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Analyses, Récits, Poèmes, ... JESUS-CHRIST,
LA LUMIERE DES NATIONS
En partant du Pentateuque,
des livres historiques, des livres poétiques, des livres
prophétiques, jusqu’au Nouveau Testament, la BIBLE
est un univers comblé de secrets et de mystères
de l’absolue Divinité de DIEU. Sonder les Saintes
Ecritures est une complexification qui torture l’esprit
par manque de connaissances, c’est un exercice éprouvant.
Parcourir la bible, c’est pénétrer dans
un sanctuaire de lumière dans lequel il faut savoir avancer
pour comprendre ta composition du matériau qui a permis
de le bâtir avec tant de sagesse. Au
fur et à mesure que nous avançons dans notre
quête de la vérité, nous entrouvrons des
portes scellées dont le rayonnement d’autres
clartés se fait jour. Parfois, notre refus de voir
ou d’accepter la réalité nous égare
des sentiers qui mènent au salut.
Tous ces prophètes et tous ces évangélistes
qui, toute leur vie sont restés au service de Dieu
et qui ont contribué aussi fidèlement que possible
à retracer la fabuleuse histoire du CHRIST, de sa naissance
jusqu’à sa mort, étaient des messagers
de Dieu élus par sa puissance afin de révéler
et d’accomplir ses desseins.
Notre étude d’aujourd’hui
se penchera sur la représentation physique et imagée
de celui qui fut appelé « FILS DE L’HOMME
». En parcourant les livres prophétiques, il
apparaît que le prophète Esaîe avait prédit
et décrit, plusieurs siècles avant sa naissance
et ce, de manière très explicite, la véritable
physionomie de celui qui devait naître Prince des opprimés.
Dans Esaîe 52 : 14 - 15, nous lisons
donc :
« De même qu’il a été
pour plusieurs un sujet d’effroi, tant son visage
était défiguré, tant son aspect
différait de celui des fils de l’homme,
de même il sera pour beaucoup de peuples un
sujet de joie ; devant lui des rois fermeront la bouche
; car ils verront ce qui ne leur avait été
point raconté, ils apprendront ce qu’ils
n’avaient point entendu ».(Romains 15
: 21)
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Toujours dans Esaîe 53 : 1 – 3, nous lisons ce complément,
dont le chapitre peut être lu en entier :
« Qui a cru à ce
qui nous était annoncé ? Qui a reconnu
le bras de l’Eternel ? (Jean 12 : 38 ; Romains
10 : 16). Il s’est élevé devant
lui comme une faible plante, comme un rejeton qui
sort d’une terre desséchée ; il
n’avait ni beauté, ni éclat pour
attirer nos regards, et son aspect n’avait rien
pour nous plaire. Méprisé et abandonné
des hommes, homme de douleur et habitué à
la souffrance, semblable à celui dont on détourne
le visage, nous l’avons dédaigné,
nous n’avons fait de lui aucun cas ».
(Psaume 22 : 7 – 8 ; Marc 9 : 12).
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Contrerons-nous, par nos analyses et nos déductions,
ces prédictions du prophète Esaîe qui ont
trouvé un écho dans les quelques versets de référence
susdits ? «
Il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer
nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous plaire
».
Et pourtant, c’est LUI, et LUI SEUL qui a subi le supplice
suprême en allant au-devant de sa mort, en s’abandonnant
sur la croix. Le Fils de l’homme, le Seigneur JESUS-CHRIST,
n’avait donc pas une beauté terrestre telle que
l’avait immortalisée les peintres italiens de
la Renaissance (siècle des réformes culturelles,
économiques et religieuses sous l’empire romain).Il
avaient remodelé ses traits ingrats en une beauté
mâle qui, pour eux, répondait plus à la
majesté de Jésus-Christ. Vanité ! Encore
et toujours cette vanité qui nous fait plus aimer la
gloire des hommes que celle de Dieu !
L’Eternel qui recommande la simplicité,
l’humilité en tout état ou en toute chose,
a marqué sa volonté en élisant ses serviteurs
parmi des gens sans prétention ostentatoire. En faisant
naître son Fils Bien Aimé dans une indigence
austère, un dépouillement total, Il s’est
fait révéler à nous comme un Dieu d’amour
et de miséricorde. Il a masqué sa puissance
aux regards des hommes, sous une enveloppe terrestre très
banale. Sous une laideur repoussante, il a dissimulé
l’éclat de sa postérité. Nul n’ayant
cru en ce qui avait été annoncé prophétiquement,
la Lumière du monde avait été voilée
afin qu’elle ne s’éteigne pas avant l’accomplissement.
Et à sa venue au monde, ce ne sont pas les marches
d’un somptueux palais qui avaient été
gravies, mais bien modestement, c’est le seuil d’une
étable qui avait été
franchi pour célébrer la majesté du Roi
des Rois.
Dieu n’attache aucune importance à
la beauté physique ; il nous l’a démontré
en faisant naître son unique Fils sous des traits grossiers,
insoutenables aux regards. Son image modifiée, retouchée
et plus embellie que jamais avait été reproduite
sur une toile peinte qui n’avait en fait pas restituée
l’exactitude de la prophétie d’Esaîe.
Une fois de plus, la vérité avait été
contournée, déformée et elle avait été
tue alors que la Sainte Bible nous la livre dans sa pureté.
On s’est plutôt empressé d’éviter
de mettre à jour cette révélation qui
heurte la sensibilité et remet en question le concept
de l’image légendaire de Jésus-Christ,
Fils de Dieu.
En nous référant à la
diversité des récits soit témoignages
qui ont été à notre portée, l’un
des fameux secrets de Fatima (ville du Portugal), la Vierge
Marie avait annoncé à trois jeunes bergers la
seconde naissance de son Fils, au Nord de l’Angola.
Nous butons encore une fois contre les voies insondables de
Dieu qui nous poussent à toujours chercher, décrypter
et comprendre l’évidence fondamentale de sa volonté
qui ne nous apparaît jamais limpidement. Venant de lui,
tout est matière de réflexion, de méditation.
Car, au lieu de mentionner le « Nord de l’Angola
», cela n’aurait-il pas été plus
clair et plus net d’énoncer que « NKAMBA-JERUSALEM
», en République Démocratique du Congo
était le second lieu de naissance du Seigneur Jésus-Christ,
puisque les Ecritures avaient déjà annoncé
son retour parmi les hommes ? Seulement, voilà ! Dieu
ne simplifie pas aussi aisément les données
de ce qu’il nous accorde comme
grâces avec son incomparable mansuétude.
En 1916 naît donc Papa Salomon DIALUNGANA
KIANGANI, normalement constitué, ses traits n’inspirent
aucune répulsion. C’est un être humain
qui va évoluer et côtoyer les autres sans problèmes
notoires. Très modestement, il vivra retiré
à Nkamba-Jérusalem, berceau du Kimbanguisme.
Il ne se mettra pas au-devant de la scène pour faire
parler de lui. Quelques années avant sa mort, il est
atteint de la maladie de « PARKINSON », affection
dégénérative du système nerveux
qui modifie considérablement les fonctions vitales.
Et c’est au cours de cette pénible période
de la phase avancée de sa souffrance qu’il demandera
à la presse kimbanguiste que soit proclamé au
monde entier qu’Il est le CHRIST, qu’Il est Celui
dont on attendait le retour ! Cette annonce
fracassante sera niée et contestée en bloc et
plongera bien évidemment le monde dans un vertige étourdissant…
Ces deux personnages de Jésus, qui ne sont qu’une
seule et même personne en fait, n’ont pas été
acceptées comme étant Fils de Dieu, Sauveur de
l’humanité.
Le monde sommeille dans une perpétuelle attente du retour
de Christ alors que celui-ci est déjà venu et
que sa prospérité est parmi nous et repose dans
la Sainteté de NKAMBA-JERUSALEM . Où le cherchons-nous
encore ? Ne soyons pas comme des bergers qui ne savent pas comprendre
et suivent chacun des voies opposées.
JESUS-CHRIST, la LUMIERE des NATIONS, nous a laissés
un grand devoir à accomplir : celui
de nous aimer les uns, les autres ! Alors, éclatons
ensemble en des cris de joie et acclamons le Roi des Rois par
des cantiques de Noël.
JOYEUX NOËL A TOUS ET PAIX DANS TOUS LES CŒURS !!
Hélène
Gisèle
BOUKOUPreskiParoisse de Rennes
Rennes, France, 20 mai 2007
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