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Papa Diangienda Kuntima l’Educateur multidimensionnel
Article du Révérend Basile AKIELE

1. Introduction

Quand un chrétien Kimbanguiste, digne de foi, pense profondément et avec beaucoup d’amour à Papa Diangienda Kuntima, il peut subitement être envahi par une énergie positive intense, capable de « changer ses pleurs en joie ». (Ps 126)

Papa Diangienda Kuntima, le fils cadet de Papa Simon Kimbangu, né le 22 mars 1918 à Nkamba Jérusalem, fut une personnalité multidimensionnelle, transcendante comme le furent son père et ses deux frères aînés. De son vivant, il est demeuré très énigmatique pour ses contemporains et le commun des mortels. Immensément affectif et d’une générosité divine, Papa Diangienda Kuntima se considérait comme un simple serviteur de Dieu: infatigable travailleur, il était le rassembleur, l’organisateur, le bâtisseur, le professeur bien aimé, le père spirituel toujours disponible.

Le rassemblement des fidèles était l’une des priorités de sa mission, durant la seconde étape du Kimbanguisme. Pour ce faire, il utilisait souvent la parabole de la mauvaise herbe.(Matt.13: 24-30) A ce propos, Papa Diangienda Kuntima disait souvent qu’il est venu pour rassembler, réunir et non pour choisir. Quand il avait commencé son travail pastoral dans le Bas-Congo, puis dans l’ensemble du pays et au Congo Brazzaville, de village en village, les fidèles enthousiasmés dans leur foi étalaient toujours devant lui des pagnes, des tissus par terre afin que le chef spirituel ne marche pas sur la terre ferme. Après avoir fini son travail de rassemblement et d’unification des fidèles, Papa Diangienda Kuntima déclara : « J’ai eu mon Diplôme. »
Pour compléter la parabole de la mauvaise herbe, c’est à dire « jeter les filets à l’eau pour pêcher en triant les poissons,» l’Accomplisseur Dialungana prit le relais en 1992 et procéda alors au lancement du redoutable triage spirituel, en cours. Pour terminer ce processus, Papa Simon Kimbangu Kiangani a été oint pour tout conclure. Ainsi, Papa Simon Kimbangu, l’envoyé spécial, libéra son peuple, Papa Diangienda Kuntima a rassemblé et réuni les populations éparpillées, Papa Dialungana Kiangani fit démarrer le triage spirituel et accomplit certaines prophéties, Papa Simon Kimbangu Kiangani fut choisi, pour conclure le reste du programme. A ce sujet, S.E. Simon Kimbangu Kiangani ne cesse d’exiger la construction préalable de la Nouvelle Jérusalem afin qu’il nous accorde la paix. La Nouvelle Jérusalem sera toujours construite et la bénédiction divine conséquente sera accordée à chacun selon ce qu’il aura fait.
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Papa Diangienda Kuntima était très disponible. Il avait autorisé à toute personne, Kimbanguiste ou non, de le contacter pour tout problème, n’importe quand, même s’il est à table en train de manger ou dans ses appartements privés. Il est vrai certains fidèles en abusaient et cela ne dérangeait point Papa Diangienda Kuntima. Les Kimbanguistes ignorent jusqu’aujourd’hui à quel moment Papa Diangienda Kuntima dormait réellement. Beaucoup pensent même, qu’il ne dormait certainement pas.
Incroyable! N’est ce pas ? Mais, ce que l’homme ne peut pas faire, Dieu le peut.

Au cours de la première étape historique du Kimbanguisme (1921-1959), avant de nous quitter physiquement, Papa Simon Kimbangu, Envoyé spécial du Christ et fondateur du Kimbanguisme, nous laissa la Bible, en disant: « Je vous laisse la Bible, lisez-la constamment et vous y trouverez tout ce dont vous avez besoin. »
Durant la deuxième étape historique du Kimbanguisme (1959-2001), Papa Diangienda Kuntima, grand organisateur et premier Chef spirituel et Représentant légal de l’église Kimbanguiste, nous laissa en 1992 la clé du salut: « Bolingo, Mibeko, Misala, » c’est à dire le principe Kimbanguiste « d’amour de Dieu et du prochain, du respect pratique des Commandements de Dieu et du travail bien fait.»

Le Kimbanguisme - ensemble des enseignements bibliques et de l’action évangélique de Simon Kimbangu- continue de révéler à l’humanité les trésors de Dieu. La merveille du Kimbanguisme est que certains acteurs clés de son histoire sont encore vivants; On peut les rencontrer au moment où nous écrivons ces lignes. Il faut donc véritablement en profiter pour en savoir plus.

Au cours de son action évangélique, Papa Diangienda Kuntima avait révélé aux Fidèles Kimbanguistes plusieurs secrets et mystères, utilisait plusieurs paraboles et même des animaux pour éduquer son peuple. Il pratiquait avec excellence la méthode extra-scientifique que l’auteur de ces lignes appelle « la dimension spirituelle de la connaissance universelle, » c’est à dire l’utilisation des valeurs divines, dans la foi et l’inspiration profonde pour connaître le monde. Cette méthode, pratiquée par une personne bien préparée dans la foi en Dieu donne des résultats extraordinaires: en effet, ces résultats donnent l’impression que Dieu verse mystérieusement dans votre tête beaucoup de connaissances que vous pouvez noter, dessiner, chanter ou stocker dans la mémoire pour un temps déterminé.

A notre avis, dans le futur, « la dimension spirituelle de la connaissance universelle » guidera aisément les savants à inventer et perfectionner les technologies et la recherche fondamentale (dans le cadre de la Prophétie des trois quarts d’inventions futures, révélée par Papa Simon Kimbangu). A ce jour, le cas précis et connu de Papa David Wabeladio Payi et l’invention Mandombe, inspirée de Papa Simon Kimbangu, constitue en soi une démonstration convaincante de la dimension spirituelle du développement ou de la connaissance universelle. « L’invention inspirée Mandombe » est incontestablement une grande merveille Kimbanguiste. Mais, ce n’est que le début de la Prophétie!

Pour éduquer son peuple en utilisant ses attributs divins, Papa Diangienda Kuntima allait même au-delà de cette méthode extra-scientifique, dépassant ainsi les étapes des experts, des génies, des savants, pour devenir transcendant et faire voir le mystère aux fidèles, face à face. Ce thème passionnant est développé par l’auteur de ces lignes dans l’un de ses écrits. Nous ne traiterons ici que de quelques exemples d’application de « l’approche Diangiendiste » d’éducation de son peuple et de l’humanité tout entière.
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2. Papa Diangienda Kuntima, le Révélateur des Secrets célestes
(Pour démontrer l’importance de l’obéissance à Dieu et les conséquences de l’orgueil et de la lutte au pouvoir)

Selon les révélations de Papa Diangienda Kuntima, « dans le Royaume céleste, Lucifer était le chef des Anges. Il avait des contacts directs avec Dieu. Un jour, il alla auprès de Dieu pour lui poser un problème. Dieu recommanda à Lucifer d’aller voir Dieu, le fils. Lucifer en fut étonné car il croyait être le second après Dieu le Père. Néanmoins, en dépit du grincement de dents et critiques diverses, Lucifer se résigna à accepter. Après tout, c’est quand même le fils de Dieu! Un certain temps après, Lucifer revint chez Dieu le Père pour diligenter un autre problème. Dieu le Père le renvoya chez Dieu le Fils. Lucifer s’y présenta. Mais, Dieu le Fils annonçait, cette fois-ci à Lucifer, d’aller rencontrer Dieu le Saint Esprit afin que la solution soit trouvée.

Lucifer explosa de colère. Il ne comprenait plus rien. Non seulement, il n’occupait plus la deuxième place après Dieu le Père, à cause de son Fils, mais il devait se considérer maintenant après Dieu le Saint Esprit, à la quatrième place. Pas question! Trop c’est trop! Lucifer refusa catégoriquement d’aller rencontrer le Saint Esprit et revint auprès de son groupe d’anges. Lucifer et quelques anges, remplis d’orgueil créèrent une majorité, un groupe de pression pour réclamer un meilleur positionnement auprès de Dieu le Père.
C’est ainsi que le Statut des hiérarchies célestes, fixées dès le commencement, fut révélé au ciel: la Sainte Trinité d’abord, les anges ensuite.
Lucifer et son groupe n’acceptèrent point les conclusions de Dieu. Un groupe d’anges neutres vit également le jour au ciel, ni à gauche, ni à droite, mais au centre. Alors, ordre fut donné par Dieu de chasser le groupe majoritaire de rebelles (les anges neutres y compris) hors du royaume céleste. Ils furent jetés sur terre où Lucifer (devenu Satan) jura alors de mener une guerre sans merci à Dieu, son créateur ».

Commentaire :

Comme on peut le constater, Lucifer, rempli d’orgueil et d’arrogance n’a pas obéi à l’ordre de son Chef. En plus, il a utilisé l’intrigue, le mensonge, la calomnie pour se forger un groupe majoritaire d’anges afin d’être en position de force et détourner l’ordre divin, établi dès le commencement. Lucifer souhaitait, à coup de “marketing fracassant,” que son groupe de supporters le vote et le porte au pouvoir, au poste de son choix auprès de Dieu.
L’approche particulière de Lucifer constitue, à nos jours la pensée spirituelle d’obédience luciférienne. Les autres anges constitués en neutres voulaient être des arbitres au milieu, pouvant dire à Lucifer qu’il a un peu tort ici et un peu raison par-là. A Dieu le Père, les arbitres neutres diront qu’Il a un peu tort ici et un peu raison par-là. Chez Dieu, les choses ne se passent pas de cette manière. Pour Dieu, les neutres sont hésitants, indécis, ne croient pas et sont du côté de ses adversaires, au moment du jugement définitif. C’est pourquoi, les anges neutres ont été eux aussi chassés du royaume céleste, en même temps que Lucifer et son groupe direct.
La pensée centriste n’est, de ce point de vue, pas une logique divine. Elle est humaine. Le “centrisme” constitue, à nos jours, une démarche humaine devant servir de transition vers la position sociale dite « de la balance, du consensus pour la paix et la concorde entre les hommes. » Mais, pour Dieu, il y a des « chauds » et des « froids », les personnes « tièdes » hésitent et ne croient pas profondément.

Par ailleurs, l’approche de gouvernance divine n’est ni au bout des urnes, ni au bout du fusil. L’approche divine est parfaite car Dieu est la perfection elle-même.
Ainsi, ce qui compte le plus chez l’Eternel ce n’est ni la beauté physique des humains ni leurs filiations consanguines. Ce qui compte le plus chez l’Eternel est l’Esprit de Dieu (la lumière divine) placé dans le corps qui est appelé à être propre, obéissant et saint. Par conséquent, tout tapage assourdissant autour de la consanguinité ou de la filiation familiale ne préoccupe pas tant l’Eternel, car Il sait qui est qui, même né ici ou là. Si la filiation familiale et la consanguinité étaient la seule clé absolue du pouvoir divin, Caien serait un véritable saint, Absalom, fils du roi David serait un héros biblique, Judas Iscariote aurait un évangile dans le nouveau Testament.
Tout pouvoir venant de Dieu, l’idéal serait de laisser l’Eternel faire lui-même le choix de ses élus qu’il révèlerait suivant son programme. Malheureusement dans la pratique, les “pots veulent toujours faire marcher le potier”, et ce dernier, plein d’amour laisse faire les choses, sachant d’avance le moment où les pots vont se casser. C’est à la casse, que les pots commencent à tirer la leçon de l’orgueil et à comprendre l’erreur, déjà fatale. Trop tard!
Les positionnements démocratiques sont incomplets et imparfaits aux yeux de l’Eternel.
La démocratie est une fabrication basée sur des considérations humaines. Ce n’est pas un concept divin. La volonté divine est impérative et se concrétise, qu’on le veuille ou non. Dieu fait ce qu’il veut, comme il veut car lui seul connaît la finalité des phénomènes. Que sa volonté soit faite ! Dieu est la sagesse, le commencement et la fin, le créateur de l’univers, de tout. Il est le potier et nous, anges y compris, sommes de simples pots. Il est inimaginable qu’un tas de pots, fussent -ils bien travaillés, puissent décider de choisir par vote leur potier ou l’adjoint au potier.

La démarche démocratique est différente de la logique divine. Le vote est humain et n’est pas une valeur divine absolue, car il est hasardeux, imparfait, incomplet et souvent discutable, porteur de troubles, de haine et de discorde. Suivant le degré d’intrigues malignes, de marketing politique coûteux, entaché parfois de calomnies, de mensonges grossiers et de “coups bas”, la démarche démocratique peut amener au pouvoir un corrompu, un tyran criminel, un guerrier incompétent dans la gestion des peuples.

Par contre, ce que Dieu veut (sans campagne, ni vote) est magnifique, forcément merveilleux: Nous pouvons être d’accord là dessus, il n’y a pas débat.
Ce que les hommes exigent, souvent aveuglément à Dieu, parfois sous une pression imprudente, peut constituer un véritable piège pour eux-mêmes. Pour Dieu le temps passe vite, et Il laisse à l’homme rebelle le temps nécessaire pour constater l’impasse ou se “casser le nez” afin de tirer lui-même la leçon appropriée.

Ce qui s’est passé au ciel avec Lucifer est une démarche imparfaite, conduisant à des résultats hasardeux, probabilistes. Or la logique divine est parfaite, ne connaît point de hasard, point de probabilités, point de “fourchette d’erreurs”. Quiconque se soumet et reconnaît l’autorité de Dieu peut acquérir la sagesse qui le placera forcément sur le chemin conduisant à la perfection.
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3. L’Education permanente multidimensionnelle
(Dans le contexte de la Prophétie de crise au sein de l’EJCSK)

Avant de quitter ce monde Papa Diangienda Kuntima nous avait averti : « Je viendrai chercher celui qui divisera mes enfants, mes fidèles ».


Après le départ physique de Papa Diangienda Kuntima de ce monde, le mercredi 8 juillet 1992 à Genève en Suisse, nous avions l’habitude d’écouter, de 1993 à 2000, dans les temples Kimbanguistes, des témoignages poignants sur les derniers avertissements de notre guide, notamment le suivant: « Celui qui divisera mes enfants, mes fidèles, me trouvera sur son chemin. Je viendrai le chercher. » Quand les fidèles Kimbanguistes écoutaient ces témoignages, certains d’entre eux pleuraient et par la suite se posaient aussi la question suivante: Qui pourrait bien venir diviser les enfants de Papa Simon Kimbangu ? En ces temps, cette éventualité de la division était une simple chimère aux yeux des Kimbanguistes non avertis. Le moment n’était pas encore arrivé.

Mais, en 2002, le tourbillon de la division n’avait pas tardé à jeter de la poussière, même sur des passants, dans la rue. Pourtant, Papa Diangienda Kuntima savait la suite des évènements. Il savait qu’il y aura un tourbillon et quelques dégâts physiques, mais malheur à celui ou ceux par lequel (lesquels) ces dégâts se produiraient. A propos des dégâts, Papa Diangienda avait déclaré: « Je ne voudrais pas voir avec mes yeux ce qui va arriver ». (Archives Kimbanguistes)

En effet, les trois vénérables Mvualas avaient successivement dévoilé ce qui arriverait dans l’église, sous la forme que nous appelons « la Prophétie de crise au sein de l’EJCSK.» Cette prophétie, déclenchée dès août 2001, amplifiée par des «catalyseurs fortement caustiques» et dont nous vivons les moments de la fin, fut annoncée par les trois fils de Papa Simon Kimbangu, plusieurs années auparavant, de la manière suivante :

Papa Diangienda Kuntima Joseph :
( Propos tenus au Centre d’accueil Kimbanguiste Kasa-Vubu, à Kinshasa après l’inauguration du temple de Nkamba Jérusalem, le 6 avril 1981)
« Satan a envoyé une horde de jeunes sorciers pour m’empêcher d’inaugurer le temple de Nkamba Nouvelle Jérusalem qui signifiait pour eux le déclenchement du processus de l’emprisonnement de Satan pendant mille ans. Face à mon refus, Satan et ses anges ont promis de prendre la tête de l’église, des chorales, mouvements et associations, de perturber mes belles- familles et même par ce canal, si possible, infiltrer ma famille ».

Papa Kisolokele Lukelo Charles :
(Déclaration faite à Maman Pauline Nsalulu Kisolokele, en 1991 à l’hôpital de Louvain, en Belgique)
« La seule chose qui m’effraie après notre départ de ce monde, c’est la souffrance que vont endurer nos enfants. Mais ce qui m’encourage, c’est le fait que Dieu va profiter de cette même occasion pour sévir contre les méchants et fera triompher nos enfants qui ne seront pas divisés malgré les tentatives sataniques ».

Papa Dialungana Kiangani Paul Salomon :

« D’habitude l’ennemi reste dehors, mais à partir de maintenant, sachez qu’il est bien dedans et dehors».
(Déclaration faite en 1999)

« Ce qui était à droite est allé à gauche et ce qui était à gauche est allé à droite »
( Déclaration faite en janvier 2000).

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En essayant de comprendre cette Prophétie de crise au sein de l’EJCSK, nous pourrions dire que Satan fut assurément furieux car le Temple de Nkamba Jérusalem fut inauguré, ce qui allait précipiter son emprisonnement pour mille ans. En conséquence, le malin se serait donc organisé pour s’introduire partout où il le pouvait, au sein des institutions de l’église, et notamment pour perturber les belles-familles des trois Mvualas, infiltrer la postérité Kimbangu.
Alors tous les enfants de Papa Simon Kimbangu (nés par l’esprit et par la chair) vont endurer des souffrances et des tribulations, mais Dieu les fera triompher à la fin. Cependant durant les tribulations causées par l’ennemi, désormais infiltré à l’intérieur et à l’extérieur de la maison, la désolation et les divisions spectaculaires vont accélérer le triage spirituel, en cours.

Le chambardement et les divisions parmi les fidèles Kimbanguistes ont été donc une étape nécessaire du triage spirituel. Ce triage spirituel de Dieu se poursuivra pour décanter toute la situation dans le monde et apporter une paix définitive aux enfants de Dieu. Au temps de Noé, tout le monde avait péri sous les eaux, sauf huit membres de la famille obéissante de Noé.
Au temps des Juifs, Dieu avait envoyé sur terre son propre fils pour mourir sur la croix, afin de sauver le monde du péché. Qu’en serait-il durant le millénaire du saint Esprit ?

Au vu du constat actuel des divisions parmi les enfants de Papa Simon Kimbangu, eu égard à l’avertissement solennel (précité) de Papa Diangienda Kuntima en juillet 1992, quelles seront alors les personnes que Papa Diangienda Kuntima viendra chercher pour les enlever de ce monde ? Qui sera enlevé de ce monde et qui ne le sera pas ? C’est une question d’actualité qui fait peur. Les vrais catalyseurs de « la crise Kimbanguiste » sont bien connus par Papa Diangienda Kuntima ou par S.E. Simon Kimbangu Kiangani, l’oint de Dieu.
Nous sommes aussi persuadés que durant la « crise Kimbanguiste prédite », certains fautifs fossoyeurs ont dû déjà rencontrer sur leur chemin Papa Diangienda Kuntima, sous une forme ou sous une autre. Mais, de quelle manière Papa Diangienda Kuntima viendra - t - il chercher les diviseurs fossoyeurs? Viendra-t-il les chercher à travers la mort ou par un retrait instantané de la lumière spirituelle qui leur aurait été accordée auparavant ?
Nous n’en savons rien, car la patience et l’amour de Dieu n’ont pas de commune mesure et, sont hors de portée de l’entendement humain.

Cependant, la parole divine ne peut pas passer sans avoir réalisé ce dont pourquoi elle a été annoncée.
L’acte humain qu’il faut éviter à tout prix est le péché éternel qui conduit à la mort spirituelle. Ceux qui parlent mal ou insultent le saint Esprit sont vidés de la lumière divine, deviennent de véritables fantômes devant Dieu; leur connexion avec Dieu disparaît.

Certains de ces fantômes vivants peuvent constater personnellement la triste disparition de la connexion avec Dieu: cela devient leur grand secret. Ils n’en parlent à personne. Alors, envahies par l’abondante obscurité, ces personnes obscures n’hésitent plus à conduire des innocents vers la perdition et la mort. Ainsi, plusieurs personnes perdent leur vie et leur vitalité spirituelles: Ceci nous rappelle ce que disait l’écrivain pessimiste français, Nicolas de Chamfort: « il y a des crimes bien habillés comme il y a des criminels très bien vêtus.»

L’emprisonnement de Satan pour mille ans signifie aussi la prison millénaire des individus obscurs possédant des attributs sataniques.
« Si quelqu’un voit son frère commettre un péché qui ne mène pas à la mort, il faut qu’il prie et Dieu donnera la vie à ce frère. Ceci est valable pour ceux dont les péchés ne mènent pas à la mort. Mais il y a un péché qui mène à la mort, et je ne demande pas de prier pour un tel péché. » ( 1 Jean 5:16)
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4. L’histoire rocambolesque de l’oiseau qui discerne
(Leçon d’unité et de concorde sur les lieux éclairés par la lumière divine)

La profondeur des enseignements de Papa Diangienda Kuntima trouve aussi une justification dans son nom: Diangienda Kuntima signifie littéralement: « quelque chose m’est allé droit au cœur »
Papa Diangienda Kuntima avait l’habitude d’éduquer en profondeur son peuple à travers les animaux. Cette forme d’éducation touchait la profondeur même des cœurs des fidèles. Tout Kimbanguiste se souvient de ses qualités exceptionnelles d’agriculteur et d’éleveur: Papa Diangienda Kuntima aimait cultiver des produits agricoles dans les grands champs à Kundzulu et au Plateau Bateke, aimait faire l’élevage de poissons, de volaille, de moutons, de bœufs, etc.

Pour forger l’unité, l’entente et la concorde entre les humains, il rassembla des animaux de différentes espèces au Centre d’accueil Kimbanguiste Kasa-Vubu, et les nourrissait ensemble, à partir d’un même plat. Ce fut étonnant de voir le paon, le mouton, le poulet, la biche, etc, manger tranquillement ensemble, sans se quereller.(Esaie 11: 6-8) Les lieux de leurs retrouvailles amicales étant illuminés par la lumière divine, il ne pouvait pas y avoir des bagarres. Aujourd’hui, parmi tous ces animaux domestiqués par Papa Diangienda Kuntima au Centre Kimbanguiste Kasa-Vubu, nous pouvons encore voir le célèbre paon et admirer sa marche fière et posée.

En décembre 2002, pendant que S.E. Simon Kimbangu Kiangani et une suite de plus de 400 fidèles étaient en mission pastorale au Congo Brazzaville, un frère Kimbanguiste décida de défoncer la porte des appartements du Chef spirituel à la résidence Shenouda, à Kinshasa. Le Chef spirituel en mission, immédiatement averti par téléphone, laissa faire. Ce frère Kimbanguiste (dont nous taisons résolument le nom car nul n’est infaillible; notre point focal ici concerne essentiellement l’oiseau, comme instrument didactique performant) récupéra les biens et archives privés ainsi que le paon, laissés par Papa Diangienda Kuntima, puis emporta le tout en voiture, à la « nouvelle résidence Monkoto », au quartier Ngiri-ngiri, à Kinshasa.

C’est ici que commence la leçon magistrale de l’oiseau de Papa Diangienda Kuntima.
Le paon, habitué à vivre en paix et dans la concorde parmi les humains au centre Kimbanguiste Kasa-Vubu, se mit à protester bruyamment à Monkoto, comme une véritable personne humaine. En effet, dès son arrivée à la nouvelle demeure éphémère, le paon qui d’habitude est courtois et patient, déterra en vitesse la hache de guerre et leva tous les boucliers de combat. Toute la nuit durant, le gallinacé, le bel oiseau d’éducation des peuples, au lieu de faire la fière parade avec sa queue en éventail, devint brusquement méconnaissable, braillait avec bruit dans toute la parcelle et le quartier Ngiri-ngiri de Kinshasa. Ceux qui connaissent ce paon savent que son cri strident va très loin, à la vitesse du son ( 340 m/s, dans l’air).

Le paon criaillait fortement, avec son long bec dur, il cognait tout sur son passage autour de la résidence, portes, fenêtres, voitures, chaises, etc, en faisant énormément de vacarme au milieu de la nuit sur la ville. Les habitants du quartier Ngiri-ngiri étaient scandalisés, perturbés par l’insomnie causée par un bruit infernal inédit. Les habitants de la résidence Monkoto, probablement très embarrassés, gênés et troublés dans leurs consciences se posaient des questions, inconnues. Toutefois, d’éventuelles pensées criminelles pour faire disparaître le paon ( ! ) afin d’éviter l’extrême embarras public, devaient être rejetées car susceptibles de provoquer, en conséquence une terrible malédiction. Que faire ? Alors, après maintes réflexions, décision fut prise d’expulser cet oiseau hors de Monkoto. Mais, il fallait encore réussir à attraper l’oiseau, menaçant et très en colère! Ce fut bon gré mal gré, cahin-caha, chose faite dans la nuit profonde, aux environs de trois ou quatre heures du matin.

Ainsi, après avoir donné une grande leçon d’éducation spirituelle, le paon fut mis à nouveau en voiture, et le voyage retour eut comme destination finale le Centre Kimbanguiste Kasa-Vubu, où l’oiseau fut lancé par- dessus bord, à l’intérieur du site. Alors, le superbe oiseau reprit brusquement toutes ses couleurs vives, sa quiétude d’antan et plana majestueusement comme il ne le fit jamais, pour atterrir en douceur à la résidence Shenouda, où il continue sa vie paisible, en mission codée.
Le paon rejeta donc catégoriquement toutes formes de vie à Monkoto et, revenu au Centre Kimbanguiste Kasa-Vubu, l’oiseau reprit sa vie normale jusqu’alors. Pourquoi l’oiseau de Papa Diangienda Kuntima n’a-t-il pas voulu, lui aussi, habiter la « nouvelle résidence Monkoto»? Les Kimbanguistes savent bien que Papa Diangienda Kuntima n’avait pas souhaité quitter sa première maison de Monkoto qu’il qualifiait de plus belle résidence au monde et que les humains ordinaires voyaient physiquement comme une vieille maison. Les Kimbanguistes avaient fini par casser la plus belle (la première) résidence de Papa Diangienda Kuntima et ont construit à cette place l’actuelle « nouvelle résidence Monkoto. »

Mais, Papa Diangienda Kuntima refusa d’habiter cette « nouvelle résidence Monkoto », et préféra alors vivre à la résidence Shenouda, au Centre Kimbanguiste Kasa-Vubu, ce jusqu’au moment de quitter ce monde. L’oiseau avait donc imité, répété le refus de son maître. Mais, pourquoi ? Quelle leçon tirer ? Le lecteur peut en tirer, s’il le désire ou se contenter de méditer sur le grand vacarme nocturne, causé par les boucliers de guerre de l’oiseau qui discerne.
Le paon laissé par Papa Diangienda Kuntima, au Centre Kimbanguiste Kasa-Vubu est un réel instrument didactique pour l’éducation des humains. En effet, si un simple oiseau est capable de recevoir de Dieu et d’utiliser le don de discerner le lieu où il peut vivre dans la paix divine, « à combien plus forte raison, donc, notre Père qui est dans les cieux donnera - t - il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent! »(Matt.7: 11).
Etant créés à l’image et à la ressemblance de Dieu, les humains doivent être capables de prouver qu’ils sont supérieurs aux oiseaux et méritent alors d’être gestionnaires en chef de « tout ce que Dieu a créé: moutons, chèvres, bœufs, bêtes sauvages, oiseaux, poissons et tout ce qui suit les pistes des mers. » (Ps.8: 6-9).
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5. Papa Diangienda Kuntima, l’éducateur des hommes de science

L’église Kimbanguiste n’est pas l’ennemi de la science, au contraire. Pour les Kimbanguistes, la science est un don divin qui doit servir l’homme suivant les normes morales appropriées. Papa Simon Kimbangu, lui-même avait annoncé une grande prophétie sur les trois quarts d’inventions scientifiques, techniques et technologiques à réaliser dans le future par la race noire. Papa Diangienda Kuntima encourageait le développement de la recherche scientifique (l’Histoire du Kimbanguisme, p.9). Exemples: En 1989, Papa Diangienda Kuntima avait autorisé l’organisation et la tenue d’une conférence internationale sur la physique nucléaire au Centre Kimbanguiste de Conférences de Kinshasa; Son Directeur de cabinet, le Rév. Bena Nsilu continuait à perfectionner ses études en physique nucléaire, en parallèle avec ses fonctions auprès de Son Eminence Diangienda Kuntima.

Cependant, il est hors de question d’encourager des méthodes scientifiques bâtardes qui créent la rupture de l’homme avec Dieu, à travers la perversion et la crise des consciences: Négation de Dieu, manipulations génétiques inappropriées, clonage humain, immoralité extrême, homosexualité, tripotages de virus capables de répandre des pandémies dévastatrices, tolérance de la violence criminelle dans le monde, etc. Ces abus de la science ont créé aujourd’hui une réelle pauvreté spirituelle à l’occident. Le nouveau pape Benoît XVI, dans son adresse inaugurale du 24 avril 2005, a fini par qualifier cette misère spirituelle de l’occident de « désert de l’obscurité de Dieu, du vide des âmes sans aucune conscience de leur dignité, ni du chemin de l’homme. »

Ainsi, pour rappeler à l’ordre les scientifiques et leur signifier que la science est un don de Dieu, il avait plu à Papa Diangienda Kuntima de donner quelques leçons académiques supérieures et inoubliables, sur terre à un homme de science congolais et dans le cosmos, sur la lune, aux astronautes américains d’Appolo11.

La leçon sur les dons spirituels de Dieu:
Selon des témoignages directement recueillis par l’auteur de ces lignes auprès du Prof. Léon Robert Iyefa Aduma, « Papa Diangienda Kuntima avait mis à rude épreuve la logique cartésienne de la science. En effet, suite aux convictions scientifiques exprimées par le Prof. Iyefa, des dons de vision directe et d’audition lui furent accordés en test par Papa Diangienda Kuntima. Le Professeur d’université put alors voir en permanence la dimension spirituelle, invisible au commun des mortels; Il put aussi écouter et comprendre le langage des animaux, notamment des poulets et des oiseaux sauvages. Papa Iyefa découvrit ainsi d’autres canaux merveilleux et puissants de la connaissance universelle. Mais, il fut vite fatigué de voir chacun ou chaque chose, tel que cela existe réellement. Tous les membres de sa famille, ses amis et connaissances étaient vus «totalement», physiquement et spirituellement: ce qui était simple le fut et ce qui était complexe se voyait dans sa complexité. Ce fut incroyable, mais non démontrable par la méthode scientifique, apprise à l’école. Ce fut aussi harassant et souvent triste, selon Prof. Iyefa, de connaître trop de secrets embarrassants, étonnants, cachés aux autres personnes. La tête semblait exploser de choses terribles, souvent inexplicables!

Ne pouvant plus supporter cet état des choses, le Professeur alla déclarer forfait chez Son Eminence Diangienda Kuntima, en l’implorant d’enlever rapidement les dons spirituels de vision et d’audition. Papa Diangienda Kuntima, comprenant la sincérité de la demande du Professeur, retira les dons spirituels en question, mais confia au prof. Iyefa une mission spirituelle qu’il conduit jusqu’alors ». Notons que Prof. Iyefa est Docteur d’état en sciences de l’Education, Docteur de 3è cycle en histoire des religions (Sorbonne), licencié en Théologie (Bruxelles), Président du Conseil d’administration de l’Université Simon Kimbangu.
Quelle est cette Personne sur terre qui peut accorder et retirer à sa guise des dons spirituels divins aux humains ? Selon les écrits bibliques, le gestionnaire en chef des dons spirituels divins est le saint Esprit (1 Corinth. 12: 4-11; Galates 5: 22-23). Papa Diangienda Kuntima est Papa Simon Kimbangu (l’Esprit de vérité), selon la prophétie de 1910 de ce dernier.

La leçon sur la lune, dans le Cosmos:
Selon des témoignages bien connus, les astronautes américains d’Apollo 11 avaient rencontré Papa Diangienda Kuntima sur la lune. Les astronautes furent extrêmement surpris et Papa Diangienda Kuntima se laissa filmer sur la lune par les astronautes américains. Revenus sur terre avec les clichés et l’information gardée secrète, les astronautes américains ont circulé sur la planète. Ils voulaient connaître dans quel pays vivrait la personne, vue sur la lune. Les investigations les conduisirent à Kinshasa, en RDC (Zaïre à l’époque.)

En écrivant ces lignes, l’auteur observe la photo de cette rencontre de Kinshasa: sur cette photo des médias, le feu Président Mobutu, en tenue militaire, entouré des astronautes d’Apollo 11, répond aux honneurs dus à son rang. Derrière eux, il y a une foule de corps constitués et de journalistes. Au bas de cette photo, on peut lire: « Les astronautes conquérants de la lune, ont amené la gloire de l’espace à Kinshasa, le seul pays africain qu’ils ont visité pendant leur périple. » L’objectif de la visite des astronautes américains à Kinshasa fut de voir physiquement celui qu’ils avaient rencontré sur la lune, et ce en présence de feu Président Mobutu. Le feu Président Mobutu ne tarda pas à téléphoner et faire venir S.E. Diangienda Kuntima.

L’ayant vu en personne, les astronautes américains posèrent la question suivante à Papa Diangienda Kuntima: « Comment t’es-tu retrouvé sur la lune ? Voici ta photo que nous avions prise sur la lune.» Papa Diangienda Kuntima répondit brièvement, en ces termes: « Vous êtes allé explorer la lune à bord de vos engins sophistiqués, enveloppés dans vos scaphandres, mais moi, je n’en avais pas. C’est pour vous dire que Dieu est noir et il peut se trouver où il veut. »
Ce fut une réponse courte, mais très riche d’enseignements.
Au temps d’Apollo 11, plusieurs Africains se posaient effectivement la question de savoir si les astronautes avaient vu Dieu au ciel. Certains pessimistes de ces temps s’étaient vite découragés, car selon eux, les Américains venaient de démasquer le mystère divin et il faudrait désormais aller chercher Dieu ailleurs, pas au ciel. Mais, beaucoup d’Africains ne savaient pas encore la grande information scientifique et spirituelle qui circulait déjà en secret dans les officines occidentales, de continent en continent.
La question logique que l’on pourrait aussi se poser est la suivante: Est - ce que le drapeau américain planté par les astronautes sur la lune existe toujours en place ? Si c’est oui, le monde prendra acte. Sinon, comment expliquer la disparition, puisque les scientifiques confirment qu’il n’y a pas de vent sur la lune ?

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6. S.E. Diangienda Kuntima, Papa Mfumu’a Nlongo
(L’Espoir d’un continent et du monde)

Papa Diangienda Kuntima que les fidèles aimaient appeler affectueusement « Papa Mfumu’a Nlongo » (chef spirituel en langue Kikongo) fut l’espoir d’un continent, d’une race et le monde avait compris qu’il incarnait le mystère divin.

Il lança à temps les préparatifs de la grande cérémonie de demande de pardon par les Kimbanguistes du monde entier, pour le péché originel d’Adam et Eve: cette cérémonie, patronnée le 24 décembre 1992 par S.E. Dialungana Kiangani Salomon, avait pour objectif prioritaire le rétablissement de la connexion spirituelle entre l’homme noir et son Dieu. Cette connexion devait donner ensuite accès au grand bonheur promis par Dieu.

Avant de nous quitter, Papa Diangienda Kuntima avait dit : « Je vais récupérer ce que l’homme noir avait perdu; j’envie ce que sera l’avenir de ce dernier. » Papa Kisolokele Lukelo avait dit à ce propos: « Un grand bonheur arrive, les gens vivront dans la joie, ils vont rire et leurs bouches s’ouvriront jusqu’aux extrémités des oreilles sans se déchirer » (témoignage du Rev. Samba Katumua, le 8 mai 2005 à Kinshasa). Beaucoup de Kimbanguistes se posaient jusqu’alors des questions autour de cette grande promesse d’espoir de Papa Mfumu’a Nlongo.

C’est désormais chose faite: Le 8 mai 2005, S.E. Simon Kimbangu Kiangani a livré le secret, suite à la demande unanime et persévérante des fidèles et après les témoignages poignants des anciens, Rev. Marcel Wazungasa Kamadio, Rev. Samba Katumua, le Président de la FAKI- Antoine Masala ainsi que du Rev. Bobey, ancien proche collaborateur de Papa Diangienda. « La chose promise est déjà là, devant la porte, mais cette grande chose que Dieu nous a reservée demande de nous entendre; évitons de faire le mal et de nous battre », a déclaré S.E. Simon Kimbangu Kiangani, le 8 mai 2005 au Centre Kimbanguiste Kasa-Vubu, à Kinshasa.

Pour information, voici un bref résumé des témoignages sur cette grande promesse spirituelle. Selon S.E. Simon Kimbangu Kiangani, les anciens précités et le Rev. Bobey:

Après l’envahissement de la cité sainte par l’Administrateur Georges Morel et les soldats belges le 6 juin 1921, ces derniers pillèrent dans la contrée toutes les richesses, habits, trésors, matériel et profanèrent les lieux de culte. Alors, dans leur détresse nos ancêtres ont pleuré et demandé l’intervention de Dieu. Papa Simon Kimbangu, informé du problème, intervint alors pour les consoler, en disant : «Vous aurez le bonheur dans le futur. Ce qu’ils vous ont pris ne représente rien par rapport au grand bonheur à venir qui sera inestimable, abondant et sans fin. »
Des années ont alors passé. L’église Kimbanguiste devint une des grandes institutions religieuses sur la planète. Des contacts avec les institutions sœurs sur la terre se forgèrent. L’église Kimbanguiste commençait à accueillir plusieurs visiteurs étrangers.
Au mois de mai 1992, un citoyen français, M. Jacques Marion de l’église Moon de Coré est venu à Kinshasa. En public, Il s’agenouilla pour demander pardon à Papa Diangienda Kuntima, tout en l’implorant d’aller rencontrer M. Moon en Coré afin de récupérer une chose précieuse laissée la-bas par Abraham pour les noirs. Papa Diangienda lui avait répondu qu’il ira chercher cette chose. Aux fidèles Kimbanguistes, Papa Diangienda précisa qu’ y aller en chair et en os, c’est lourd (na bunzoto eza kilo).
Cependant, Papa Diangienda Kuntima posa un préalable aux fidèles Kimbanguistes en disant: « nous avons péché, le péché originel d’Adam et Eve, le péché à l’époque de Noé et tout le mal que nous avons fait contre Papa Simon Kimbangu; il nous faut d’abord porter les sacs et demander pardon. » (Témoignage de S.E. Simon Kimbangu Kiangani, le 8 mai 2005 à Kinshasa) Ainsi, après avoir lancé les préparatifs pour la demande de pardon, Papa Diangienda Kuntima traversa, le 18 juin 1992 le fleuve Congo pour la ville de Brazzaville, d’où il s’envola pour Genève en Suisse et le 8 juillet 1992 il quitta ce monde. Il avait donc récupéré cette chose de Coré (Bomengo - grand bonheur) dans la dimension spirituelle, en utilisant son corps de gloire.
Le 8 mai 2005, au Centre Kimbanguiste Kasa-Vubu, à Kinshasa, S.E. Simon Kimbangu Kiangani a livré en effet, aux fidèles un important message, plein de précieux détails sur le grand bonheur attendu. Il a confirmé en substance que: « Tout ce que Papa Simon Kimbangu et les trois Mvualas avaient dit se réalisera; Le monde viendra vers nous, et il faudrait se préparer en conséquence, car en ces temps à venir, même les avions n’auront plus assez de place au sol pour atterrir. La chose précieuse que tu as, tu n’en trouveras nul part ailleurs au monde. »

De tout ce qui précède, nous pouvons conclure que Papa Diangienda Kuntima avait beaucoup marqué son temps par une éducation extraordinaire de son peuple. Cette forme d’éducation était au-delà même de la dimension spirituelle de la connaissance universelle. D’ailleurs cela ne devrait pas étonner les Kimbanguistes car ils savent bien que Papa Diangienda Kuntima est Papa Simon Kimbangu et Papa Simon Kimbangu Kiangani est aussi Papa Simon Kimbangu. Ainsi les trois sont un, en la personne du saint Esprit: Trois différents corps physiques, choisis successivement dans le temps et l’espace par l’Esprit de vérité pour accomplir sa mission sur terre auprès des humains. Il s’agit là, de la merveilleuse manifestation du mystère divin. C’est donc une grande consolation et un espoir certain de constater que Papa Diangienda Kuntima est toujours vivant parmi nous.
Que ceux qui ont des yeux pour voir puissent célébrer et glorifier le Seigneur!


Rév. AKIELE Basile
Georgia, USA, juin 2005

 
 
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