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Nkamba, la cité sainte du kimbanguisme

. Nkamba Nouvelle Jérusalem, la merveilleuse Cité de Dieu (1)


La Cité Sainte de Nkamba Nouvelle Jérusalem est l’endroit où sont nés Papa Simon Kimbangu et ses trois fils, Papa Kisolokele Lukelo Charles, Papa Dialungana Kiangani Salomon et Papa Diangienda Kuntima Joseph. Nkamba Jérusalem est située au cœur de l'Afrique, au sud du Congo -Kinshasa, tout juste au Nord de l'Angola et non loin du Congo-Brazzaville. Nkamba Jérusalem, est localisée dans la province du Bas-Congo, district des Cataractes, territoire de Mbanza Ngungu, secteur de Ntimansi. La zone de Nkamba est régie par la décision No 23/CS/EK/95, du 10 juin 1995, de S.E. Dialungana Kiangani Salomon.
Selon certaines statistiques récentes, Nkamba Jérusalem comprend près de dix sections ecclésiales et administratives, composées de 44 communautés de base dont près de 245 villages qui comptent environs 200.000 habitants.
Vue panoramique sur le temple de Nkamba
La Cité sainte de Nkamba Jérusalem est entourée de plusieurs collines et de huit communautés de base qui sont: Weno, Camp- Fuma, Camp-Maçons, Kilo regroupant le Camp-Professeurs et le Collège Kisolokele Lukelo Charles, Mitinu (La Maison des rois), Kipaku, Ngombe-Kinsuka et la récente cité résidentielle de Nkendolo.

Placée entre les trois Kongos (Congo /Brazzaville, Congo/Kinshasa et Angola), la cité sainte de Nkamba Nouvelle Jérusalem est le siège spirituel universel de l'église Kimbanguiste.
Dans la vision de l’Eglise Kimbanguiste universelle, le statut international de Nkamba- Nouvelle Jérusalem est dores et déjà une impérieuse nécessité. Dans ce cadre, Nkamba Nouvelle Jérusalem devra être une cité urbaine dotée d’infrastructures dignes de la confiance des Chrétiens et des pèlerins du monde entier qui viennent en masse, chaque année pour visiter les différents sites spirituels et historiques de cette Cité sainte au cœur de l’Afrique. Nkamba Jérusalem est devenue effectivement une cité cosmopolite des citoyens de la planète qui y viennent pour adorer et célébrer Dieu. Dans ce contexte, la construction de la Nouvelle Jérusalem est une priorité absolue, et c’est pourquoi plusieurs travaux s’y déroulent en permanence. La contribution de chaque enfant de Dieu est vivement souhaitée. Du point de vue économique, Nkamba Jérusalem est assurément un immense trésor pour la nation congolaise, car à l’avenir et en temps opportun, cette cité de Dieu pourra drainer beaucoup plus de monde qu’ailleurs.

La Nouvelle Jérusalem est la concrétisation de la promesse divine, suite à la récidive de la désobéissance exacerbée des enfants d'Israël vis à vis de leur Dieu. Le Christ avait alors dit aux pharisiens que " le Royaume de Dieu vous sera enlevé et donné à un peuple qui en produira des fruits" (Matthieu 21:43). En choisissant Papa Simon Kimbangu pour poursuivre son oeuvre, le Christ avait révélé à son Envoyé Spécial que Nkamba est la Nouvelle Jérusalem, la cité de Dieu. Quand on aime sincèrement cette cité dans la foi, on y découvre des secrets et des mystères qui confirment que Nkamba Nouvelle Jérusalem est une promesse divine :
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1. La Vision biblique d’Ezekiel (Ezék.47: 1-12)

Quatorze ans, jour pour jour après la chute de Jérusalem, le prophète Ezékiel eut une vision du temple futur. Transporté sur une haute montagne par la puissance du Seigneur, il vit sur le versant sud un groupe de constructions ayant l’aspect d’une ville. De là, un homme ayant l’aspect de bronze lui montra les différents éléments du temple futur de la Nouvelle Jérusalem (Ezék.40: 1- 4).
Dans ce cadre, Ezékiel vit également l’ensemble du territoire tout autour du futur temple, notamment la source du temple (Ezék.47: 1-12).
Faisons quelques commentaires sur la vision relative à la source du temple:
Les recherches sur le terrain ont montré une similitude extraordinaire entre la vision d’Ezékiel (47: 1-12) et la réalité actuelle à Nkamba Nouvelle Jérusalem.
Après une lecture attentive de cette vision dans la sainte Bible, nous l’examinerons, ensuite pas à pas. Lisons d’abord cette vision biblique :

La source du temple
« L’homme me ramena à l’entrée du temple. Je vis alors que de l’eau jaillissait de dessous l’entrée vers l’est; la façade du temple était en effet orientée vers l’est. L’eau s’écoulait du coté sud du temple puis passait au sud de l’autel. L’homme me fit sortir de l’autel par la porte nord et m’en fit contourner l’extérieur jusqu’à la porte orientale. L’eau s’écoulait au sud de cette porte. Il s’avança vers l’est; il tenait une cordelette avec laquelle il mesura cinq cent mètres dans cette direction. Puis il me fit traverser l’eau: elle m’arrivait aux chevilles. Il mesura encore cinq cent mètres et me fit traverser l’eau: elle m’arrivait aux genoux. Au bout de des cinq cent mètres suivants, il me fit de nouveau traverser l’eau: cette fois-ci, elle m’arrivait à la taille.
Il mesura une dernière fois cinq cent mètres, mais je ne pus plus traverser l’eau, tellement son niveau était monté. C’était maintenant un torrent qu’on ne pouvait passer qu’à la nage. Il me dit : As-tu bien regardé Ezékiel ?

Il m’amena un moment à l’écart puis me ramena au bord du torrent. Je constatai alors qu’il y avait de nombreux arbres sur chaque rive. L’homme me dit :
Ce torrent se dirige vers l’est du pays, il descend la vallée du Jourdain et débouche dans la mer morte. Lorsqu’il parvient à la mer, il en renouvelle l’eau, qui devient saine. Des êtres de toute espèce se mettront à grouiller et les poissons se multiplieront partout où le torrent arrivera. Il assainira la mer et là où il se déversera, il apportera avec lui la vie.
Dorénavant, depuis En-Guédi jusqu’à En- Eglaim, il y aura des pêcheurs qui mettront leurs à sécher sur les bords de la mer. On y trouvera autant d’espèces de poissons que dans la mer Méditerranée.
Cependant les marais et les lagunes de son littoral ne seront pas assainis, on les gardera comme réserves de sel. Sur chaque rive du torrent, des arbres fruitiers de toutes sortes pousseront. Leur feuillage ne se flétrira jamais et ils produiront sans cesse des fruits. Ils donneront chaque mois une nouvelle récolte, car ils sont arrosés par l’eau provenant du sanctuaire. On utilisera leurs fruits comme nourriture et leurs feuilles comme remèdes ».

Commentaires :
La Nouvelle Jérusalem est placée sur une colline verdoyante. Au bas de cette colline, certaines sources d’eau coulent tranquillement, depuis les entrailles de la colline. Pour bien s’en rendre compte il faudrait visiter ces lieux de plus près, afin de mieux s’orienter à partir du Temple bâti en haut de la colline. Notre raisonnement sera en partie imagé dans la mémoire et les distances sur le terrain seront approximatives. Compte tenu de l’emplacement du Mausolée, cette façade-Est du Temple a toujours été la plus fréquentée.

Quand nous sommes au Temple, à Nkamba Nouvelle Jérusalem, nous ne pouvons pas voir directement les sources d’eau couler, à cause de la forêt d’arbres touffus qui couvre toute la colline de Nkamba Jérusalem. Cependant après la visite des lieux au bas de la colline, nous pouvons bien nous orienter et savoir que l’eau jaillit effectivement de dessous l’entrée est, un peu en avant vers l’est. La façade du temple de Nkamba ( coté Mausolée) est orientée à l’est. L’eau s’écoule du coté sud du temple, puis passe au sud de l’autel. Notons que, lorsqu’on prêche à l’autel du Temple de Nkamba, on est face au sud et le dos tourné au nord.
Ainsi, en se plaçant à la porte orientale, l’eau coule au sud de cette porte, mais au bas de la colline (direction Ngombe Kinsuka). Le temple de Nkamba a quatre sorties principales, comme les points cardinaux (Nord, Sud, Est et Ouest). De la porte Est ( face au Mausolée) à la source d’eau bénite, cela pourrait faire environs 500 m de long. « L’eau traversée» qui arrivait aux chevilles, est le petit ruisseau qui coule à partir de la source d’eau bénite, vers les champs de riz inondé de Papa Mbenza André.
Les mesures (500 m.) et les traversées successives pourraient correspondre à l’état de la source d’eau bénite depuis 1921 jusqu’alors: en 1921 l’eau bénite de la source était au niveau des chevilles, vers 1940 cette eau était au niveau des genoux, vers 1960 cette eau arriva au niveau de la taille et après les années 1970 - 1980, le site ne pouvait être traversé qu’à la nage car l’étendue d’eau était devenue large et profonde. Cette eau bénite est actuellement très poissonneuse. On peut effectivement y voir des poissons de toutes espèces. Tout autour de cette eau bénite, il y a des arbres fruitiers, des herbes et feuilles médicinales qui servent à la vie des populations.
Si l’on prend l’autre possibilité de mesurer progressivement l’eau du ruisseau à partir de la source bénite jusqu’au fleuve Congo, on aura aussi une interprétation plausible et fondée de la vision d’Ezékiel. C’est cette dernière variante que nous examinerons.

A chaque distance de 500 mètres environs, en effet, ce ruisseau devient de plus en plus grand et profond, pour se transformer en torrent, exactement comme décrit dans la vision d’Ezékiel. On peut aussi facilement remarquer que sur chaque rive du ruisseau, il y a effectivement de très nombreux arbres. Le ruisseau dont nous parlons se dirige vers l’est, se faufilant à travers vallées et collines, pour se jeter dans le fleuve Congo qui lui même se jette dans l’océan Atlantique. L’auteur de ces lignes avait plusieurs fois parcouru ce trajet en véhicule et à pieds, depuis Nkamba jusqu’au fleuve Congo et avait observé cette situation étrange, comparable à la vision d’Ezékiel.
Pour l’interprétation de la suite du texte biblique (Ezék.47: 8-11), nous avons considéré le fleuve Congo comme l’image de la mer morte, évoquée dans la Bible. Ainsi, là où le ruisseau, devenu torrent, se jette dans le fleuve Congo, il y a des villages de pêcheurs dont la vie dépend de l’agriculture, de la pêche et la chasse (Ezék.47: 9). Ces pêcheurs utilisent souvent des filets que l’on peut voir sécher au soleil, sur la rive du fleuve Congo. Certains font la pêche à la ligne (Ezék.47: 10). Les chasseurs peuvent trouver du gibier dans les forêts et les savanes environnantes. Chaque jour, on peut y acheter diverses espèces de poissons frais, grillés ou fumés. Nous y avions, nous-mêmes souvent acheté du bon poisson grillé et fumé.
Ainsi, cet endroit apporte la vie aux habitants des villages environnants. Une joie particulière et touristique remarquable y existe aussi: un Bac motorisé permet la traversée journalière permanente de nombreuses personnes et des biens à cet endroit du fleuve Congo. C’est donc un point de rencontres des personnes de divers horizons. Des voitures sont souvent alignées en file indienne, attendant une si amusante traversée du fleuve Congo, large d’au moins trois kilomètres à cet endroit précis.
A cet endroit, on peut aussi remarquer des marais et des lagunes envahis par des monticules de sable blanc (semblable aux réserves de sel), sorti du littoral du ruisseau et du fleuve, à la rencontre l’un vers l’autre (Ezék.47: 11).
Sur chaque rive du ruisseau, à la hauteur de Nkamba Nouvelle Jérusalem, poussent différentes sortes d’arbres fruitiers dont le feuillage est toujours vert et ne flétrit jamais. Ces arbres, arrosés par l’eau provenant de la source bénite (au sud de l’autel), produisent sans cesse des fruits, tout au long de l’année. On utilise leurs fruits comme nourriture et leurs feuilles comme remèdes (Ezék.47: 12).
La similitude discernée entre la vision biblique d’Ezékiel et la réalité à Nkamba Nouvelle Jérusalem laisse pantois tout investigateur ou tout bon observateur.
Cette vision d’Ezékiel, écrite depuis longtemps dans la Bible décrit en fait une réalité très concrète qui existe présentement à Nkamba Nouvelle Jérusalem, au cœur de l’Afrique. Préparez votre sac de voyage pour aller découvrir plus, sur le terrain à Nkamba Nouvelle Jérusalem!

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2. Des Mystères à Nkamba Nouvelle Jérusalem :

Nkamba Nouvelle Jérusalem est une Cité des mystères, des symboles d’amour, de paix et d’unité des nations et des peuples :
  • En septembre 1910, une constellation, visible à Nkamba, fut observée dans la voûte céleste congolaise pendant plusieurs jours, avec une luminosité lunaire. Ce fut un signe annonciateur d’événements inédits, notamment la présence sur la terre africaine de l’Esprit de vérité dans le corps appelé Simon Kimbangu. En 1910, Simon Kimbangu prédit que Dieu lui accordera trois fils et que lui-même renaîtra en 1918: tout cela s’est accompli comme prédit.
  • Le 18 Mars 1921, le ciel s’est ouvert à Nkamba Jérusalem, et un pigeon portant une Bible y est descendu pour la donner entre les mains de Papa Simon Kimbangu. Le pigeon s’est ensuite envolé vers le ciel qui s’est refermé après l’entrée de la colombe. Papa Simon Kimbangu était alors revêtu de la puissance d’en haut.

  • En 1921 à Kela, aux environs de Nkamba Jérusalem, Papa Simon Kimbangu reçut, mystérieusement du Seigneur Jésus Christ un bâton sacré (Mvuala Lulendo). Kela, lieu de transmission du bâton sacré est devenu un site spirituel Kimbanguiste, révélé au public en septembre 2003. Ce bâton sacré guidait et aidait Papa Simon Kimbangu durant sa périlleuse activité religieuse dans la contrée alors qu’il était âprement recherché par les colons belges pour être arrêté.
    Le bâton sacré de Papa Simon Kimbangu, toujours opérationnel et gardé jusqu’alors à Nkamba Nouvelle Jérusalem, tout comme la Bible sacrée de Papa Simon Kimbangu ont respectivement une histoire émouvante et excitante à connaître. Ce sera une merveilleuse histoire spirituelle à écrire et à faire connaître au monde, le moment venu.
  • Le 6 juin 1921 à Nkamba Jérusalem, Dieu avait montré aux humains sa puissance et sa force irrésistible. Au moment de l’envahissement de la cité sainte par les soldats belges, en vue d’arrêter Simon Kimbangu et sa famille, ceux-ci furent miraculeusement sauvés par Dieu. Voici comment :
  • - Face au défi majeur, Papa Simon Kimbangu poussa un grand cri, pour faire appel au Christ; ce grand cri, entendu de partout le 6 juin 1921, symbolise aujourd’hui le grondement musical frénétique et régulier de la Fanfare Kimbanguiste (FAKI), à la cité sainte.

    - Ainsi, après son cri strident, grâce à son don divin d’omniprésence (ubiquité), Simon Kimbangu rejoignit son épouse et leurs enfants, et en quelques secondes seulement, ils furent tous transportés spirituellement (déplacement spirituel) de Nkamba Jérusalem à N’dimba Nkenge (ou M’buki), lieu paisible et sûr pour le refuge du foyer Simon Kimbangu.

    - Papa Simon Kimbangu revint à Nkamba Jérusalem, après une fraction de minutes pour conduire son peuple. Sur place, il eut une échauffourée avec les soldats belges. Alors, un ange de Dieu, sortit d’un arbre (Nsafu), libéra Simon Kimbangu qui s’échappa ensuite vers Nkendolo, d’où il suivait tout ce qui se passait à la cité sainte. Plusieurs fidèles Kimbanguistes s’échappèrent aussi et rejoignirent, plus tard, Papa Simon Kimbangu à Mbanza Nsanda, d’où ce dernier continua son puissant ministère dans la contrée.

    - Les colons belges, alors imbibés d’une haine terrible, se sont mis immédiatement à rechercher Papa Simon Kimbangu. A cette époque de « la grande chasse à l’homme », Papa Simon Kimbangu reçut du Christ, à Kéla le bâton sacré dont nous avons déjà parlé ci-haut; Il reçut également, à N’dimba Nkenge « la clé du monde » de la part du Seigneur Jésus Christ. Le site spirituel de N’dimba Nkenge, révélé au public en septembre 2003, draine désormais chaque année des foules humaines qui y vont prier et faire des retraites spirituelles.
  • Dès 1918 jusqu’en 1921, Papa Simon Kimbangu avait l’habitude de se retirer discrètement sur la colline de Nkamba pour aller prier loin de tous bruits. Il allait faire des prières profondes et des retraites spirituelles (Beko), à un endroit appelé N’dimba Mankondo: C’est là que les retraites Kimbanguistes prirent leur origine. A cet endroit calme et discret (révélé au public en 2003), Papa Simon Kimbangu rencontrait Jésus Christ, conversait avec lui face à face et recevait du Christ des instructions. (L’Histoire du Kimbanguisme, p. 21) Pour le commun des mortels, cela peut paraître invraisemblable, voire impossible. Mais, Papa Simon Kimbangu avait le don de voir le Seigneur Jésus Christ et converser avec lui face à face quand cela était nécessaire. (L’Histoire du Kimbanguisme, p.21)

  • En 1935, le temple de Nkamba Nouvelle Jérusalem, descendant des cieux, se fit voir par les colons belges et les villageois depuis le village de Kimaza, placé non loin de Nkamba Jérusalem. Les colons belges, jaloux et furieux se mirent à fusiller « le temple spirituel qui descendait du ciel dans toute sa splendeur. » (Apoc.21: 2) Le temple se mit alors à se déplacer dans l’espace, de la cité sainte de Nkamba vers Kimaza et vice versa, de manière répétitive, devant les militaires colons, glacés d’épouvante: Ce phénomène très mystérieux fut appelé « Les manœuvres de Kimaza.»
    Il sied de rappeler qu’auparavant, le 10 septembre 1921 à Mbanza Nsanda, Papa Simon Kimbangu avait lui-même déjà prédit : « Plus tard, au temps fixé par le Seigneur, il sera érigé à Nkamba un temple immense dont l’intérêt spirituel sera considérable et bénéfique à notre pays, à l’Afrique et au monde entier. On s’en apercevra le moment venu. » (L’histoire du Kimbanguisme, p.83) Ce temple spirituel vu en 1935 était similaire à l’actuel temple de Nkamba Jérusalem, construit à mains nues, de 1976 à 1981 par les Kimbanguistes et inauguré le 6 avril 1981.

  • Certains visiteurs étrangers chrétiens et non chrétiens, ainsi que des fidèles Kimbanguistes ont rencontré individuellement (en vision directe, face à face) Jésus Christ, Abraham, Moise, Simon Kimbangu et ses trois fils, Maman Muilu Marie Kiawanga, des anges, etc., au Mausolée de Simon Kimbangu. D’autres y rencontrent leurs défunts parents ou grands-parents. C’est une réelle grâce de Dieu. La Nouvelle Jérusalem est le siège de Dieu qui y règne avec toute sa cour céleste: une vraie béatitude, vue seulement par ceux à qui l’Eternel l’accorde, en temps opportun.

  • Des témoignages poignants et saisissants révèlent que l’Arche de Noé est à Nkamba Jérusalem, dans la dimension spirituelle, non visible par le commun des mortels. Ces témoignages font aussi état d’un autre grand mystère: sur la colline de Mitinu, à quelques 10 mètres de l’entrée principale sud de Mitinu, se trouve l’endroit où le patriarche Abraham s’apprêtait à sacrifier son fils Isacc.

  • Tous les animaux domestiques de Nkamba Jérusalem (poules, coqs, canards, moutons, chèvres, cabris, poissons, etc.) doivent y vivre librement et en paix. Pour s’en saisir, il faut absolument l’autorisation du chef spirituel de l’église, l’oint de Dieu. Plusieurs témoignages relatent qu’à une certaine époque à Nkamba Jérusalem, des voleurs abusifs d’œufs de poules, de poissons de la source d’eau bénite ou ceux qui voulaient tuer des moutons de Nkamba Jérusalem, étaient mystérieusement accusés auprès de Papa Dialungana Kiangani, le gardien de la cité sainte. Les poulets et les moutons venaient physiquement, eux-mêmes auprès de Papa Dialungana Kiangani pour introduire leurs requêtes, dans leurs langages respectifs que le médiateur élu comprenait aisément. Evidemment, le commun des mortels n’écouterait que des bêlements de moutons ou le gloussement et le caquètement des poules. Les humains fautifs (voleurs) étaient souvent appelés par Papa Dialungana Kiangani pour se justifier, avant une éventuelle sentence. Quant aux poissons, leurs accusations se faisaient certainement dans la dimension spirituelle qui n’exige pas nécessairement un déplacement physique visible. Ici les fautifs étaient, eux aussi appelés et blâmés sévèrement.

  • A Nkamba Jérusalem, Simon Kimbangu prêchait en permanence la non violence et interdisait toute pratique obscure: pratiques fétichistes, sorcellerie, magie, etc. Mais, selon des témoignages connus de plusieurs fidèles Kimbanguistes, les malfaiteurs s’entêtaient et persistaient à faire le mal. Alors, un jour en compagnie de son 1er fils, Charles Kisolokele Lukelo, Simon Kimbangu leur donna un avertissement historique inédit: Surpris au cours de leur rencontre nocturne au village Kimiala, et suite à la puissante prière de Simon Kimbangu, les malfaiteurs nocturnes (sorciers) furent complètement immobilisés sur place et mis en pause jusqu’au matin (exactement comme un film vidéo, mis en pause sur un écran). Papa Simon Kimbangu et son fils sont ensuite rentrés chez eux.
    Le lendemain, après la messe matinale, Simon Kimbangu demanda aux parents des absents à l’église matinale de prendre quelques habits appropriés avec eux et de le suivre. Simon Kimbangu les conduisit sur les lieux où les sorciers figés, immobilisés, attendaient, chacun étant resté dans la même position funeste du « marché satanique » de la nuit passée. Imaginez, vous-mêmes, la terrible rencontre! La grande honte froide avait poussé les malfaiteurs nocturnes à fuir la contrée. Ou sont-ils allés? Certainement, un peu plus loin! Depuis, un tel mystère ne s’est plus reproduit.

  • Bref, il n’y aurait pas assez d’espace ici pour décrire, rien que le dixième des secrets et mystères poignants concernant Nkamba Nouvelle Jérusalem.
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    3. Quelques symboles d’unité des nations et des peuples :
    • Le 31 mars 1960 fut achevée la construction du Mausolée de Papa Simon Kimbangu qui constitue aujourd’hui le lieu le plus sacré de l’église Kimbanguiste. Ce Mausolée fut construit par des fidèles Kimbanguistes des trois Kongos: Congo Kinshasa, Congo Brazzaville et l’Angola. Des milliers de Chrétiens et pèlerins étrangers, des fidèles Kimbanguistes du monde entier, des hautes autorités religieuses et d’état défilent tout au long de chaque année à Nkamba Nouvelle Jérusalem, pour rendre hommage à Papa Simon Kimbangu, à son épouse, Maman Muilu Marie Kiawanga et aux trois Mvualas. Le Mausolée de Papa Simon Kimbangu est véritablement un grand symbole de rencontre des nations et des peuples du monde entier.
    • Le 3 avril 1960, le corps de Papa Simon Kimbangu est arrivé à Nkamba Jérusalem à bord d’un camion Chevrolet de marque américaine. Le corps de Papa Simon Kimbangu venait de Lubumbashi, ville située à près de 2000 km de Nkamba Jérusalem. Le camion historique de marque Chevrolet est encore fonctionnel et bien entretenu; il circule à Nkamba Jérusalem uniquement le 3 avril de chaque l’année.
    Vue aérienne du mausolé de l'Envoyé Simon Kimbangu
    Le corps de Papa Simon Kimbangu resta 11 jours dehors, du 3 au 14 avril 1960, pour permettre à tout un chacun de rendre un hommage mérité. Ensuite, le corps est entré au Mausolée où il demeure jusqu’alors. Rappelons que ce fut à bord d’une voiture Ford (également de marque américaine) que Papa Diangienda Kuntima et quatre de ses compagnons, originaires des trois Kongos, avaient fait un accident mortel à Lukulu, le 29 juillet 1958. Pourquoi ces voitures particulières ont-elles été de marque américaine ? Le temps nous le révélera certainement.
    • En 1968, une Chrétienne Africaine-Américaine d’Atlanta, Georgie, USA, Ms Farrell Harmon (6 avril 1928 - 18 juillet 1986), feue épouse du Rev. Dr Ndugu T’Ofori - Atta, habitant Atlanta en Georgie, demanda fermement de se faire enterrer à Nkamba Jérusalem, à la mère patrie, ce qui fut fait. Sa tombe à Nkamba Nouvelle Jérusalem constitue aujourd’hui un vrai symbole, un lien rappelant le retour inéluctable des Africains - Américains à la terre de leurs ancêtres. Ce grand retour constitue du reste une autre prophétie de Papa Simon Kimbangu, lancée avec succès depuis le 11 octobre 2000 à Nkamba Jérusalem, sous la haute guidance de Son Eminence Dialungana Kiangani Paul Salomon.
    • Le 24 décembre 1992, s’est déroulée à Nkamba Nouvelle Jérusalem la cérémonie de demande du pardon pour le péché d’Adam et Eve, par les Kimbanguistes du monde entier. Cette grande cérémonie s’est déroulée sous la guidance et le patronage de S.E. Dialungana Kiangani Salomon, alors Chef spirituel de l’église Kimbanguiste. Cette cérémonie, hautement spirituelle fut une condition nécessaire ouvrant la voie vers la libération spirituelle de l’homme noir sur toute la planète.
    • Le 6 avril 1994, au cours d’un culte spécial de célébration au temple de Nkamba Nouvelle Jérusalem, S.E. Dialungana Kiangani Paul Salomon remit trois bouquets de fleurs sacrées pour la paix et l’unité des peuples à l’endroit des trois Présidents: du Congo Brazzaville, du Congo Kinshasa et du Congo Angola. L’auteur de ces écrits fut spécialement désigné pour remettre en mains propres ces bouquets de fleurs à chacun des Présidents précités, ce qui fut accompli au cours de la même année 1994.

      Notons que ces cadeaux symboliques de fleurs sacrées de la part de S.E. Dialungana Kiangani Salomon furent une invite concrète et un rappel: Réaliser dans les meilleurs délais, la prophétie de la rencontre tripartite des trois Présidents des trois Kongos à Nkamba Nouvelle Jérusalem, sous la très haute autorité du Chef spirituel de l’église Kimbanguiste. L’un des signes préparatifs de cette importante rencontre tripartite pour les peuples d’Afrique avait été la construction en 1987, à Nkamba d’un building de trois étages, appelé « la Maison des Rois»(Mitinu), devant justement abriter les trois futures délégations respectives des trois Kongos. Dans ce cadre, trois fauteuils placés à droite de la tribune du temple de Nkamba Jérusalem depuis les années 80 symbolisent la future présence simultanée des trois Présidents précités. A ce jour, seul le Président de la R.D.C., Joseph Kabila avait pris place dans le fauteuil réservé, le 19 juin 2001. Nous attendons jusqu’alors la réalisation de l’importante Tripartite des trois Présidents des trois Kongos à Nkamba Nouvelle Jérusalem, sous la très haute autorité du chef suprême de l’église Kimbanguiste.
    • Lors de sa visite officielle à Nkamba Nouvelle Jérusalem en juillet 1999, le Secrétaire Général du Conseil Oecuménique des Eglises, le Rev. Dr Konrad Raiser avait déclaré: « La Cité sainte de Nkamba Jérusalem et l’eau bénite de Nkamba Jérusalem constituent un grand trésor, non seulement pour l’Afrique, mais pour l’humanité toute entière. Par conséquent, les Kimbanguistes ne devraient pas considérer cet héritage commun comme leur bien propre. »
    • Le 10 avril 2000, à 14 heures 30 à Nkamba Nouvelle Jérusalem, Papa Dialungana Kiangani Salomon avait publiquement déclaré: « Si l’on vous demande qui est le Christ que le monde entier cherche depuis longtemps, dites que c’est moi. Je suis revenu. Vous pouvez l’annoncer maintenant au monde entier.»(Cf. Notre article sur NOEL). Cette grande révélation, porteuse d’espoir pour l’Afrique, continue malgré tout à alimenter des polémiques dans le monde. Mais, nous savons par ailleurs que le troisième secret de Fatima continue, lui aussi, en parallèle à alimenter une polémique redoutable, depuis 88 ans.
    • Le 11 octobre 2000, la grande prophétie de Papa Simon Kimbangu sur le retour des Africains-Américains en Afrique fut lancée à Nkamba Nouvelle Jérusalem, un an avant la célébration du 1er Jubilé (1951-2001) de Papa Simon Kimbangu. La 1ère délégation d’Africains - Américains fut conduite par Mr George Harris ou Diambu Dia Kiese de la ville d’Atlanta en Georgie, USA et comprenait aussi des Africains-Britanniques. Ils ont séjourné au Congo-Kinshasa, du 5 au 21 octobre 2000. La seconde délégation (décembre 2000) fut conduite par Dr Ramona Tascoe, habitant la ville de Oakland en Californie. Les deux délégations furent accueillies à la hauteur de la légendaire et très chaleureuse hospitalité Kimbanguiste. L’accueil triomphal accordé à la 1ère délégation d’enfants prodigues et leur départ de Kinshasa jusqu’à Nkamba Jérusalem se sont déroulés, indépendamment de leur volonté, suivant les écrits Bibliques, dans Lévitique 25: 8-11 :

      «Vous laisserez s’écouler sept périodes de sept ans, soit 49 ans. Ensuite le 10e jour du 7e mois, le grand jour du pardon des péchés, vous ferez retentir dans tout le pays une sonnerie de trompette accompagnée d’acclamations. De cette manière vous déclarerez sainte la 50e année, et vous proclamerez la libération pour tous les habitants du pays. Cette année portera le nom de « Jubilé ». A cette occasion, chacun d’entre vous pourra entrer en possession de ses terres et regagner sa famille. C’est ainsi que vous célébrerez tous les 50 ans l’année du « Jubilé.» (Lévitique 25: 8-11)

      Commentaires :
      La délégation d’Africains – Américains et Africains-Britanniques, en quittant Kinshasa le 10e jour du 7e mois juif (octobre), était vivement attendue sur tout le parcours entre Kinshasa et Nkamba; des fidèles Kimbanguistes étaient rassemblés pour accueillir cette délégation, chantant, palmes à la main, pour symboliser «dans tout le pays, les sons de trompette, accompagnée d’acclamations. » La délégation qui fut arrivée à Nkamba le 11 octobre 2000, avait été très chaleureusement accueillie avec beaucoup d’amour, spirituellement avec des retentissements de trompettes et des acclamations populaires: ce fut tout juste au moment des honneurs au Chef spirituel. A cet effet, la Fanfare Kimbanguiste de Nkamba Jérusalem, toute scintillante, était au grand complet.
      Par ailleurs, la 1ère quinzaine du mois d’octobre constitue généralement chez les fidèles Kimbanguistes un temps de prières intenses en vue du pardon des péchés, afin de prendre par la suite et en paix la communion Kimbanguiste, prévue au cours des festivités du 12 octobre. La date du 10 octobre est donc logiquement comprise dans la période retenue pour la demande du pardon par les fidèles Kimbanguistes, avant la sainte cène. Le 10e jour du mois d’octobre peut donc valablement symboliser le « grand jour du pardon des péchés» dont il est question dans Lévitique 25:9.
      Le 12 octobre 2000, l’Eglise Kimbanguiste avait célébré le 49e anniversaire de la mort de Papa Simon Kimbangu. Le 12 Octobre 2001, l’Eglise Kimbanguiste célébra avec faste les 50 ans de Papa Simon Kimbangu, c’est a dire le « Jubilé.» 2001 fut en quelque sorte « une année sainte pour la libération des habitants du pays », des enfants prodigues venus d’outre atlantique.
      C’était donc l’année où chacun des enfants prodigues pouvait regagner librement la mère patrie et y retrouver sa famille. Par exemple, Dr Joyce (membre de la 3è délégation du 6 avril 2001) l’avait fait, en quittant par la suite la Californie natale pour repartir vivre librement au Congo, à Nkamba Nouvelle Jérusalem, où tout lui fut offert par les fidèles Kimbanguistes: Du travail, une villa complètement équipée, un véhicule tout terrain, beaucoup d’amour fraternel, etc. La direction de l’hôpital de Nkamba, à Yanda lui fut offerte. Dr Joyce a finalement quitté la cité sainte de Nkamba Nouvelle Jérusalem pour aller habiter la ville de Kinshasa, revenant ainsi subir les vicissitudes de la vie mondaine.
      L’année 2001 du Jubilé de Papa Simon Kimbangu fut en même temps la première année du millénaire du Saint-Esprit. Ainsi, le processus de lancement de la prophétie de Papa Simon Kimbangu sur les Africains – Américains avait déjà été décrit dans la bible, dans Lévitique 25: 8-11.
    • Le 16 janvier 2001 à Nkamba Jérusalem, S.E. Dialungana Kiangani Salomon posa la 1ère pierre pour la construction d’une Cité dédiée aux Africains-Américains, retournant à la mère patrie. Cette cité appelée « Nkendolo » devrait comprendre 352 résidences complètes et des « restaurants spéciaux », pouvant loger et restaurer plus de mille visiteurs à la fois. Actuellement une vingtaine de résidences, construites sur fonds propres de l’église, sont opérationnelles à Nkendolo et d’autres maisons attendent des financements pour leur construction. Nkendolo est une cité résidentielle de promesses spirituelles et un site par excellence d’unité des nations et des peuples à Nkamba Nouvelle Jérusalem.
      C’est à juste titre que S.E Dialungana Kiangani Salomon avait dit que « la finition de Nkendolo mettra fin à nos souffrances ».
      Un réel défi à relever!
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    4. Sur le plan spirituel, Nkamba Nouvelle Jérusalem est, selon diverses révélations, un véritable trésor, une vraie béatitude.

    Les trois fils de Papa Simon Kimbangu nous avaient révélé que la Nouvelle Jérusalem spirituelle est immense et s’étend sur plusieurs Kilomètres. Nous pouvons ici noter quelques sites spirituels et historiques connus à Nkamba Nouvelle Jérusalem :
  • Le Mausolée de Papa Simon Kimbangu,
  • Le Mausolée de Maman Muilu Marie Kiawanga (épouse de Simon Kimbangu),
  • Le Temple de Nkamba avec plus de 37000 places assises,
  • La source d'eau bénite,
  • Le site de la 1ère guérison miraculeuse de l'agonisante Nkiantondo, le 6 avril 1921 qui marqua le début du Ministère de Papa Simon Kimbangu,
  • Les lieux des rencontres entre Papa Simon Kimbangu et le Seigneur Jésus Christ,
  • Les lieux de prière et des travaux spirituels de Papa Simon Kimbangu
  • La carte d’Afrique, sortie naturellement de la terre à Nkamba Jérusalem,
  • Le palmier où Papa Simon Kimbangu transforma une amende pourrie en une noix excellente devant son jeune ami Kumpenda (1er miracle opéré par Papa Simon Kimbangu).

  • La Cité sainte de Nkamba -Nouvelle Jérusalem est le siège du Cabinet de travail du Chef Spirituel, Représentant légal de l'Eglise Kimbanguiste. C'est également le siège de l’Assemblée Générale Internationale Kimbanguiste. Le Grand Clergé Kimbanguiste y travaille près le Chef Spirituel. L'Assemblée Générale Kimbanguiste s'y réunit au moins une fois par an, à l'occasion des fêtes du 6 Avril ou du 12 Octobre.
    Nkamba- Nouvelle Jérusalem est aujourd'hui une cité d'attraction naturelle, d'unité des chrétiens du monde, une cité d'amour, de paix véritable et de réconfort moral et spirituel de tous les enfants de Dieu. La Cité sainte de Nkamba donne souvent aux personnes préparées dans la foi, la réponse aux différents problèmes qui les préoccupent.
    C'est le lieu par excellence des prières pour les moments de défis majeurs, des situations difficiles. En effet, Nkamba -Nouvelle Jérusalem, par sa lumière divine, aide, éclaire, guide, réconforte, rétablit la liaison spirituelle rompue avec Dieu. Ce commentaire ne nous parait pas excessif car chaque personne, spirituellement préparée peut s'en convaincre sur place, à Nkamba Nouvelle Jérusalem. N’en déplaise aux détracteurs de tout acabit, «pleins de vide spirituel» ou vidés de la lumière divine, qui véhiculent haineusement, ici et là de macabres sacrilèges à l’égard de la cité de Dieu!
    Ainsi présentée, La Cité sainte de Nkamba Nouvelle Jérusalem mérite un amour particulier, à la hauteur des attentes de l’humanité tout entière.
    En effet :
    • La Nouvelle Jérusalem est la cité natale de Simon Kimbangu, Envoyé Spécial de Jésus Christ.
    • La Nouvelle Jérusalem est le lieu où Jésus Christ avait, en 1918 choisi Simon Kimbangu pour continuer l’œuvre du Christ sur terre.
    • C’est le lieu où Simon Kimbangu avait demandé ses disciples à Dieu, comme le fit Jésus Christ, en son temps.
    • La Nouvelle Jérusalem est une cité des promesses de Dieu, annoncées par les prophètes Esaie, Jérémie, Ezékiel, et dans Hébreux, Apocalypse. Les prophéties ont annoncé que la Nouvelle Jérusalem descendra du ciel sur terre: C’est ce qui fut observé en 1935 et cette vision s’est ensuite matérialisée.
    • La Nouvelle Jérusalem est une cité des bénédictions.
    • La Nouvelle Jérusalem possède une source d’eau bénite permanente qui guérit toutes sortes de maladies pour ceux qui croient en vérité. La terre de la cité sainte est sacrée et soigne aussi des malades.
    • Tous les citoyens du monde peuvent se rendre librement à la Nouvelle Jérusalem pour glorifier Dieu et jouir des merveilles spirituelles.
    • La Nouvelle Jérusalem est l’expression même de la puissance divine, de la gloire et la louange à Dieu à travers les chants, la musique, etc.
    • Les magiciens et sorciers n’aiment pas la Nouvelle Jérusalem, notamment à cause des commandements et du code moral qu’il faut respecter.
    Nkamba Nouvelle Jérusalem constitue la merveilleuse promesse de Dieu. La Nouvelle Jérusalem est le siège de Dieu (Apocalypse 21: 2-3.)

    En conclusion,
    l’importance fondamentale et stratégique de Nkamba Nouvelle Jérusalem pour l’humanité est telle que l’intelligence humaine ne peut pas discerner pour l’instant. Au moment prévu par Dieu, Nkamba Nouvelle Jérusalem, “resplendissante de la gloire de Dieu,“ nous sera révélée. Alors nous comprendrons que Nkamba Nouvelle Jérusalem est le véritable centre névralgique et stratégique du guidage spirituel par le Dieu trinitaire. Quand le monde le comprendra (Zacharie 8: 23), il n’y aura plus assez de places pour accueillir tous les enfants de Dieu qui vont y déferler pour se ressourcer, développer leurs dons spirituels, louer et célébrer l’Eternel.


    NOTES :
    (1) Article du Rev. Basile AKIELE

    Remerciements.

    Les données sur Nkamba Nouvelle Jérusalem ont été récoltées directement à la source par l’auteur qui exprime sa profonde gratitude au Chef spirituel de l’EJCSK, à la postérité de Papa Simon Kimbangu, pour les précieuses informations mises à sa disposition.
    C’est également le lieu d’exprimer notre gratitude à feue Maman Mikala Mandombe et sa postérité, aux anciens et à certains jeunes de Nkamba Jérusalem.
    L’auteur remercie profondément les membres de la Fanfare Kimbanguiste (FAKI), de la Chorale Yeluselemi, tout particulièrement Maman Alphonsine Wasisiluadio et Maman Louise Nkébani (les deux rescapées du groupe de 12 jeunes filles, spécialement choisies et spirituellement formées par Papa Diangienda Kuntima au début des années 1960), pour leurs témoignages poignants et précieux. Que Papa Gabriel Patrick Fukiakanda trouve ici l’expression fraternelle de notre reconnaissance pour sa contribution vivifiante !
    Nos sincères remerciements vont aussi à l’endroit de certains cadres universitaires Kimbanguistes, aux Africains-Américains et à quelques chercheurs occidentaux pour leurs témoignages éloquents sur les mystères incontestables de Nkamba Nouvelle Jérusalem.
     
     
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