poulets et les moutons venaient physiquement,
eux-mêmes auprès de Papa Dialungana Kiangani
pour introduire leurs requêtes, dans leurs langages
respectifs que le médiateur élu comprenait
aisément. Evidemment, le commun des mortels n’écouterait
que des bêlements de moutons ou le gloussement
et le caquètement des poules. Les humains fautifs
(voleurs) étaient souvent appelés par
Papa Dialungana Kiangani pour se justifier, avant une
éventuelle sentence. Quant aux poissons, leurs
accusations se faisaient certainement dans la dimension
spirituelle qui n’exige pas nécessairement
un déplacement physique visible. Ici les fautifs
étaient, eux aussi appelés et blâmés
sévèrement.
A Nkamba Jérusalem, Simon
Kimbangu prêchait en permanence la non violence
et interdisait toute pratique obscure: pratiques fétichistes,
sorcellerie, magie, etc. Mais, selon des témoignages
connus de plusieurs fidèles Kimbanguistes, les
malfaiteurs s’entêtaient et persistaient
à faire le mal. Alors, un jour en compagnie de
son 1er fils, Charles Kisolokele Lukelo, Simon Kimbangu
leur donna un avertissement historique inédit:
Surpris au cours de leur rencontre nocturne au village
Kimiala, et suite à la puissante prière
de Simon Kimbangu, les malfaiteurs nocturnes (sorciers)
furent complètement immobilisés sur place
et mis en pause jusqu’au matin (exactement comme
un film vidéo, mis en pause sur un écran).
Papa Simon Kimbangu et son fils sont ensuite rentrés
chez eux.
Le lendemain, après la messe matinale, Simon
Kimbangu demanda aux parents des absents à l’église
matinale de prendre quelques habits appropriés
avec eux et de le suivre. Simon Kimbangu les conduisit
sur les lieux où les sorciers figés, immobilisés,
attendaient, chacun étant resté dans la
même position funeste du « marché
satanique » de la nuit passée. Imaginez,
vous-mêmes, la terrible rencontre! La grande honte
froide avait poussé les malfaiteurs nocturnes
à fuir la contrée. Ou sont-ils allés?
Certainement, un peu plus loin! Depuis, un tel mystère
ne s’est plus reproduit.
Bref, il n’y aurait pas assez
d’espace ici pour décrire, rien que le
dixième des secrets et mystères poignants
concernant Nkamba Nouvelle Jérusalem. |
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3. Quelques symboles
d’unité des nations et des peuples :
- Le 31 mars 1960 fut achevée
la construction du Mausolée de Papa Simon Kimbangu
qui constitue aujourd’hui le lieu le plus sacré
de l’église Kimbanguiste. Ce Mausolée
fut construit par des fidèles Kimbanguistes
des trois Kongos: Congo Kinshasa, Congo Brazzaville
et l’Angola. Des milliers de Chrétiens
et pèlerins étrangers, des fidèles
Kimbanguistes du monde entier, des hautes autorités
religieuses et d’état défilent
tout au long de chaque année à Nkamba
Nouvelle Jérusalem, pour rendre hommage à
Papa Simon Kimbangu, à son épouse, Maman
Muilu Marie Kiawanga et aux trois Mvualas. Le Mausolée
de Papa Simon Kimbangu est véritablement un
grand symbole de rencontre des nations et des peuples
du monde entier.
-
Le 3 avril 1960, le corps de Papa
Simon Kimbangu est arrivé à Nkamba
Jérusalem à bord d’un camion
Chevrolet de marque américaine. Le corps
de Papa Simon Kimbangu venait de Lubumbashi, ville
située à près de 2000 km de
Nkamba Jérusalem. Le camion historique de
marque Chevrolet est encore fonctionnel et bien
entretenu; il circule à Nkamba Jérusalem
uniquement le 3 avril de chaque l’année.
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Le corps de Papa Simon Kimbangu
resta 11 jours dehors, du 3 au 14 avril 1960, pour permettre
à tout un chacun de rendre un hommage mérité.
Ensuite, le corps est entré au Mausolée
où il demeure jusqu’alors. Rappelons que
ce fut à bord d’une voiture Ford (également
de marque américaine) que Papa Diangienda Kuntima
et quatre de ses compagnons, originaires des trois Kongos,
avaient fait un accident mortel à Lukulu, le 29
juillet 1958. Pourquoi ces voitures particulières
ont-elles été de marque américaine
? Le temps nous le révélera certainement.
- En 1968, une Chrétienne Africaine-Américaine
d’Atlanta, Georgie, USA, Ms Farrell Harmon (6
avril 1928 - 18 juillet 1986), feue épouse
du Rev. Dr Ndugu T’Ofori - Atta, habitant Atlanta
en Georgie, demanda fermement de se faire enterrer
à Nkamba Jérusalem, à la mère
patrie, ce qui fut fait. Sa tombe à Nkamba
Nouvelle Jérusalem constitue aujourd’hui
un vrai symbole, un lien rappelant le retour inéluctable
des Africains - Américains à la terre
de leurs ancêtres. Ce grand retour constitue
du reste une autre prophétie de Papa Simon
Kimbangu, lancée avec succès depuis
le 11 octobre 2000 à Nkamba Jérusalem,
sous la haute guidance de Son Eminence Dialungana
Kiangani Paul Salomon.
- Le 24 décembre 1992, s’est déroulée
à Nkamba Nouvelle Jérusalem la cérémonie
de demande du pardon pour le péché d’Adam
et Eve, par les Kimbanguistes du monde entier. Cette
grande cérémonie s’est déroulée
sous la guidance et le patronage de S.E. Dialungana
Kiangani Salomon, alors Chef spirituel de l’église
Kimbanguiste. Cette cérémonie, hautement
spirituelle fut une condition nécessaire ouvrant
la voie vers la libération spirituelle de l’homme
noir sur toute la planète.
- Le 6 avril 1994, au cours d’un culte spécial
de célébration au temple de Nkamba Nouvelle
Jérusalem, S.E. Dialungana Kiangani Paul Salomon
remit trois bouquets de fleurs sacrées pour
la paix et l’unité des peuples à
l’endroit des trois Présidents: du Congo
Brazzaville, du Congo Kinshasa et du Congo Angola.
L’auteur de ces écrits fut spécialement
désigné pour remettre en mains propres
ces bouquets de fleurs à chacun des Présidents
précités, ce qui fut accompli au cours
de la même année 1994.
Notons que ces cadeaux symboliques de fleurs sacrées
de la part de S.E. Dialungana Kiangani Salomon furent
une invite concrète et un rappel: Réaliser
dans les meilleurs délais, la prophétie
de la rencontre tripartite des trois Présidents
des trois Kongos à Nkamba Nouvelle Jérusalem,
sous la très haute autorité du Chef
spirituel de l’église Kimbanguiste. L’un
des signes préparatifs de cette importante
rencontre tripartite pour les peuples d’Afrique
avait été la construction en 1987, à
Nkamba d’un building de trois étages,
appelé « la Maison des Rois»(Mitinu),
devant justement abriter les trois futures délégations
respectives des trois Kongos. Dans ce cadre, trois
fauteuils placés à droite de la tribune
du temple de Nkamba Jérusalem depuis les années
80 symbolisent la future présence simultanée
des trois Présidents précités.
A ce jour, seul le Président de la R.D.C.,
Joseph Kabila avait pris place dans le fauteuil réservé,
le 19 juin 2001. Nous attendons jusqu’alors
la réalisation de l’importante Tripartite
des trois Présidents des trois Kongos à
Nkamba Nouvelle Jérusalem, sous la très
haute autorité du chef suprême de l’église
Kimbanguiste.
- Lors de sa visite officielle à Nkamba Nouvelle
Jérusalem en juillet 1999, le Secrétaire
Général du Conseil Oecuménique
des Eglises, le Rev. Dr Konrad Raiser avait déclaré:
« La Cité sainte de Nkamba Jérusalem
et l’eau bénite de Nkamba Jérusalem
constituent un grand trésor, non seulement
pour l’Afrique, mais pour l’humanité
toute entière. Par conséquent, les Kimbanguistes
ne devraient pas considérer cet héritage
commun comme leur bien propre. »
- Le 10 avril 2000, à 14 heures 30 à
Nkamba Nouvelle Jérusalem, Papa Dialungana
Kiangani Salomon avait publiquement déclaré:
« Si l’on vous demande qui est le Christ
que le monde entier cherche depuis longtemps, dites
que c’est moi. Je suis revenu. Vous pouvez l’annoncer
maintenant au monde entier.»(Cf. Notre article
sur NOEL). Cette grande révélation,
porteuse d’espoir pour l’Afrique, continue
malgré tout à alimenter des polémiques
dans le monde. Mais, nous savons par ailleurs que
le troisième secret de Fatima continue, lui
aussi, en parallèle à alimenter une
polémique redoutable, depuis 88 ans.
- Le 11 octobre 2000, la grande prophétie
de Papa Simon Kimbangu sur le retour des Africains-Américains
en Afrique fut lancée à Nkamba Nouvelle
Jérusalem, un an avant la célébration
du 1er Jubilé (1951-2001) de Papa Simon Kimbangu.
La 1ère délégation d’Africains
- Américains fut conduite par Mr George Harris
ou Diambu Dia Kiese de la ville d’Atlanta en
Georgie, USA et comprenait aussi des Africains-Britanniques.
Ils ont séjourné au Congo-Kinshasa,
du 5 au 21 octobre 2000. La seconde délégation
(décembre 2000) fut conduite par Dr Ramona
Tascoe, habitant la ville de Oakland en Californie.
Les deux délégations furent accueillies
à la hauteur de la légendaire et très
chaleureuse hospitalité Kimbanguiste. L’accueil
triomphal accordé à la 1ère délégation
d’enfants prodigues et leur départ de
Kinshasa jusqu’à Nkamba Jérusalem
se sont déroulés, indépendamment
de leur volonté, suivant les écrits
Bibliques, dans Lévitique 25: 8-11 :
«Vous laisserez s’écouler sept
périodes de sept ans, soit 49 ans. Ensuite
le 10e jour du 7e mois, le grand jour du pardon des
péchés, vous ferez retentir dans tout
le pays une sonnerie de trompette accompagnée
d’acclamations. De cette manière vous
déclarerez sainte la 50e année, et vous
proclamerez la libération pour tous les habitants
du pays. Cette année portera le nom de «
Jubilé ». A cette occasion, chacun d’entre
vous pourra entrer en possession de ses terres et
regagner sa famille. C’est ainsi que vous célébrerez
tous les 50 ans l’année du « Jubilé.»
(Lévitique 25: 8-11)
Commentaires :
La délégation d’Africains –
Américains et Africains-Britanniques, en quittant
Kinshasa le 10e jour du 7e mois juif (octobre), était
vivement attendue sur tout le parcours entre Kinshasa
et Nkamba; des fidèles Kimbanguistes étaient
rassemblés pour accueillir cette délégation,
chantant, palmes à la main, pour symboliser
«dans tout le pays, les sons de trompette, accompagnée
d’acclamations. » La délégation
qui fut arrivée à Nkamba le 11 octobre
2000, avait été très chaleureusement
accueillie avec beaucoup d’amour, spirituellement
avec des retentissements de trompettes et des acclamations
populaires: ce fut tout juste au moment des honneurs
au Chef spirituel. A cet effet, la Fanfare Kimbanguiste
de Nkamba Jérusalem, toute scintillante, était
au grand complet.
Par ailleurs, la 1ère quinzaine du mois d’octobre
constitue généralement chez les fidèles
Kimbanguistes un temps de prières intenses
en vue du pardon des péchés, afin de
prendre par la suite et en paix la communion Kimbanguiste,
prévue au cours des festivités du 12
octobre. La date du 10 octobre est donc logiquement
comprise dans la période retenue pour la demande
du pardon par les fidèles Kimbanguistes, avant
la sainte cène. Le 10e jour du mois d’octobre
peut donc valablement symboliser le « grand
jour du pardon des péchés» dont
il est question dans Lévitique 25:9.
Le 12 octobre 2000, l’Eglise Kimbanguiste avait
célébré le 49e anniversaire de
la mort de Papa Simon Kimbangu. Le 12 Octobre 2001,
l’Eglise Kimbanguiste célébra
avec faste les 50 ans de Papa Simon Kimbangu, c’est
a dire le « Jubilé.»
2001 fut en quelque sorte « une année
sainte pour la libération des habitants du
pays », des enfants prodigues venus d’outre
atlantique.
C’était donc l’année où
chacun des enfants prodigues pouvait regagner librement
la mère patrie et y retrouver sa famille. Par
exemple, Dr Joyce (membre de la 3è délégation
du 6 avril 2001) l’avait fait, en quittant par
la suite la Californie natale pour repartir vivre
librement au Congo, à Nkamba Nouvelle Jérusalem,
où tout lui fut offert par les fidèles
Kimbanguistes: Du travail, une villa complètement
équipée, un véhicule tout terrain,
beaucoup d’amour fraternel, etc. La direction
de l’hôpital de Nkamba, à Yanda
lui fut offerte. Dr Joyce a finalement quitté
la cité sainte de Nkamba Nouvelle Jérusalem
pour aller habiter la ville de Kinshasa, revenant
ainsi subir les vicissitudes de la vie mondaine.
L’année 2001 du Jubilé de Papa
Simon Kimbangu fut en même temps la première
année du millénaire du Saint-Esprit.
Ainsi, le processus de lancement de la prophétie
de Papa Simon Kimbangu sur les Africains – Américains
avait déjà été décrit
dans la bible, dans Lévitique 25: 8-11.
- Le 16 janvier 2001 à Nkamba Jérusalem,
S.E. Dialungana Kiangani Salomon posa la 1ère
pierre pour la construction d’une Cité
dédiée aux Africains-Américains,
retournant à la mère patrie. Cette cité
appelée « Nkendolo » devrait comprendre
352 résidences complètes et des «
restaurants spéciaux », pouvant loger
et restaurer plus de mille visiteurs à la fois.
Actuellement une vingtaine de résidences, construites
sur fonds propres de l’église, sont opérationnelles
à Nkendolo et d’autres maisons attendent
des financements pour leur construction. Nkendolo
est une cité résidentielle de promesses
spirituelles et un site par excellence d’unité
des nations et des peuples à Nkamba Nouvelle
Jérusalem.
C’est à juste titre que S.E Dialungana
Kiangani Salomon avait dit que « la finition
de Nkendolo mettra fin à nos souffrances ».
Un réel défi à relever!
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4. Sur le plan spirituel, Nkamba
Nouvelle Jérusalem est, selon diverses révélations,
un véritable trésor, une vraie béatitude.
Les trois fils de Papa Simon Kimbangu nous avaient révélé
que la Nouvelle Jérusalem spirituelle est immense et
s’étend sur plusieurs Kilomètres. Nous
pouvons ici noter quelques sites spirituels et historiques
connus à Nkamba Nouvelle Jérusalem :
Le Mausolée
de Papa Simon Kimbangu,
Le Mausolée de Maman Muilu
Marie Kiawanga (épouse de Simon Kimbangu),
Le Temple de Nkamba avec plus
de 37000 places assises,
La source d'eau bénite,
Le site de la 1ère guérison
miraculeuse de l'agonisante Nkiantondo, le 6 avril
1921 qui marqua le début du Ministère
de Papa Simon Kimbangu,
Les lieux des rencontres entre
Papa Simon Kimbangu et le Seigneur Jésus
Christ,
Les lieux de prière et
des travaux spirituels de Papa Simon Kimbangu
La carte d’Afrique, sortie
naturellement de la terre à Nkamba Jérusalem,
Le palmier
où Papa Simon Kimbangu transforma une amende
pourrie en une noix excellente devant son jeune
ami Kumpenda (1er miracle opéré par
Papa Simon Kimbangu).
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La Cité sainte de Nkamba -Nouvelle Jérusalem
est le siège du Cabinet de travail du Chef Spirituel,
Représentant légal de l'Eglise Kimbanguiste.
C'est également le siège de l’Assemblée
Générale Internationale Kimbanguiste. Le Grand
Clergé Kimbanguiste y travaille près le Chef
Spirituel. L'Assemblée Générale Kimbanguiste
s'y réunit au moins une fois par an, à l'occasion
des fêtes du 6 Avril ou du 12 Octobre.
Nkamba- Nouvelle Jérusalem est aujourd'hui une cité
d'attraction naturelle, d'unité des chrétiens
du monde, une cité d'amour, de paix véritable
et de réconfort moral et spirituel de tous les enfants
de Dieu. La Cité sainte de Nkamba donne souvent aux
personnes préparées dans la foi, la réponse
aux différents problèmes qui les préoccupent.
C'est le lieu par excellence des prières pour les moments
de défis majeurs, des situations difficiles. En effet,
Nkamba -Nouvelle Jérusalem, par sa lumière divine,
aide, éclaire, guide, réconforte, rétablit
la liaison spirituelle rompue avec Dieu. Ce commentaire ne
nous parait pas excessif car chaque personne, spirituellement
préparée peut s'en convaincre sur place, à
Nkamba Nouvelle Jérusalem. N’en déplaise
aux détracteurs de tout acabit, «pleins de vide
spirituel» ou vidés de la lumière divine,
qui véhiculent haineusement, ici et là de macabres
sacrilèges à l’égard de la cité
de Dieu!
Ainsi présentée, La Cité sainte de Nkamba
Nouvelle Jérusalem mérite un amour particulier,
à la hauteur des attentes de l’humanité
tout entière.
En effet :
- La Nouvelle Jérusalem est la cité
natale de Simon Kimbangu, Envoyé Spécial
de Jésus Christ.
- La Nouvelle Jérusalem est le lieu où
Jésus Christ avait, en 1918 choisi Simon
Kimbangu pour continuer l’œuvre du Christ
sur terre.
- C’est le lieu où Simon Kimbangu
avait demandé ses disciples à Dieu,
comme le fit Jésus Christ, en son temps.
- La Nouvelle Jérusalem est une cité
des promesses de Dieu, annoncées par les
prophètes Esaie, Jérémie, Ezékiel,
et dans Hébreux, Apocalypse. Les prophéties
ont annoncé que la Nouvelle Jérusalem
descendra du ciel sur terre: C’est ce qui
fut observé en 1935 et cette vision s’est
ensuite matérialisée.
- La Nouvelle Jérusalem est une cité
des bénédictions.
- La Nouvelle Jérusalem possède une
source d’eau bénite permanente qui
guérit toutes sortes de maladies pour ceux
qui croient en vérité. La terre de
la cité sainte est sacrée et soigne
aussi des malades.
- Tous les citoyens du monde peuvent se rendre
librement à la Nouvelle Jérusalem
pour glorifier Dieu et jouir des merveilles spirituelles.
- La Nouvelle Jérusalem est l’expression
même de la puissance divine, de la gloire
et la louange à Dieu à travers les
chants, la musique, etc.
- Les magiciens et sorciers n’aiment pas
la Nouvelle Jérusalem, notamment à
cause des commandements et du code moral qu’il
faut respecter.
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Nkamba Nouvelle Jérusalem constitue la merveilleuse
promesse de Dieu. La Nouvelle Jérusalem est le siège
de Dieu (Apocalypse 21: 2-3.)
En conclusion,
l’importance fondamentale et stratégique de Nkamba
Nouvelle Jérusalem pour l’humanité est
telle que l’intelligence humaine ne peut pas discerner
pour l’instant. Au moment prévu par Dieu, Nkamba
Nouvelle Jérusalem, “resplendissante de la gloire
de Dieu,“ nous sera révélée. Alors
nous comprendrons que Nkamba Nouvelle Jérusalem est
le véritable centre névralgique et stratégique
du guidage spirituel par le Dieu trinitaire. Quand le monde
le comprendra (Zacharie 8: 23), il n’y aura plus assez
de places pour accueillir tous les enfants de Dieu qui vont
y déferler pour se ressourcer, développer leurs
dons spirituels, louer et célébrer l’Eternel.
NOTES
:
(1)
Article du Rev. Basile AKIELE
Remerciements.
Les données sur Nkamba Nouvelle
Jérusalem ont été récoltées
directement à la source par l’auteur qui exprime
sa profonde gratitude au Chef spirituel de l’EJCSK,
à la postérité de Papa Simon Kimbangu,
pour les précieuses informations mises à sa
disposition.
C’est également le lieu d’exprimer notre
gratitude à feue Maman Mikala Mandombe et sa postérité,
aux anciens et à certains jeunes de Nkamba Jérusalem.
L’auteur remercie profondément les membres de
la Fanfare Kimbanguiste (FAKI), de la Chorale Yeluselemi,
tout particulièrement Maman Alphonsine Wasisiluadio
et Maman Louise Nkébani (les deux rescapées
du groupe de 12 jeunes filles, spécialement choisies
et spirituellement formées par Papa Diangienda Kuntima
au début des années 1960), pour leurs témoignages
poignants et précieux. Que Papa Gabriel Patrick Fukiakanda
trouve ici l’expression fraternelle de notre reconnaissance
pour sa contribution vivifiante !
Nos sincères remerciements vont aussi à l’endroit
de certains cadres universitaires Kimbanguistes, aux Africains-Américains
et à quelques chercheurs occidentaux pour leurs témoignages
éloquents sur les mystères incontestables de
Nkamba Nouvelle Jérusalem. |
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