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Le 29 Juillet, célébrons le Seigneur avec allégresse !
- Rappels d’ histoire
Article du Révérend Basile AKIELE

1. LUKULU, une alliance voulue par Dieu. (29/7/1958)

Conformément aux instructions directes de son père, Papa Diangienda Kuntima fut chargé de bâtir et conduire l’église Kimbanguiste: une mission redoutable. Papa Diangienda résista, mais, Papa Simon Kimbangu insista sur ses instructions antérieures. Le fils cadet de Papa Simon Kimbangu souhaitait reporter cette mission sur l’un de ses frères aînés: Papa Kisolokele Lukelo ou Papa Dialungana Kiangani. Mais chacun de ces derniers avait sa mission propre. La mission de construire et conduire le Kimbanguisme dans le monde fut confiée de manière incontournable, durant cette étape à Papa Diangienda Kuntima.
Mais, l’heureux récipiendaire craignait l’immensité et la lourdeur de cette mission divine. Ainsi, pour apaiser son fils cadet, Papa Simon Kimbangu, utilisant son don d’omniscience, montra une grande vision spirituelle à Papa Diangienda Kuntima, le 4 août 1951: Ce fut “ une grande vallée pleine de Jeunes”, la force montante devant aider Papa Diangienda Kuntima à construire l’église Kimbanguiste. Cette vision fut alors une grande consolation pour Papa Diangienda Kuntima., face à sa future mission. La journée du 4 août devint depuis, la fête de la Jeunesse Kimbanguiste dans le monde.

Cependant, pour Papa Diangienda Kuntima, ce ne fut pas la même ambiance consolatrice, le 14 novembre 1952 à Kinshasa, dans la maison de son beau père, Papa Kiniuka Alphonse (père de Maman Pauline Nsalulu Kisolokele, épouse de Papa Kisolokele Lukelo Charles).
Ce jour en effet, Papa Simon Kimbangu annonçait, cette fois-ci en vision spirituelle à Papa Diangienda Kuntima, l’accident mortel qu’il devait obligatoirement faire les jours à venir. Humainement, on peut imaginer l’ampleur du choc intérieur ressenti par Papa Diangienda. Effectivement, Papa Diangienda Kuntima avait immédiatement eu une transpiration sanguine, le sous vêtement était rouge de sang (ce tricot fut gardé en mémoire de cette vision très choquante). Il a demandé alors à partir de la maison de son beau père, pour éviter d’indisposer les gens.
A propos des alliances avec l’Eternel, il sied de rappeler que toute alliance avec Dieu passe souvent par des étapes : annonce préalable du Seigneur, promesses et bénédictions, sacrifice physique. Dans l’histoire biblique, nous pouvons citer plusieurs cas précis :
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Noé (Gén.6,7,8,9) : Constatant que l’humanité était pourrie, Dieu décida de supprimer tous les êtres humains, mais épargna Noé et son foyer (Gén. 6 : 11-14 ; 18-19). Ainsi, la grande inondation fit périr tout sur la terre sauf les occupants de l’arche de Noé (Gén. 7 : 1-23). Les promesses et bénédictions de Dieu à Noé ont concerné l’humanité entière (Gén. 9 : 1-17). Et Dieu conclut en déclarant : « L’arc-en-ciel est le signe de l’engagement que j’ai pris à l’égard de tous les êtres qui vivent sur la terre» (Gén.9 :17).

Abraham (Gén.15, 16 et 17) : Dieu se révéla à Abraham (Gén.15 :1) et fit alliance avec lui (Gén. 15 :18) en lui promettant une bénédiction allant jusqu’ à sa postérité et même à l’humanité entière (Gén.17 :4-8; 19-21). Dieu annonça aussi les sacrifices : les descendants seront esclaves et on les opprimera pendant quatre cents ans (Gén.15 :13-14); Plus, Dieu imposa l’obligation suivante : de génération en génération tout descendant de sexe masculin devra être circoncis. (Gén.15 : 13 ; 17 : 10-12).

Moise (Exode, Lévitique, Nombre, Deutéronome) : Dieu proposa une alliance à Israël (Exode 19 :3-6) et la conclut finalement (Gén.24 :1-8). Dieu fit beaucoup de promesses à Israël (Exode 19 : 5-6, etc.) mais les Israélites rompirent l’alliance avec Dieu (Exode 32 ; 1-6) qui, malgré tout renouvela son alliance avec le peuple élu (Exode 34 : 10-28). Il y eut des sacrifices énormes parmi les Israélites : le châtiment après le veau d’or (Exode 32 : 27-28), l’extermination de tous les Israélites rebelles durant quarante ans dans le désert; Seuls, Josué et Caleb, plus les jeunes nés en chemin entrèrent à la terre promise par Dieu.

Jésus-Christ (ancien et nouveau Testaments) : le Christ fut annoncé par les prophètes de l’ancien Testament et quand il vint, il apporta la joie, l’espoir réel, mais les forces du mal complotèrent et le firent crucifier à Golgotha. Sa mort sur la croix constitua une grande alliance entre Dieu et les habitants de la terre qui pouvaient à nouveau espérer être sauvés, grâce au sang versé par Christ. Jésus est le chemin qui conduit au Père:« Je suis le chemin, je suis la vérité, je suis la vie. Personne ne peut aller au Père autrement que par moi. » (Jean 14: 6)

Simon Kimbangu, l’Esprit de vérité, fut annoncé dans le nouveau Testament par Christ en personne (Jean 14 : 16-17 ; 16 : 7-15) ; La prophétesse Kimpa Vita (Dona Béatrice) prédit la naissance physique de l’Esprit Kimbangu qui existait dans le Royaume Kongo. Après cette naissance prédite, une alliance fut scellée entre Jésus Christ et Simon Kimbangu, en 1918 à Nkamba Jérusalem : Simon Kimbangu apporta beaucoup d’espoir et de joie à son peuple, mais les forces du mal complotèrent contre lui et le condamnèrent à la prison à vie, où il mourut le 12 octobre 1951, après avoir libéré les « brebis égarées » (son peuple). Simon Kimbangu fit des promesses et apporta des bénédictions aux africains jadis opprimés. Mais, il eut aussi des sacrifices énormes: persécutions atroces et relégations forcées des Kimbanguistes dont 150 000 périrent dans des camps de concentration durant la période coloniale au Congo Kinshasa.
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Après la mort de Papa Simon Kimbangu, le mal continuait à persévérer. L’alliance entre Dieu et les peuples africains devait alors être cimentée à nouveau. C’est pourquoi, Papa Simon Kimbangu, depuis l’au-delà, en avait averti son fils cadet, dès le 14 novembre 1952, à Kinshasa dans la maison de Papa Kiniuka Alphonse: Ce fut l’annonce préalable.

Voici, maintenant la suite des évènements, ayant conduit à l’alliance de Lukulu.
De 1952 à 1958, les années passèrent allègrement, pendant que Papa Diangienda Kuntima avait à l’esprit que l’accident mortel prévu (Sacrifice physique) arriverait bien un jour. En effet, en juillet 1958, Papa Diangienda Kuntima, après avoir appris des mauvaises nouvelles sur l’état de santé de Papa Kisolokele Lukelo Charles, préconisa un voyage à Boma dans le Bas Congo, pour aller rendre visite à son frère aîné. Mais, contre toute attente, il décida de faire un autre voyage avant de rendre visite à son frère aîné.
Ainsi, neuf mois avant de prendre la direction de l’église Kimbanguiste, Papa Diangienda Kuntima programma en extrême urgence un voyage - éclair au Congo Brazzaville. Il connaissait lui-même les raisons qui le motivaient à organiser ce voyage spécial préalable, cinq ans et sept mois après l’annonce terrible dans la maison de Papa Kiniuka Alphonse.
Ainsi, à Kinshasa même, Papa Diangienda avait prévenu Papa Watula Mathieu et Papa Nsomi David du Congo Brazzaville de demeurer sur place à Kinshasa afin de l’accompagner au cours d’un voyage dans le sud du Congo Kinshasa.
Après avoir pris alors ses dispositions, Papa Diangienda Kuntima traversa en urgence le fleuve Congo pour aller, via Brazzaville prier à Kinsasa-Bibubu ( District de Boko), le 28 juillet 1958. Arrivé sur les lieux, il demanda à aller prier seul dans une petite case qui était située à environs 15 mètres de la maison de Papa Matuba Samuel, alors Représentant légal de l’église Kimbanguiste au Congo Brazzaville.
La petite case demandée était libre et appartenait à Mr Biyamu Benjamin, habitant à l’époque Boko- poste où il travaillait. Mr Biyamu Benjamin, polygame, n’était pas Kimbanguiste jusqu’à sa mort, en 1973.

Papa Diangienda Kuntima avait fini de prier dans cette case à Kinsasa-Bibubu. Il est reparti le même jour sur Brazzaville pour rejoindre aussitôt la ville de Kinshasa. Le temps suivant était consacré aux préparatifs additionnels et chronologiques du voyage matinal du 29 juillet 1958. L’équipe de voyage, conduite par Papa Diangienda Kuntima comprenait les personnes suivantes: deux congolais de Brazzaville- Papa Nsomi David et Papa Watula Mathieu; un congolais de Kinshasa - le chauffeur, Papa Jean Kalamvuila et un Angolais, Papa Ntende Felicien. Tous avaient pris place à bord d’une voiture Ford US, Numéro 2999.
Après un long trajet depuis Kinshasa, ce véhicule de tourisme entra en collision avec un gros camion à un virage, non loin de Mbanza – Ngungu et occasionna un accident mortel à Lukulu (ex Kunda-Masangu), le 29 juillet 1958, vers 7 heures du matin.
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A 200 mètres avant le lieu de l’accident, sous un manguier encore en place, Papa Simon Kimbangu avait apparu à son fils pour lui demander s’il acceptait d’aller mourir au prochain virage afin de sauver l’homme noir.
Papa Diangienda Kuntima, imperturbable et décidé, accepta courageusement l’épreuve de la mort pour libérer l’homme noir et sauver l’humanité toute entière: Il savait déjà le sens de l’alliance avec Dieu. Après cette dernière interrogation vitale, l’équipe de voyageurs alla faire un accident grave où tous périrent et tous revinrent à la vie pour une nouvelle alliance entre Dieu et les humains. Papa Diangienda avait alors 40 ans.

Durant le temps de la mort, le programme de développement et de gestion de l’église Kimbanguiste, la couleur vert-blanc, les tenues vestimentaires Kimbanguistes, etc, avaient été révélés à Papa Diangienda Kuntima. Durant ce temps, dans la dimension spirituelle de l’au-delà, il put observer la vie céleste, comment se conduisaient et étaient habillés les différentes couches de la population céleste. Papa Diangienda y rencontra son père Simon Kimbangu avec lequel il eut un entretien fructueux. Après quoi, Papa Simon Kimbangu donna à son fils l’ordre de revenir à la vie pour accomplir sa mission sur terre. Papa. Diangienda Kuntima revint alors à la vie et pria Dieu pour redonner vie à ses quatre compagnons, ce qui fut fait pour la joie de toute l’équipe et la gloire de Dieu.

Aujourd’hui, le lieu de l’accident mortel de Lukulu est bien bâti et constitue désormais un site spirituel et touristique Kimbanguiste très visité. Les photos des épaves de véhicules accidentés à Lukulu existent actuellement dans les archives Kimbanguistes. Parmi les voyageurs de la Ford US 2999 de ce matin du 29 juillet 1958, un seul est encore vivant: il s’agit de Papa Watula Mathieu.
La case de la prière du 28 juillet 1958 à Kinsasa-Bibubu avait finalement été remise en don à l’église Kimbanguiste. Cette case n’existe plus à ce jour. A la place, ce lieu a été bien aménagé et entièrement construit pour accueillir dignement des pèlerins du monde entier sur le site spirituel du premier temple Kimbanguiste, bâti en matériaux durables et inauguré le 17 mai 1958.
Lukulu est un site spirituel Kimbanguiste, plein de lumière et dont il faut connaître l’histoire et tirer les leçons nécessaires. L’interconnexion spirituelle manifeste entre Lukulu (au Congo Kinshasa) et Kinsasa-Bibubu (au Congo Brazzaville) constitue une preuve d’unité des chrétiens et d’amour entre les humains. Lukulu est le lieu de la nouvelle alliance entre Dieu et les humains.
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Les chercheurs intéressés peuvent approfondir leurs études sur la base de certains questionnements utiles, non exhaustifs:
Pourquoi aller prier au Congo Brazzaville pour un accident au Congo Kinshasa ?
Pourquoi cette prière spéciale eut lieu sur le site du 1er temple Kimbanguiste bâti au monde ? Pourquoi les quatre compagnons de Papa Diangienda Kuntima représentaient-ils les trois Kongos (RDC, RC, Angola) ? Puisque chez Dieu, il n’ y a pas de hasard, pourquoi avoir fait un accident dans un véhicule américain (de marque Ford US) ?
Quelle est la nature de la nouvelle alliance de Lukulu, entre Dieu et les humains ?
Quels sont les autres sites spirituels Kimbanguistes dans le monde ?

Il existe effectivement plusieurs sites spirituels Kimbanguistes dans le monde. Certains sont connus, d’autres ne le sont pas encore. A nous de faire l’effort nécessaire, à travers les différents sites spirituels Kimbanguistes, d’approfondir notre connaissance sur la personnalité divine de Papa Simon Kimbangu dans ses différentes formes humaines.

2. L’apparition - séjour de Papa Simon Kimbangu à Lowa (29/7/1952 - 5/8/1952)

Environs neuf mois et 15 jours après sa mort physique, Papa Simon Kimbangu avait apparu tôt le matin du 29 juillet 1952, à Lowa, RDC, dans une forme humaine que les relégués Kimbanguistes n’avait pas reconnue immédiatement. Par la suite, Papa Simon Kimbangu se révéla clairement, puis séjourna pendant 8 jours durant, parmi les relégués Kimbanguistes. Au cours de ce séjour inédit, il révéla au monde qu’il avait sept faces différentes, interchangeables. Le 5 août 1952, avant de monter majestueusement au ciel (devant témoins encore en vie), Papa Simon Kimbangu déclara : « J’ai vaincu le monde et ses quatre coins m’ont été accordés par Dieu. A l’avenir, il ne restera plus qu’une seule église, une seule langue, un seul royaume et un seul roi, moi Simon Kimbangu .»
(NB Les détails sur ce séjour mystérieux, prochainement dans notre ouvrage)
Mais, ce n’est pas tout.
Dans l’histoire biblique, nous connaissons les détails des œuvres accomplies par Abraham au cours de ses déplacements successifs; il en est de même pour Jacob, pour les enfants d’Israël durant l’exode historique dirigé par Moise: Pour éduquer le monde à travers son peuple élu, Dieu a fait parcourir aux enfants d’Israël, en 40 ans le trajet d’environs deux jours de marche entre l’Egypte et Canaan. Enfin nous connaissons aussi les détails sur le chemin de la croix, parcouru par notre Seigneur Jésus Christ, jusqu’à Golgotha, lieu de la crucifixion
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En conséquence, les chercheurs Kimbanguistes ont l’impérieuse et agréable obligation de faire connaître au monde les oeuvres non encore révélées de Papa Simon Kimbangu, notamment celles accomplies durant ce que nous appelons « La Route du Calvaire de Simon Kimbangu » : c'est-à-dire, depuis son arrestation le 12 septembre 1921 à Nkamba Jérusalem, son cheminement jusqu’à Mbanza Ngungu, puis à Kinshasa, ensuite, en suivant le fleuve Congo jusqu’à Kisangani, en prenant le train jusqu’à Lubumbashi et son retour, en passant par Matadi-Mayo à Kinshasa, pour arriver à Nkamba Jérusalem le 3 avril 1960. Au total, 39 ans (30 ans d’incarcération abusive et injustifiée et 9 ans dans la tombe au cimetière) qui ont permit à Papa Simon Kimbangu de sceller entièrement le Congo - Kinshasa afin que sa souveraineté territoriale soit indestructible.

Ainsi, la grande portée mondiale de la double fête du 29 juillet devrait susciter en nous une grande envie de vouloir approfondir nos connaissances sur la personnalité divine de Papa Simon Kimbangu, car il est la clé et la solution finale de tout problème énigmatique ou toute crise profonde du Kimbanguisme ou dans le reste du monde.
Papa Simon Kimbangu est le « chemin du salut de l’humanité. »
C’est d’ailleurs, Papa Simon Kimbangu en personne, répondant à l’interrogatoire haineux mis en scène par Mr De Rossi (le juge qui condamna, le 3 octobre 1921 Simon Kimbangu à la peine capitale avec 120 coups de fouet), qui confirma :
« Je ne suis pas un prophète, je suis l’Envoyé spécial du Seigneur Jésus Christ » .
Récemment, en utilisant son don d’omniscience, Papa Simon Kimbangu précisa à travers un cantique capté du ciel : « Moi Kimbangu, voici mon identité : Le Monde m’appartient. Je suis l’Alpha et l’Omega. Kimbangu c’est moi le Saint-Esprit ».
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C’est le même Saint Esprit qui avait couvert mystérieusement de son ombre la sainte vierge Marie et facilita la personnification du Fils de Dieu, devenu homme, nommé Jésus. Cela fut un grand mystère pour les humains, mais un simple jeu pour l’Eternel. A plus forte raison, ce grand mystère demeura – t – il tout entier quand il avait été question pour le Saint Esprit de se faire chair parmi un peuple opprimé et colonisé, de devenir homme, nommé Simon Kimbangu.
La nouvelle alliance entre Dieu et les humains, scellée à travers l’envoyé spécial Simon Kimbangu, se confirma à Lukulu à travers Diangienda Kuntima.

Décidément, il faut que la formule Kimbangu s’applique au monde :
Révéler aux humains le sens caché des secrets et mystères du ciel et de la terre afin que les créatures humaines connaissent le chemin du salut et célèbrent le Seigneur avec allégresse.

Rév. AKIELE Basile
Georgia, USA, 2005


 
 
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