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SIMON KIMBANGU KIANGANI, L’INCOMPRIS
Le poète solitaire laissant errer son regard désabusé
sur un décor désert, tente de retenir le temps
; le philosophe érudit, poussant plus en profondeur
sa science, se croit apte à maîtriser les neurones
de l’homme… C’est à ce stade que
nos humbles pensées s’attardent sur l’infiniment
grand des richesses spirituelles que nous laissons stupidement
échapper pour embrasser d’autres idéaux
qui font perdre tout crédit.
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Depuis l’aube des
temps, Dieu s’est matérialisé sur
terre à travers son Fils bien-aimé, JESUS-CHRIST,
à travers l’Envoyé Spécial
SIMON KIMBANGU, ainsi qu’à travers les célèbres
personnages trinitaires : KISOLOKELE, DIALUNGANA et DIANGIENDA,
mais jamais ils n’ont été considérés
comme cette magnifique présence
divine parmi les hommes. Il s’est toujours avéré
trop tard, lorsqu’enfin, l’on a daigné
y prêter foi ! Et en cette ère de rachetés,
Dieu, dont les compassions paternelles sont illimitées,
et dont la clémence régénère
l’esprit, s’est à nouveau réincarné
dans une apothéose glorieuse pour ne plus former
qu’un seul être unique : SIMON KIMBANGU KIANGANI,
le Maître de l’Univers.
A titre général, lorsqu’un serviteur
de Dieu reste impassible devant toutes formes de provocations,
ou quand il ne réagit pas à toutes les bassesses
dirigées contre lui, c’est signe qu’il
est comblé d’une sagesse sans égal,
d’une persévérance patriarcale. |
Déterminé à regrouper ses ouailles,
le Chef Spirituel Simon KIMBANGU KIANGANI, nous apprend à
enfermer la parole du Saint-Esprit dans notre cœur. Gérant
son temps, il nous prépare des lendemains riches en
justice et en paix, afin que la fidélité germe
de notre espérance. Mais sanglés dans une opiniâtreté
légendaire, dirons-nous, nous passons avec une royale
indifférence, à côté de cet essentiel
puissant qui émane de lui. L’irradiation de sa
dignité suprême est très perçue
de l’extérieur en de vibrants témoignages.
Les yeux du monde n’ont pas de lui la vision d’un
simple mortel, mais plutôt celle d’un être
omnipotent qui triomphe dans sa gloire. Ceux qui ne l’ont
jamais vu ni connu (kimbanguistes ou non), le rencontrent,
pour certains, dans des apparitions qui confirment sa dimension
supérieurement spirituelle. A des milliers de kilomètres
de nous, il opère constamment des prodiges inédits,
par-delà les mers et les océans, alors qu’il
n’est jamais sorti hors de nos frontières africaines
!
Fort à propos, nous allons faire remarquer un retournement
de situation dans les lignes qui vont suivre. Remémorons-nous
la fameuse lettre de satan qui avait été publiée
sur le site de l’Eglise en France, bien avant le jubilé
de la mort de Maman Marie MUILU KIAWANGA, le 27 Avril 2009.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, Lucifer nous
a ouvertement fait, dans sa lettre (lue lors de la rencontre
du Chef Spirituel avec les jeunes, le 3 Février 2009),
une révélation des plus inattendues ! Son «
gouvernement » et lui, ont longtemps cru que Papa Simon
KIMBANGU KIANGANI ne voyageait jamais (à l’étranger,
notamment) ; or, ils se sont rendus compte que bien au contraire,
et avec une précision inouïe, que celui-ci parcourt
le monde entier à une vitesse plus que supersonique
de trois mille kilomètres par secondes (3000 kms/s)
!! Le savions-nous ?? Toujours selon Lucifer, son Eminence
effectue ces voyages hors temps, sous la forme de trois visage
différents qu’il n’a pas spécifié,
mais peu importe !
Lucifer, dont le fief général est basé
à Katakakombe, territoire de Chancour (nous ignorons
si ce mot s’orthographie ainsi) dans le Kasaï Oriental,
est un être démoniaque qui gouverne son «
monde » avec une puissance toute aussi satanique, comme
l’indique son nom. Il a jaugé, à ses dépens
le pouvoir inégalable de Simon KIMBANGU KIANGANI auquel
il est constamment en butte. Il sait, avec pertinence qu’il
se mesure à plus forte partie que lui, mais il n’en
a cure. Il reconnaît, par l’implication de ses
propres révélations, que c’est un être
céleste dont on ne pourra jamais laisser choir la couronne
de grâces car son humilité lui apporte sa gloire
!
Dans nos réalités actuelles, l’orgueil
abaisse l’homme qui ne sait plus raisonner avec maturité
; il le pousse à des agissements inconstants. Sans
leurre, nous constatons tous que le ressentiment développé
contre le Chef Spirituel est d’une violence qui tire
sa sève des racines de la méchanceté,
d’une volonté irrépressible à vouloir
blesser et de la rancune. Le cheval de bataille qui a été
enfourché par les récalcitrants est devenu poussif.
L’intellectualisme rageur qui prétend poser
des bornes de paix, s’aventure à tâtons
sur une piste qui ne mène qu’à une impasse,
car la logique humaine, aussi charpentée soit-elle,
ne signifie rien devant Dieu car elle ne reflète pas
sa volonté ; une volonté qui est fondamentalement
assise sur la magnanimité et sur la sagesse. Il n’y
a pas d’intégrisme à combattre mais des
lois et des critères à respecter. L’Eglise
a bien évolué sous plusieurs aspects ; elle
arbore les couleurs d’un progrès constant, même
si pour d’aucuns, le reconnaître est signe de
faiblesse.
Il n’y a pas à tortiller car cela ne nous mènera
nulle part. Simon KIMBANGU KIANGANI, ce nom en puissance,
est le soleil qui se lève pour éclairer les
ténèbres du monde. Il est ce long fleuve serein
qui alimente les méandres du savoir, le débit
des connaissances. A ce titre, nous soulignons que l’impertinent
qui le compare à un être sans foi ni loi, à
un homme qui n’a qu’une faible instruction, n’a
pas compris que c’est lui, le Saint-Esprit, qui tient
le livre de vie dont il a le pouvoir de prolongation, et qui
en écourte les heures lorsque son jugement l’exige.
C’est lui qui siège à la haute magistrature
céleste.
Insensés que nous sommes ! Avons-nous la conviction
que nous, mortels, pouvons remanier à notre convenance
l’organigramme spirituel ? Méfions-nous de cette
vanité « car le précepte est une lampe
et l’enseignement une lumière, et les avertissements
de la correction sont le chemin de la vie » (Proverbes
6 : 23). Retenons que le Chef Spirituel est omniprésent,
omnipotent et omniscient. Auprès de lui, les erreurs
ne se marchandent pas car lui seul possède la monnaie
de change appelée PARDON.
De rebondissements en rebondissements, nous avons vécu
une année 2009 très mouvementée à
tous points de vue, et nous sommes à l’orée
de l’an neuf dont la lumière luira à l’horizon.
Nous aspirons de tout cœur à de meilleures perspectives
de joies, de santé et de bonheur. Simon KIMBANGU KIANGANI
déposera à la porte du monde un don précieux
: une année 2010 enrubannée de promesses réjouissantes.
En tirant sur les bouts du ruban, quel cadeau chacun de nous
découvrira-t-il à l’intérieur ?
BOUKOUHélène
Gisèle
Presse Kimbanguiste Paroisse de Rennes
Rennes, 30 décembre 2009
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