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Et si l’accident du 29 juillet 1958 (à LUKULU) m’était conté…. ?
Article de NGOMA Saturnin

Papa DIANGIENDA KUNTIMA est entré dans la vie active, comme fonctionnaire de l’administration coloniale belge. Ses différentes affectations l’ont conduit tour à tour à Tshela, Matadi, Boma, Léopoldville et Luluabourg (Kananga). En 1952, il revient à Léopoldville où il a le mérite de devenir l’un des plus proches collaborateurs de Mr Peigneux, gouverneur général de la colonie belge du Congo. Malgré son statut de cadre, il préférait circuler à vélo ou emprunter les transports en commun de la STA, pour se rendre à son bureau. Cette simplicité de vie irritait beaucoup de kimbanguistes qui, eut égard à sa dignité et à sa haute distinction au sein du kimbanguisme, souhaitaient qu’il fût doté tout naturellement, de son propre moyen de locomotion. En 1953, papa Wutawaku devint « le coiffeur » de Papa DIANGIENDA KUNTIMA. Un jour, pendant qu’on lui tondait les cheveux, il fit cette confidence : « je voudrais aller à Nkamba, afin de régler les derniers détails concernant le retour des relégués, car la fin de leur exil a sonné ». Mais, le moyen de transport me fait défaut. Papa Wutawaku rapporta l’aveu à papa Mawete et à papa Tulomba. A cette époque-là, les kimbanguistes n’avaient pas encore obtenu le droit de prier librement. Divisés en groupes de prières, ils se rencontraient à la tombée de la nuit dans le plus grand secret, afin de ne pas encourir le risque d’être pris en flagrant délit et surtout, d’éviter la relégation d’office arbitraire. C’est dans ce contexte que papa Wutawaku s’était retrouvé à la tête du groupe d’ex-Lopori, papa Mawete du groupe de Maluku et papa Tulomba du groupe de Makanza. Ces trois personnes seront donc à l’origine du projet d’offrir à Papa DIANGIENDA KUNTIMA, sa toute première voiture. Mais au moment de passer à l’acte, le groupe de Makanza fit défection.


La voiture décapotable Ford Impala de S.E. Diangeinda Kuntima. Ici, le 02 avril 1960, jour de l'arrvée de la dépouille de Tata Simon Kimbangu, Sa Grandeur Kisolokele et S.E Diandienda sont assis à l'arrière de la voiture.


Les deux autres groupes (ex-Lopori et Maluku) respectèrent tout de même leur engagement par l’achat d’une voiture d’occasion à cinquante (50.000) francs belges. Mais Papa DIANGIENDA KUNTIMA ne s’en servit pas du tout à cause des pannes à répétition. Sur conseil de Papa KISOLOKELE LUKELO, elle fut par la suite ramenée chez le concessionnaire qui la reprit sans problème. Et aussitôt, pour la remplacer, on choisit une décapotable américaine de marque Ford (Impala) qui avait la particularité d’être à la fois neuve et qui se trouvait être l’unique modèle disponible à Kinshasa. Elle coûta au total la somme de cent mille (100.000) francs belges. C’est avec ce nouveau véhicule que Papa DIANGIENDA KUNTIMA et les quatre fidèles kimbanguistes qui l’accompagnaient, seront tous victimes de l’historique accident de circulation à Kunda Masangu le 29 juillet 1958, à 7 heures du matin.

Photographie de l' accident de Papa Mfumu'a nlongo à Kunda-Masangu, le 29 juillet 1958.

Kunda Masangu, un petit village sur la route de Matadi, Papa Mayisokolua qui en fut originaire, nous en avait conté l’histoire[1]. Par contre, les kimbanguistes le baptisèrent plus tard, « Lukulu ». Qui fut donc à l’origine de cette fameuse appellation ?

L’anecdote émana de papa Nkalamvuila. Un jour, alors qu’il conduisait Papa DIALUNGANA KIANGANI[2], ce dernier lui fit comprendre qu’il était nécessaire de « préserver » le site de Lukulu. Prenant en compte la préoccupation de Papa Mfumu’a Mbanza, il se rendit sur le lieu dit. Et là, il eut du mal à se repérer, non pas uniquement parce que l’ancienne route avait été abandonnée, mais surtout parce que la végétation avait repris tous ses droits sur les lieux. Curieusement, à deux reprises, il croisa non loin de là, deux groupes d’enfants dont l’âge variait entre trois et quatre ans. Au premier, il demanda : « connaissez-vous le lieu où Papa Mvuala[3] avait eu un accident ? ». Il lui répondit par la question du berger à la bergère : « à Lukulu » ?. Assentiment de papa Nkalamvuila : « oui ». Aussitôt, on lui montra le chemin. Un peu plus loin, il rencontra le second. Il reposa la même question dont la réponse fut identique à la première. De fait, c’est grâce à la précieuse aide de ces enfants anonymes qu’il avait pu retrouver et reconnaitre enfin le site de l’accident. Au final, l’ancienne route, puis le pont lui servirent de repères pour mieux se situer sur les lieux. Bref ! Il va sans dire que l’appellation de « Lukulu » nous avait été rapportée par papa Nkalamvuila qui en avait lui-même été instruit par ces enfants-mystère. Qui étaient-ils ? D’où venaient-ils ? De qui tenaient-ils ce nom si significatif ?

Quand est-ce que Papa Simon KIMBANGU avait informé personnellement son fils qu’il avait été désigné pour mourir, parce que le Seigneur Jésus-Christ en avait ainsi décidé ? Nous l’ignorons. Cependant, Papa DIANGIENDA KUNTIMA sut que cette volonté divine telle que décrétée, était irréversible, le jour où il eut un bref aperçu de ce redoutable accident à travers une vision. C’était le 29 juillet 1952, soit six ans bien avant que celui-ci ne se concrétisât matériellement. Ce qui est encore plus troublant, c’est le fait que le même jour son Père, Papa Simon KIMBANGU, fit une apparition surprise à Lowa auprès des relégués kimbanguistes qui eurent d’ailleurs du mal à le reconnaître, parce qu’il avait changé de physionomie ; il avait prit l’apparence d’un jeune homme du nom de Joseph Tumba qui s’était fait accompagner par trois autres personnes : un homme, une femme et un enfant.

En 1958, le 12 et le 19 mai, Papa DIANGIENDA KUNTIMA parla aux « ba mbuta » (anciens), de l’accident qui devait survenir. Il leur fit comprendre que s’il mourrait, ce serait de leur faute; par contre, s’il ressortait indemne de cette cruciale épreuve, ce serait notre victoire à tous.
Mais alors, comment papa NSOMI David, papa NTENDE Félicien et papa WATOULA Matthieu avaient-ils pu être associés à ce drame ?

Papa Ntende Félicien, kimbanguiste et homme d’affaires de son état, vivait à Matadi. Il se trouvait à Kinshasa pour des raisons familiales, mais aussi pour affaires. Comme tout bon kimbanguiste digne de ce nom, à son arrivée dans la capitale, il avait tenu à rendre une visite de courtoisie à Papa DIANGIENDA KUNTIMA, et profiter de l’opportunité pour se faire bénir. Le 28 juillet 1958, il repassa lui dire au revoir et ce dernier lui proposa de le prendre avec lui dans sa voiture jusqu’à Matadi. Et papa Ntende ne bouda pas cette proposition d’un rare privilège.
Papa Watoula, directeur d’école à Mossaka (au Congo Brazzaville), était en période de vacances scolaires. Il en profita donc pour se rendre à Kinshasa auprès de papa Nsomi David. Chrétien kimbanguiste également, il ne manqua pas d’aller présenter ses hommages à Papa DIANGIENDA KUNTIMA, et reçut en même temps sa bénédiction. De plus, il lui offrit d’être son compagnon de route jusqu’à Tshela. Qui aurait pu refuser une telle aubaine ?

Avant les indépendances, Kinshasa, capitale du Congo belge était surnommée « Poto moyindo »[4]. De nombreux Brazzavillois traversaient chaque matin le fleuve Congo pour aller travailler à Kinshasa, et rentraient chez eux le soir par le dernier bateau. Bien que ressortissant du Congo Brazzaville, Papa Nsomi résidait et travaillait sur place à Kinshasa. Kimbanguiste engagé et proche de Papa DIANGIENDA KUNTIMA, il avait aussi été sollicité pour faire partie du voyage.
Quant à papa Nkalamvuila, chauffeur à plein temps et collaborateur direct de Papa DIANGIENDA KUNTIMA, sa participation était de facto indispensable.

Papa DIANGIENDA KUNTIMA, savait depuis longtemps qu’il serait le Chef Spirituel de l’Eglise fondée par son Père. Celui-ci l’en avait informé, mais avant d’arriver à cette échéance-là, il devait auparavant entreprendre ce fameux voyage sacrificiel. La terrible vision de l’accident l’avait tellement horrifié que, au fur et à mesure que le jour fatidique approchait, Papa DIANGIENDA KUNTIMA éprouvait de plus en plus du mal à s’y résoudre, moralement parlant. Il priait parfois en pleurant tout en évitant d’alerter son épouse. Jusqu’au dernier moment, il avait soigneusement gardé son secret. Le 26 juillet 1958, Papa Simon KIMBANGU était venu le réconforter en faisant peser son insistance pour qu’il allât à Tshela à tout prix. A partir de ce jour-là, la voiture neuve, qui lui avait été offerte, tomba subitement en panne. Elle prit aussitôt la direction du garage. Elle y resta toute la journée du 27 juillet, les mécaniciens se trouvèrent confrontés à de grosses difficultés pour détecter la véritable panne.

Quand Papa DIANGIENDA KUNTIMA décida de se rendre à Brazzaville pour aller prier à Boko (Kinsasa Bibubu), il emprunta la voiture de papa Mayaya Pedro pour se déplacer. Ce n’est qu’à son retour à Kinshasa le 28 juillet 1958 que sa propre voiture fut enfin réparée. Tournant autour et touchant à tout, il passa près d’une heure à l’inspecter sans demander un seul détail sur la nature de la réparation. Le même jour, Papa DIANGIENDA KUNTIMA confirma le voyage à son chauffeur et lui ordonna d’aller, à 2h du matin, chercher papa Ntende Félicien, papa Nsomi David et papa Watoula Matthieu avec la formelle recommandation de ne pas y aller seul. Le chauffeur se fit donc accompagner par son frère et pendant le parcours, il vit successivement passer devant lui : un géant au torse et pieds nus, une meute de chiens et un énorme cabri. Le départ de Kinshasa fut prévu à 3h du matin.

Connaitrons-nous un jour la véritable raison pour laquelle Papa DIANGIENDA KUNTIMA avait tenu à se faire accompagner dans ce voyage, dans ce rendez-vous avec la mort ?
Le 29 juillet 1958, le signal du départ fut donné à 3 h du matin. Papa DIANGIENDA KUNTIMA monta à l’avant, et prit place sur le siège passager, à côté de son chauffeur ; les trois autres occupants s’installèrent sur la banquette arrière. Dès que le moteur vrombit, la voiture démarra au quart de tour et s’élança sur la route bitumée en direction du Bas-Congo. En dehors d’une anecdote qu’il leur raconta, Papa DIANGIENDA KUNTIMA resta silencieux tout au long du trajet. Et, même lorsqu’il se mit à chasser d’invisibles insectes, personne ne broncha pour lui demander quoi que ce soit. Les arrêts de moteur se succédant incessamment, le chauffeur eut beau bricoler le véhicule, mais ses efforts furent sans succès. La voiture ne redémarrait chaque fois, que sur l’injonction de Papa DIANGIENDA KUNTIMA lui-même.

En quittant Kinshasa, une escale avait été prévue à Mbanza Ngungu où il devait passer « saluer » Papa KISOLOKELE Jean et profiter de l’occasion, pour y prendre leur petit-déjeuner. Mais Papa DIANGIENDA KUNTIMA estima qu’ils avaient largement pris du retard et c’est ainsi que l’escale fut simplement annulée.

Nous vous épargnons tous les menus détails sur le déroulement de l’accident. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il avait bien eu lieu le 29 juillet 1958 à 7h du matin à Lukulu (Kunda Masangu).
Dès le départ, l’objectif du voyage avait été sans équivoque : Papa DIANGIENDA KUNTIMA allait droit au devant de la mort. Et au détour d’un virage, lorsque la décapotable entra en collusion frontale avec le camion benne, lui et tous ceux qui l’accompagnaient perdirent effectivement la vie sur le champ. D’ailleurs, la photographie des deux véhicules, prise peu de temps après l’accident est plus convaincante que n’importe quelle version écrite ou orale. Rien que par l’ampleur des dégâts constatés sur la décapotable, on avait du mal à croire qu’un seul de ses occupants ait pu survivre à une telle catastrophe. Et pourtant, ils avaient bien survécu. Les témoignages de papa Watoula Matthieu et de papa Nkalamvuila nous ont convaincu du fait que Papa DIANGIENDA KUNTIMA avait ressuscité spirituellement papa Nsomi David, papa Ntende Félicien et papa Watoula Matthieu, et que seul papa Nkalamvuila l’avait été physiquement.
Là-dessus, les deux témoignages se sont rejoints sans aucune contradiction.
Selon papa Watoula Matthieu, papa Nsomi David et lui-même, avaient été les premiers à reprendre conscience. Le corps de Papa DIANGIENDA KUNTIMA était encore retenu par la carcasse esquintée de la voiture où il était resté en position assise sur son siège, le visage ensanglanté de la tête au menton, et les mains jointes comme s’il priait. Voyant l’état dans lequel il se trouvait, Papa Nsomi David interpella papa Watoula Matthieu en Kikongo: « Mataï, Mataï… Papa bebele… »[5].
Papa Ntende Félicien n’était revenu à lui que bien après. Seulement, le témoin ne précisa pas si celui-ci avait repris ses esprits avant ou après qu’ils aient entrepris de dégager les moulures et les morceaux de vitres qui avaient enserré le visage meurtri de Papa DIANGIENDA KUNTIMA. Papa Watoula Matthieu rapporta aussi dans son témoignage, les propos de ce dernier, au moment où on l’extrayait de la voiture : « Papa, nkia diambu, mawonso malombele tumeni mayidika. Nkia diambu… »[6].
Pour sa part, papa Nkalamvuila avait soutenu que : « … Mutu aye kaka afongoli porte ya Papa, yango wana Papa akotaki na zamba te, esika akendeki kofukama… esika abondelaki [7]. Sans s’en rendre compte, il était allé s’agenouiller sur les bris de dame-jeanne cassée. Par ce geste, il s’était blessé davantage sur les genoux. A ce moment-là, renchérit-il, Papa Simon KIMBANGU était apparu à son fils et lui avait ordonné de ressusciter son chauffeur ».
Ce jour-là, le miracle de la résurrection s’était bel et bien accompli puisqu’il y avait eu incontestablement mort d’hommes.
Finalement, les secours étant arrivés sur les lieux, tout le monde fut transporté à l’hôpital de Tumba. Papa DIANGIENDA KUNTIMA y fut très mal reçu et soigné sans plus; on lui prodigua sommairement les soins requis par son état. Cependant, nous tenons à signaler un fait inédit qui a souvent été passé sous silence : ce jour là, avec la simple présence de Papa DIANGIENDA KUNTIMA ressuscité, la plupart des malades avaient été miraculeusement guéris et avaient pu quitter avec soulagement leurs lits d’hôpital[8]. Quoique souffrant, il avait rassuré les quelques fidèles qui étaient venus le voir en pleurant : « Ne pleurez pas, réjouissez-vous, car nous avons fait éclater une grande vérité et remporté un triomphe ». En 1959, un an après l’accident, Papa Diangienda KUNTIMA l’avait confirmé auprès de papa Watoula Matthieu : « Toza lokola bato baza likolo ya ngomba, toza tala mokili na se. Mutu moko te akokoka lisusu kozongisa biso sima »[9].
De Tumba, Papa DIANGIENDA Kuntima et ses quatre compagnons de voyage avaient été transférés à (Moerbeke ) Kuilu Ngongo. De là, ils s’étaient rendus à Mbanza Ngungu au domicile de papa Simon Wayolo, avant de regagner Kinshasa. Parmi les quelques rares fidèles qui avaient rejoint les blessés, tant à Tumba, qu’à Kuilu Ngongo et Mbanza Ngungu, on peut citer pêle-mêle : papa Lukawu, papa Wayolo, papa Mawete, papa Wikisi Raymond (wiks), papa Massamba Jean, papa Samuel Mayala, papa Wanzungasa, ...

Alors, comment la nouvelle était-elle parvenue jusqu’à Nkamba et à Tshela ? Papa Simon Wayolo ([10] de Mbanza Ngungu en avait été informé par une note que papa Nsomi David lui avait fait parvenir. Très tôt, en arrivant à son service, l’administrateur belge lui avait posé avec insistance, et ce, plus d’une fois la question de savoir : Où se trouvait Papa DIANGIENDA KUNTIMA ? Par contre, à l’hôtel Cosmopolite, on avait constaté que les blancs et les quelques évolués noirs avaient tous une mine de fête, et à cet effet, la bière coulait à flot. Ce n’est que beaucoup plus tard, en lisant la note qu’il en avait compris la raison. Aussitôt, il chargea sa femme d’informer Kinshasa de l’accident, tandis que lui-même s’en était allé en compagnie de papa Samuel Mayala, auprès des blessés à Tumba. Après s’être entretenu avec Papa DIANGIENDA KUNTIMA, celui-ci les renvoya en leur confiant la mission de porter témoignage aux autres, qu’il était tout à fait vivant malgré son état de santé jugé critique. C’est également papa Wayolo qui, arrivé à Nkamba, annonça la mauvaise nouvelle à la communauté, avant de ramener Mama MUILU KIAWANGA NZITANI Marie et Papa DIALUNGANA KIANGANI à Kinshasa. Quant à Papa KISOLOKELE LUKELO, il l’apprit par télégramme envoyé par papa Mantuidi et papa Jean Sala.
S’agissant de Mama MUILU KIAWANGA NZITANI Marie, Papa KISOLOKELE LUKELO et Papa DIALUNGANA KIANGANI, on se demande parfois s’ils n’étaient pas déjà au courant de l’événement avant l’inéluctable ? Bien sûr que oui, car dans la logique des choses « le spirituel précède toujours le matériel ». Mais, à partir du moment où les personnes précitées vivaient dans une dimension humaine, il fallait donc les informer parce que « un homme restera un homme ». Ne dit-on pas si souvent que l’esprit est fort et que la chair est faible ?


NGOMA Saturnin
E-mail: ngoma4@voila.fr
31 juillet 2010

NOTES :

[1]. Témoignage du 12/09/1988 à Kasa Vubu (Kinshasa).
[2]. Chef Spirituel de l’église kimbanguiste de 1992 à 2001.
[3]. Autre titre des fils de Papa Simon KIMBANGU.
[4]. Littéralement Europe noire. Ici, cette expression signifie belle ville.
[5]. Matthieu, Matthieu… Papa est défiguré.
[6]. Pourquoi ces tourments ? Nous avons accomplit tes desseins
[7]. Quelqu’un était venu ouvrir la porte, ce qui avait permis à Papa de sortir et d’aller s’agenouiller à l’endroit où il fit sa prière.
[8]. Témoignage de Mr Ngiedi, agent hospitalier à l’hôpital de Tumba.
[9]. Nous sommes comme perchés sur une montagne et nous regardons le monde d’en haut. Personne ne pourra désormais freiner notre avancée.
[10]. Kimbanguiste de Mbanza Ngungu. A cette époque-là, c’est lui qui logeait Papa DIANGIENDA KUNTIMA, lors de ses déplacements sur place.


 
 
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