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Documents,
Analyses, Récits, Poèmes, ...
La naissance de Jésus Christ
(NOEL) : le 25 mai et non le 25 décembre, selon les révélations
Kimbanguistes.
1. Préambule
Kimbangu signifie le révélateur des secrets et
mystères du ciel ou du monde. Daniel faisait certainement
allusion à lui, quand il annonça au roi babylonien
«qu’il y a dans le ciel un Dieu qui dévoile
les mystères » (Daniel 2: 28).
Tous les fidèles Kimbanguistes de bonne foi dans le monde
croient en Simon Kimbangu, le fondateur de l’église
Kimbanguiste, comme l’Esprit de vérité,
le consolateur promis par Christ. Cette disposition de foi fut
pour la première fois libellée, de manière
juridique, dans les nouveaux statuts de l’église
Kimbanguiste (EJCSK), élaborés en avril 1997.
La mission primordiale de l’église Kimbanguiste
est de sauver les âmes. Une autre mission fondamentale
de cette église est de révéler à
l’humanité les secrets et mystères du ciel
et du monde.
Dans ce contexte et en guise d’exemple, Simon Kimbangu
avait révélé en 1897, à l’âge
de 10 ans, à ses parents et aux anciens réunis
à Nkamba: « Avant que vous ne soyez nés,
j’existais déjà. Vous n’y croyez pas,
mais sachez que mon nom sera connu dans le monde entier: Cela
aura lieu quand vous ne serez plus en vie» (Archives Kimbanguistes).
Plus tard, au cours de son puissant ministère, il révéla
aux fidèles Kimbanguistes : « Nous aurons notre
propre Livre sacré, dans lequel seront écrites
des choses cachées pour la race noire et les peuples
du Kongo » (Prédication matinale du 10 septembre
1921 à Mbanza Nsanda).
Aux relégués Kimbanguistes à Lowa, Simon
Kimbangu révéla : « J’ai vaincu le
monde et ses quatre coins m’ont été accordés
par Dieu. A l’avenir, il ne restera qu’une seule
église, une seule langue, un seul royaume et un seul
roi, moi Simon Kimbangu » (déclaration faite le
5 août 1952 à Lowa, Congo/Kinshasa). L’église
Kimbanguiste est manifestement une église de révélations.
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2. NOEL
dans le temps et l’espace
La naissance de Jésus Christ est une fête anniversaire,
appelée « La Nativité » ou «Noël
».
Quelle est la signification
du mot Noël ?
Dans la liturgie latine, Noël désigne la naissance
de Jésus. Les mots utilisés au départ furent
« Festum Nativita Domini Nostri Jesu Christi » ou,
plus simplement « Natalis Domini » ou « Dies
Natalis », c’est à dire « Jour de naissance
du Seigneur ». De là apparurent diverses expressions
populaires, comme Noël, en langue française. L'appellation
Christmas (Xmas), utilisée aux USA et dans d’autres
pays anglo-saxons est une abréviation de Christ et Mass
("messe").
Venons-en à présent,
à la date de naissance du Christ.
Des sources concordantes, Jésus Christ exerça
son ministère pendant 3 ans et fut crucifié à
Golgotha en l’an 30, à l’âge de 33
ans. Ceci signifie qu’au commencement de l’ère
historique Jésus Christ (c’est à dire à
l’an 1), notre Seigneur avait 3 ans. Logiquement, notre
Seigneur est donc né à Bethléem en Judée,
en l’an 3 avant l’ère Jésus Christ,
sous le règne du roi Hérode (4 av. J.C.-39 apr.
J.C.): Mais, à quelle période de l’année,
quel mois et quel jour de la semaine? La réponse à
cette question est l’objet du présent article.
Après plus de 1500 ans après J.C. d’une
pratique mensongère, conventionnée et codée
par des empereurs et hommes d’église de Rome sur
la date de naissance de Jésus Christ, les Kimbanguistes
décidèrent de rompre avec cette habitude séculaire.
Le 24 décembre 1990, à minuit, S.E. Diangienda
Kuntima Joseph avait rompu avec la tradition catholique d’organiser
la veillée de Noël, en déclarant: «
Jésus Christ était né le 25 (vingt cinq)
d’un autre mois que celui de décembre. Tôt
ou tard, vous connaîtrez ce mois. C’est un secret
que vous découvrirez à travers des recherches.
» (Archives Kimbanguistes).
Notons que les veillées de Noël, les messes de minuit
constituent un symbolisme conventionnel. En effet, comment expliquer
bibliquement ces messes de minuit ? La question peut encore
être posée avec intérêt: Jésus
Christ est-il né à minuit ? Que la recherche biblique
continue!
Le 24 mai 1996, à minuit, après un culte consacré
au 80è Anniversaire de sa naissance, S.E. Dialungana
Kiangani Salomon poussa trois fois un cri de joie: Noël
! ééé ; Noël ! ééé
; Noël ! ééé.
Les fidèles en effervescence et en ébullition
comprirent alors que le mois de mai est celui de NOEL auquel
faisait allusion S.E. Diangienda Kuntima, 66 mois auparavant.
L’Assemblée Générale de l’église
Kimbanguiste, tenue du 27 au 31 mars 1999 à Nkamba Jérusalem,
après des recherches bibliques approfondies et une analyse
conséquente sérieuse, déboucha sur la conclusion
logique que la «Noël », jour de la naissance
de Jésus Christ, sera désormais célébrée
par les Kimbanguistes le 25 Mai de chaque année. Notre
Seigneur Jésus Christ est né le 25 mai et non
le 25 décembre.
C’est ainsi, que partout dans les temples et paroisses
Kimbanguistes, des prédications se mirent à étaler
le savoir biblique et l’inspiration de Dieu pour argumenter
cette importante révélation. La goutte d’eau
commença alors à faire bouger l’océan:
une goutte de vérité remua l’océan
de mensonges sur la naissance du Christ Dieu.
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Qu’en est-il, au
juste ?
Selon L’Evangile de saint Luc 1: 26, l’ange Gabriel,
envoyé par Dieu, est venu faire l’annonce à
la Vierge Marie au sixième mois du calendrier juif. Le
calendrier juif commence par le mois d’Abib ou Nisan (Exode
12: 1-2; 13: 1-4), ce qui correspond au mois d’Avril du
calendrier Grégorien. Le douzième mois du calendrier
juif est Adar. (Ester 3: 7) L’ange dit à Marie:
« Réjouis-toi, le Seigneur t’a accordé
une grâce particulière, il est avec toi. N’aies
pas peur, Marie car tu as la faveur de Dieu. Tu vas devenir
enceinte et tu mettras au monde un fils que tu nommeras Jésus.
Il sera grand et on l’appellera le Fils du Dieu très
haut. Le Seigneur Dieu fera de lui un roi, comme le fut David
son ancêtre, et il règnera sur le peuple
d’Israël pour toujours ; Son règne n’aura
point de fin. » (Luc1: 28-33)
Marie dit à l’ange: « Comment cela sera-t-
il possible, puisque je suis vierge ? » (Luc 1: 34)
L’ange répondit: « Le Saint-Esprit viendra
sur toi et la puissance du Dieu très haut te couvrira
comme d’une ombre. C’est pourquoi on appellera saint
et Fils de Dieu l’enfant qui doit naître. Elisabeth
ta parente attend elle-même un fils, bien qu’elle
soit âgée; on disait qu’elle ne pouvait pas
avoir d’enfant et elle en est maintenant à son
sixième mois. Car rien n’est impossible à
Dieu. » (Luc 1: 35-37)
Marie avait obéi à Dieu, en disant : « Je
suis la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait comme
tu l’as dit. » (Luc 1: 38)
A cette même époque, Marie se mit en route et se
rendit en hâte dans une ville de la région montagneuse
de Judée pour rencontrer sa parente Elisabeth qui portait
déjà le bébé Jean Baptiste. La rencontre
entre les deux femmes est très révélatrice:
Au moment où Elisabeth entendit la salutation de Marie,
l’enfant remua au-dedans d’elle. Elisabeth fut remplie
du Saint-Esprit et s’écria d’une voix forte:
« Dieu t’a bénie plus que toutes les femmes
et sa bénédiction repose sur l’enfant que
tu auras! Qui suis - je pour que la mère de mon Seigneur
vienne chez moi ? » (Luc 1: 39-43)
Ainsi, après l’annonce de l’ange Gabriel,
il est clair que courant septembre, la Vierge Marie était
conçue par le Saint-Esprit. Les deux femmes (la Vierge
Marie et Elisabeth) étaient porteuses de bébés,
au moment où elles se sont rencontrées. Le Saint-Esprit
l’avait révélé à travers Elisabeth,
suite à la salutation de Marie. Marie demeura trois mois
chez Elisabeth, puis retourna chez elle (Luc 1: 56).
Au mois de décembre, le bébé de Marie n’avait
que 4 mois et ne pouvait pas naître, le Christ ne peut
être un prématuré de 4 mois car Dieu est
la perfection absolue. Ainsi, à partir du sixième
mois, c’est à dire de septembre, jusqu’en
mai, cela fait 9 mois de grossesse normale. C’est clair
comme l’eau de source, le Christ est né en mai,
et les Kimbanguistes précisent que c’est le 25
mai.
Par ailleurs, au mois de décembre, en Europe et en Israël,
il fait très froid, c’est l’hiver. Les bergers
ne pouvaient pas, par conséquent, demeurer dehors en
train de faire paître leurs animaux. Les bergers faisaient
donc paître leurs animaux, au moment où il fait
beau temps dehors, comme indiqué dans la bible: «
Dans cette même région, il y avait des bergers
qui passaient la nuit dans les champs pour garder leur troupeau.
» (Luc 2: 8) En tous cas, les bergers et leurs animaux
ne pouvaient véritablement pas survivre, s’ils
passaient des nuits et des nuits entières, à la
belle étoile et sous le grand froid d’hiver en
fin décembre.
D’autre part, l’heureux couple, Joseph et Marie
ne pouvaient pas, non plus demeurer à un endroit aussi
exposé au froid d’hiver pendant la naissance de
leur enfant. « Elle mit au monde un fils, son premier
né. Elle l’enveloppa de langes et le coucha dans
une crèche, parce qu’il n’y avait pas de
place pour eux dans la maison où logeaient les voyageurs.
» (Luc 2 :7) Le couple béni s’est donc retrouvé
dans la mangeoire d’animaux, remplie de paille et qui
était complètement exposée à l’air
extérieur. Pour couvrir le corps saint et doux du bébé
Jésus, Marie s’est servie simplement de petits
rectangles de laine ou de coton (langes); rien de plus, pas
de couverture, ni quelques autres habits chauds, généralement
utilisés pour protéger les bébés
en hiver. Ceci montre bien que Jésus Christ ne pouvait
pas naître au mois de décembre, dans les conditions
telles que décrites dans la Sainte Bible. (Luc 2: 7)
Alors que s’est-il passé ? Pourquoi a-t-on si longtemps
abusé des Chrétiens du monde?
L’histoire nous apprend que l’homme, en cultivant
la terre, s’intéressait beaucoup à la trajectoire
du soleil car de ce dernier dépendaient la nourriture,
la chaleur et le bien être. Ainsi, les païens se
sont mis à adorer en masse le Soleil et en ont fait un
Dieu. Il y avait aussi Saturne, le Dieu des semailles et de
la moisson dont la fête d’adoration et de célébration
appelée « les Saturnales » donnait lieu à
des réjouissances licencieuses, du 17 au 24 décembre:
les gens y venaient en masse et buvaient plus que d’ordinaire,
faisaient du vacarme, jouaient et dansaient, donnaient des repas
aux esclaves. Il y avait une sorte de gentillesse envers tous,
mais, dans une ambiance malsaine, impure et perverse.
Les Saturnales se déroulaient, chaque année pour
célébrer la remontée progressive du soleil
au solstice d'hiver, et culminaient en grandes orgies le 25
décembre, jour de naissance du Dieu solaire (Soleil invaincu)
et de la célébration du Dieu Mithra. Dans la secte
Mithra, la nuit du 24 au 25 décembre était célébrée
comme fête du Dieu de la lumière (Soleil) qui repoussait
les ténèbres de l’hiver. Pour terminer ces
fêtes païennes, les Romains avaient l'habitude d'offrir
des cadeaux, principalement aux enfants et les maisons étaient
décorées de plantes vertes. Ce qui explique actuellement
la tradition des cadeaux de Noël et du sapin ou arbre de
Noël.
Il convient de noter encore qu’a cette époque,
les fêtes païennes attiraient beaucoup plus de monde
que les cultes et les prières des Chrétiens. Les
chefs religieux et empereurs chrétiens de Rome avaient
alors arbitrairement décidé que la fête
de Noël soit célébrée le jour même
de la fameuse fête païenne, afin de pouvoir effacer
de la mémoire des païens les Saturnales et les orgies
de la fête du Dieu Soleil, d’une part et pour avoir
plus de fidèles de leur coté, d’autre part.
L’habitude prit corps et se transforma en tradition religieuse
institutionnalisée.
Dans ce contexte, en l’an 353 après J.C., le pape
Libère (papauté: 352-366) instaura solennellement
la Nativité (Noël) le 25 décembre, le même
jour de la fête païenne du Dieu Soleil. Cette fête
prit alors une grande importance dans le christianisme et devint
même le début de l'année liturgique catholique.
Des conventions et des codes spéciaux furent adoptés
pour institutionnaliser et enjoliver la Noël dans le monde.
En définitive, le 25 décembre, fête païenne
du "soleil invaincu," fut choisi puis imposé
au monde de manière arbitraire et par un simple désir
humain, pour célébrer la naissance de Jésus
Christ appelé « Lumière du Monde. »
Mais, la solennité de Noël avait fini par christianiser
la fête païenne; et pourtant le 25 décembre,
vu comme Noël est incontestablement une date fictive qui
ne repose sur aucun texte biblique!
Depuis que le monde, peu à peu, a compris le mensonge
grossier séculaire sur la Noël chrétienne,
la fête conventionnelle du 25 décembre redevient
païenne dans le fond, comme elle l’a toujours réellement
été. Dans les grandes sociétés de
consommations, le 25 décembre est devenu simplement un
repère attractif, autour duquel le business et les grandes
affaires se font joyeusement sur une fondation qui est un grand
mensonge. Rappelez - vous, s’il vous plait, la légende
du père Noël et ses beaux cadeaux aux enfants! Le
25 décembre est généralement devenu la
fête de la famille et de la chaleur humaine, un moment
de tolérance, de paix et de fraternité. Tant mieux
! Pourvu, que le Christ soit sorti de ce sacrilège!
Alors, on peut donc considérer que les révélations
Kimbanguistes sur la NOEL se sont avérées constructives
et justes. La question nous parait résolue. Il n’y
a plus débat!
3. La grande révélation
de Papa Dialungana Kiangani Salomon
Le 25 mai, « Jour de l’Afrique, »
jour de Noël, est aussi l’anniversaire de la naissance
de Papa Dialungana Kiangani Salomon (1916-2001). Papa Dialungana
Kiangani Salomon, second fils de Simon Kimbangu était
désigné par son père pour garder Nkamba
Nouvelle Jérusalem. C’est pourquoi, les fidèles
l’appelaient affectueusement Papa Mfumu’a Mbanza,
c’est à dire le gardien de la cité sainte
de Nkamba Jérusalem. Dans son hospitalité légendaire,
il ne voulait discuter sérieusement avec ses hôtes,
à leur arrivée à Nkamba Jérusalem,
qu’après s’être rassuré qu’ils
étaient déjà logés et correctement
nourris. Serviteur toujours disponible, Papa Mfumu’a Mbanza
aimait aussi l’agriculture, l’élevage, la
pisciculture. Il avait accompli sa mission avec succès
grâce à ses attributs divins manifestes. Son nom,
Dialungana signifie «Accomplissement. » Son amour
était tout particulièrement hors du commun. L’auteur
de ces lignes en sait quelque chose.
En effet, les œuvres, l’action évangélique,
la pureté de cœur, la douceur, le charisme et l’extrême
sagesse, le haut degré d’amour et l’étonnante
humilité de Papa Dialungana Kiangani Salomon ont montré
qu’il était vraiment le Fils de Dieu. Il guérissait
toutes sortes de maladies, ressuscitait les morts, avait marché
sur les eaux, possédait le don d’ubiquité
(omniprésence), etc. Il a montré toute sa vie
durant des signes de puissance, révélé
des secrets et mystères, du reste comme l’a fait
Papa Simon Kimbangu.
Ouvrons une petite parenthèse utile, avant de continuer.
L’histoire du Kimbanguisme est relatée par certains
témoins clés (acteurs) qui sont encore en vie,
en 2005. On peut donc vérifier quelques faits sur le
terrain. En effet, en décrivant les attributs divins
de Papa Dialungana Kiangani, certains lecteurs ignorants pourraient
penser à une flatterie ou à l’imposture.
Ici, ce n’est pas le cas, car quand on ne connaît
pas l’histoire profonde de la contrée, on flotte,
alors il faut soit apprendre, soit se taire. Comme, «
nul n’est prophète chez soi, » Papa Simon
Kimbangu montrait et continue à montrer plusieurs mystères
et secrets aux non-Kimbanguistes et à ses enfants, éloignés
de sa contrée natale. Dieu montre ses trésors
à ceux qui l’aiment. (1Corinth.2: 9)
Par exemple, selon des témoignages dignes de foi, Papa
Nsumbu Simon de Lukengo connaissait beaucoup de secrets de son
ami Simon Kimbangu, mais ce ne fut pas le cas de tous les habitants
de Lukengo. Papa Kiniuka (père de Maman Pauline Nsalulu
Kisolokele, épouse de Papa Kisolokele Lukelo qui est
le 1er fils de Simon Kimbangu), vivait pourtant à moins
de cent mètres de la maison de Papa Nsumbu Simon; les
deux maisons, témoins de l’histoire, existent présentement
à Lukengo. Alors, attention à la diffamation envers
ceux qui agissent en l’honneur du Seigneur, car l’Eternel
a plusieurs façons de punir! Le cas biblique de Mikal,
fille de Saul et épouse de David, est très révélateur:
à cause de sa raillerie extravagante, Mikal fut rendue
stérile jusqu’à sa mort. (2 Samuel 6:16;
20-23) Notre devoir est donc d’honorer, louer et célébrer
le Seigneur, car les louanges, les chants, la musique et la
gloire sont la nourriture spirituelle de Dieu. « Il est
bon de tenir cachés les secrets d’un roi, mais
les œuvres de Dieu méritent qu’on les révèle
et qu’on les proclame dans toute leur grandeur. »
(Tobit 12 : 7, 11). Après cette parenthèse, continuons
à présent notre récit.
L’année 2000 fut pleine de révélations,
faites par Papa Dialungana Kiangani. Au début de l’année
2000, troublée par les fausses alarmes occidentales sur
la fameuse fin du monde, Papa Dialungana Kiangani, appelant
calmement les fidèles à persévérer
dans les prières, annonça à Nkamba Jérusalem
: « Ce qui était à droite est désormais
passé à gauche et ce qui était à
gauche est allé à droite. » A l’Assemblé
Générale Kimbanguiste du 4 avril 2000, les «
Lamentations de Papa Dialungana Kiangani » avaient mis
en exergue la tension et le refroidissement parmi les fidèles
Kimbanguistes. Le 9 avril 2000, au cours du culte Kimbanguiste,
une petite lueur vivifiante vint effleurer à nouveau
les visages des fidèles pendant l’écoute
solennelle du vibrant message de la délégation
américaine relatif au plan d’action des Africains-Américains
et à l’imminence de leur arrivée à
Nkamba Jérusalem. Yes ! Quand arriveront-ils à
Nkamba ? C’était une question joyeuse, fréquente
et lumineuse. Cette petite lueur créa un certain espoir,
réchauffa les contacts entre fidèles et réconforta,
assurément Papa Mfumu’a Mbanza.
Le jour suivant, le 10 avril 2000, contre toute attente, il
avait alors plu au Père spirituel, S.E. Dialungana Kiangani
de faire sentir aux fidèles l’ambiance «
du chant des pèlerinages du Psaume 126 », en nous
révélant clairement sa personnalité divine.
En effet, le 10 avril 2000 à 14 heures 30 minutes, 17
mois avant de retourner au ciel, S.E. Dialungana Kiangani Salomon
fit, devant témoins et pour la première fois,
une grande révélation à Nkamba Nouvelle
Jérusalem, en ces termes : «
Si l’on vous demande qui est le Christ que le monde entier
cherche depuis longtemps, dites que c’est moi. Je suis
revenu. Vous pouvez l’annoncer maintenant au monde entier
».
Cette révélation
salutaire fut colossale dans un monde où la foi est petite
: elle fit tourner la tête
à certaines personnes à travers le monde et la
bourrasque continue à souffler dans les esprits sans
discernement. Le « petit monde » se pose toujours
la question de savoir si Dialungana Kiangani Salomon est le
Christ. De nombreux Kimbanguistes préparés répondent
par l’affirmative. Dans la foi, les Kimbanguistes y croyaient
déjà, bien avant l’annonce du 10 avril 2000.
Un an plus tard, la réaction attendue des théologiens
Kimbanguistes arriva. Ce fut une réflexion des théologiens
Kimbanguistes à travers un article, signé de l’ancien
doyen de la Faculté de Théologie de l’Université
Simon Kimbangu, Rev. Dr Ngwapitshi Kayongo, et intitulé
« Les théologiens Kimbanguistes confirment: Papa
Dialungana Kiangani est Christ. » Cet article fut publié
dans le Journal « Le Kimbanguisme Info », Edition
No 1 du vendredi 25 mai 2001.
La conclusion de la réflexion des théologiens
Kimbanguistes en 2001 fut la suivante: « Chaque individu
a sa structure d’existence propre qui le distingue de
ses proches. Dans le cas de Papa Dialungana Kiangani, sa structure
d’existence lui confère une personnalité
unique dans laquelle il y a Christ et du Christique. C’est
pourquoi, il nous faut conclure qu’il est Christ sur le
plan de la théologie du process. »
Le Conseil Oecuménique des Eglises (COE), qui n’a
pourtant pas l’habitude de se pencher sur les questions
d’orthodoxie doctrinale des églises membres, s’est
senti, lui aussi, secoué sur sa base. Le monde a vite
pensé que l’EJCSK est en délicatesse avec
le COE. Certains extrémistes véreux, aux allures
de guerriers aveugles, ont même souhaiter sortir l’EJCSK
du groupe d’amis en Christ qu’est le COE. L’EJCSK,
église indépendante d’Afrique, membre de
la CETA est fondamentalement une institution chrétienne.
Il s’agit bien de l’église de Jésus
Christ sur la terre par Son envoyé spécial Simon
Kimbangu. C’est notre Seigneur Jésus Christ, lui-même
qui avait choisi Simon Kimbangu, en 1918 sur la colline de Nkamba,
pour une mission précise:
« Simon Kimbangu, mon peuple est infidèle, je t’ai
choisi, pour témoigner de moi et pour le conduire sur
la voie de la vérité et du salut. Ta mission sera
difficile, mais ne crains rien car je demeurerai toujours à
tes cotés.” (L’histoire du Kimbanguisme,
Diangienda Kuntima, p. 22)
Ceci dit, le problème de fond pourrait, peut-être
résider ailleurs. Est- ce le manque de discernement sur
le mystère de l’incarnation, fondement du symbolisme
chrétien ? Est-ce le refus de discerner les nombreuses
références bibliques sur Christ et son retour
sur terre ? Est-ce de la simple mauvaise foi pour continuer
à amuser la galerie? Est- ce la crainte des conséquences
prévisibles pouvant bouleverser l’ordre judéo-chrétien
qui continue à dominer le monde d’aujourd’hui
?
Sans prétendre y répondre, nous vous invitons
humblement à la méditation sur quelques témoignages
et références bibliques suivants :
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- Dans Jean 14: 1-4, Le Christ
avait dit : « ne soyez pas inquiets. Croyez
en Dieu et croyez aussi en moi. Il y a beaucoup
d’endroits où demeurer dans la
maison de mon Père et je vais vous préparer
une place. Je ne vous l’aurai pas dit
si ce n’était pas vrai. Et après
être allé vous préparer
une place, je reviendrai et je vous prendrai
auprès de moi, là où je
suis. Vous connaissez le chemin qui conduit
où je vais. »
- Dans Jean 14 : 18-19, le Christ
précise : « Je ne vous laisserai
pas seuls ; je reviendrai vers vous. Dans peu
de temps le monde ne me verra plus, mais vous,
vous me verrez, parce que je vis et vous vivrez
aussi ». Le Christ était déjà
parti chez le Père et est revenu, comme
promis, vers nous pour nous encadrer, nous éduquer,
nous conduire, mais les gens de ce monde ne
le savaient pas réellement.
- Dans Apocalypse 3 : 12, Le
Christ avait encore dit : « Je ferai de
celui qui est vainqueur une colonne dans le
temple de mon Dieu et il n’en sortira
plus. J’écrirai sur lui le nom
de mon Dieu et le nom de la ville de mon Dieu;
la nouvelle Jérusalem qui va descendre
du ciel, envoyée par mon Dieu. J’écrirai
aussi sur lui le nom nouveau que je porte. »
Les enfants de Dieu rentreront finalement dans
l’enclos du Père pour ne plus se
perdre. Sur eux seront écrits le nom
de Dieu, le nom de la nouvelle Jérusalem
et le nom nouveau que porte le Christ. Aujourd’hui,
La nouvelle Jérusalem est connue, le
nouveau nom de Jésus Christ est aussi
connu.
- Décrivant les bouleversements
et cataclysmes devant arriver avant la venue
du Royaume de Dieu, Jésus Christ reçut
la question suivante de ses Disciples: Où
cela se passera - t - il, Seigneur ? Et Jésus
répondit immédiatement: «
Où sera le cadavre, là aussi se
rassembleront les vautours. » (Luc 17
: 37)
Evidemment, le Seigneur sera là, présent.
Aujourd’hui, à Nkamba Nouvelle
Jérusalem, autour du Mausolée
où est gardé le corps de Papa
Simon Kimbangu, gravitent, défilent et
se rassemblent les chrétiens et les citoyens
de différentes nations du monde, tout
comme nous le rappelle la dernière chanson
laissée par Papa Simon Kimbangu, qui
stipule : « Vous recevrez les familles
de toutes les nations du monde. Jésus
vous recevra et ne l’oubliez pas ».
En effet, les nations du monde défilaient
et continuent de défiler à Nkamba
Nouvelle Jérusalem, et c’était
le gardien de la cité sainte, Papa Dialungana
Kiangani Salomon qui les recevait toujours,
des années durant: c’est le sens
à donner à Luc 17 : 37.
- Au cours des derniers temps
avant l’an 2001, le Rev. Bena Nsilu, ancien
Directeur de cabinet du Chef Spirituel de l’EJCSK,
avait plusieurs fois posé la même
question à Papa Dialungana Kiangani Salomon
pour savoir s’il était vraiment
Jésus Christ. Il n’y avait pas
de réponse. Un jour, reformulant sa question
autrement, le Rev. Bena Nsilu (Physicien de
profession) la posa en ces termes : «
Papa Mfumu’a Mbanza, nous savons que quand
vous étiez parmi les Juifs, ces derniers
vous ont fait beaucoup souffrir, saboté,
torturé, humilié et crucifié.
Vous êtes mort dans la honte. Mais pourquoi
après tant de souffrances atroces, êtes
vous encore revenu, chez nous ? » Enfin
une brève réponse claire sortit
de la bouche de Papa Mfumu’a Mbanza (Dialungana
Kiangani Salomon), en ces termes: «Ce
n’est pas ma faute. Mon père voulait
qu’il en soit ainsi » (Archives
Kimbanguistes; le Rev. Bena Nsilu vit à
Kinshasa et peut être personnellement
contacté).
- Le Jeudi 25 Mai 1916 à
6 heures du matin, Papa Dialungana Kiangani
Salomon était né à Nkamba
Nouvelle Jérusalem, situé au nord
de l’Angola. A sa naissance les habitants
de Nkamba furent surpris car n’ayant pas
vraiment remarqué une grossesse très
visible chez la mère, Maman Muilu Marie
Kiawanga. D’ailleurs, cela demeure un
grand mystère relatif à la descente
sur terre des êtres célestes. Le
même constat fut fait à la naissance
des deux autres fils de Papa Simon Kimbangu.
Mais après tout, le mystère divin
est toujours hors du commun. La Vierge Marie
avait, elle aussi, été conçue
mystérieusement par le Saint Esprit pour
donner naissance à Jésus Christ,
Fils de Dieu.
- Le 13 mai 1917, puis le 13
de chaque mois jusqu’en octobre 1917,
la vierge Marie (La Madone) apparaissait à
trois jeunes enfants portugais, au sommet d’un
arbre - le chène, à Fatima au
Portugal. Elle leur avait confié trois
secrets dont le troisième ne devait être
dévoilé et divulgué qu’en
1960 par le Pape de Rome, en fonction cette
année là. Ce secret placé
dans une enveloppe était envoyé
au Vatican chez le Pape. C’est le pape
Benoît XV qui réceptionna cette
enveloppe et la scella dans les archives du
Vatican. Nous savons ce qui s’était
passé avec le Pape Jean XXIII en 1960
dès qu’il avait lu, devant les
Cardinaux, le contenu de l’enveloppe en
question. Désemparés et très
consternés, ils prirent précipitamment
la Décision de ne pas divulguer le troisième
Secret de Fatima, ce jusqu’aujourd’hui.
Nous développons cette question, en détails
dans notre livre sur « Papa Simon Kimbangu,
l’Esprit de vérité promis
», en cours d’édition.
Mais, depuis quelques années, Dieu tout
Puissant a déjà fait connaître
ce secret : « Dieu est noir et Jésus
Christ est Africain, vit au nord de l’Angola.
» Quel mal y avait-il à publier
cette vérité, sinon de craindre
les conséquences ? Le Seigneur Jésus
Christ est noir; Il vit au nord de l’Angola.
C’est la Vierge Marie qui annonça
cette bonne nouvelle le 13 juillet 1917 à
sœur Lucie, à Fatima, au Portugal,
tandis que Papa Dialungana Kiangani Salomon
était né une année auparavant,
le 25 mai 1916, et vivait précisément
au nord de l’Angola, à Nkamba Nouvelle
Jérusalem, au cœur de l’Afrique.
- En 1980 au Kenya, le Chef de
l’Eglise Catholique, le Pape Jean Paul
II, lors de son voyage en Afrique, en confortant
les fidèles du continent, avait déclaré
que « Dieu est
noir et Jésus Christ est lui-même
un Africain». Jean Paul II, insistant
auprès des Africains pour qu’ils
recherchent leur authenticité, déclara
enfin: « Si la sève est celle de
l’Eglise universelle, il faut aussi que
les fruits aient la saveur de l’Afrique.
» (Cf. Journal « Jeune Afrique No
135 de 1990). Après son audacieuse déclaration
en Afrique centrale, le Pape Jean Paul II avait
failli être assassiné. En effet,
l’année suivante, le 13 mai 1981,
le tireur armé Turc de 23 ans, Mehmet
Ali Agca tentait, vers 17 h 17 minutes de tuer
le Pape Jean Paul II. Grièvement blessé,
le Souverain pontife garda le lit d’hôpital
pendant plusieurs mois pour des opérations
chirurgicales successives et une longue guérison.
Le temps nous indiquera ce que fera le nouveau
pape, Benoît XVI, puisqu’il porte
le nom du pape (Benoît XV) qui avait réceptionné
l’enveloppe, venue du Portugal et contenant
le troisième secret de Fatima.
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Le Seigneur Jésus Christ était
venu vivre parmi les juifs pour sauver le monde entier du péché.
Beaucoup avaient finalement cru au Fils de Dieu, d’où
la reconnaissance du Dieu Trinitaire aux Conciles de Nicée
(325) et de Constantinople (381); d’autres n’ont
pas cru et continuent d’attendre jusqu’alors un
autre messie. Dommage ! Aujourd’hui, l’église
Kimbanguiste possède un ensemble de témoignages
concrets, poignants et solides sur la vie du Christ à
Nkamba Nouvelle Jérusalem: certains jubilent, d’autres
ne croient pas et pensent que les Kimbanguistes sont devenus
fous. Chut! Est-ce que le Pape Jean Paul II avait, lui aussi
perdu la raison en confirmant que Dieu est noir et que Jésus
Christ est un Africain ? Mais enfin, lesquels deviendraient
de vrais fous, si Dieu rendait maintenant cette vérité
révélée, directement palpable et accessible
à tous ?
En définitive, Jésus Christ était né
le 25 Mai à Bethléem, suivant le calendrier juif,
et conformément à la Sainte Bible (révélation
Kimbanguiste). Le Christ ayant vécu au nord de l’Angola,
à Nkamba Nouvelle Jérusalem, et qui avait pris
un nom nouveau (Dialungana Kiangani ), était revenu au
monde, également le 25 Mai: Différents noms, différentes
naissances du même Christ à la date du 25 Mai.
C’est tout un grand Mystère divin, dans le temps
et l’espace. Croyons simplement en Dieu, car son Mystère
est insondable: « Nous avons peine à nous représenter
les réalités de ce monde et nous découvrons
avec difficulté ce qui est à portée de
nos mains. Alors, qui pourrait percevoir les réalités
célestes ? »
(Sagesse 9: 16)
Toutefois, pour ceux qui se sentiraient troublés ou hantés
par le doute, mais malgré tout, désireraient sincèrement
en savoir plus sur les révélations Kimbanguistes
précitées, la meilleure démarche actuelle
serait certainement de se rendre à la Cité sainte
de Nkamba Nouvelle Jérusalem, y rencontrer le Chef suprême
de l’église Kimbanguiste, autorité compétente
en la matière. Auparavant, il conviendrait de bien se
préparer, spirituellement dans la prière, afin
de faire un voyage très bénéfique. Pour
aider, nous mettrons à votre disposition un petit document
sur Nkamba Nouvelle Jérusalem, afin d’éviter,
éventuellement, l’oisiveté et la diversion
dans cette merveilleuse cité de Dieu.
Rév. AKIELE
Basile
Georgia, USA, mai 2005
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