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LE SAINT-ESPRIT EST UNE PERSONNE
Article de NGOMA Saturnin

L’origine de l’homme est un débat récurrent qui a toujours opposé la science à la religion. Chacune d’elles a sa propre vision du monde et ses propres courants de pensée. Aujourd’hui encore, les tenants de la théorie de « l’évolution » et ceux de la théorie de « la création » s’affrontent par médias interposés pour défendre mordicus leurs thèses de prédilection. Les premiers, matérialistes déclarés, affirment que l’homme n’a jamais été créé. Selon eux, il est une des rares espèces animales qui a graduellement évolué jusqu’à prendre la morphologie de l’homme actuel, après avoir subi de multiples mutations génétiques pendant des millions d’années. Spiritualistes convaincus, les seconds soutiennent tout à fait le contraire, que l’homme est une créature de Dieu. Ils insistent sur le fait qu’il n’a jamais été ni singe ni poisson avant et après sa création. Depuis toujours, l’homme est une personne à part entière capable de réfléchir, de raisonner et de rendre un culte à Dieu.

On a beau l’imaginer au ciel ou sur terre, esprit ou matière, jeune ou vieux, la vérité est que Dieu est une personne. Le principal argument en faveur de cette thèse nous vient de la bible. « Dieu dit : faisons l’homme à notre image et à notre ressemblance… » (Genèse 1 : 26). Si Adam et Eve ont été créés à son image et à sa ressemblance, cela veut logiquement dire que Dieu aussi est une personne. Il s’agit là d’un raisonnement difficilement contestable, d’autant plus qu’un chien engendre un chien, un lion un lion, un homme son semblable. A trois reprises, Dieu nous a donné les preuves irréfutables de cette création-filiation. Premier acte. Le Père est descendu sur terre en la personne de Melchisedek (Hébreux 7 : 1 à 3) et il était parfaitement homme c’est-à-dire une personne. Deuxième acte. Jésus-Christ naquit parmi les hommes (voir les évangiles synoptiques), il était lui aussi humain. Troisième acte. Le Saint-Esprit qui nous avait été promis par ce dernier (Jean 14 : 16), s’est manifesté dès le 6 avril 1921 à Nkamba (R.D.C)[1]; nos grands-parents l’ont vu à l’œuvre et ont rendu témoignage qu’il était bien un homme en chair et en os.
En principe, par sa nature, Dieu est esprit c’est-à-dire un être spirituel avec un corps immatériel qu’on ne peut voir à l’œil nu ; il n’est cependant visible qu’en esprit et seuls quelques rares privilégiés ont eu la chance de l’apercevoir. C’est le cas de Jean (Apocalypse 1 : 12 à 16), Daniel (10 : 4 à 6), Ezéchiel (1 : 26 à 28)… Moïse demeure l’unique prophète qui a eu à converser avec Dieu face à face (Exode 3 : 1 à 16 et Exode 19 : 3 à 25). Mais, à défaut d’avoir vu son visage, il a eu le bonheur de contempler son dos pendant que l’Eternel passait près de lui (Exode 33 : 20 à 23). Toutefois, dès qu’il s’incarne, Dieu devient pleinement homme et donc visible vis-à-vis de ses créatures. On peut lui parler, lui serrer la main et même le prendre en photo. C’est ainsi qu’Abraham a pu recevoir à son insu la Sainte trinité, qui s’en allait détruire Sodome et Gomorrhe (Genèse 18 : 1 à 33). Il s’agit là d’une révélation faite par Papa DIANGIENDA KUNTIMA. Par contre, il n’existe aucune image de Melchisedek, parce qu’à l’époque où il était descendu sur terre, la photographie n’avait pas encore été découverte. Selon Papa DIANGIENDA KUNTIMA, les différentes représentations du Christ (icônes, lithographies, statues ou statuettes, photos… ) ne sont autres que le fruit de l’imagination féconde de l’homme, car en son temps la photographie n’existait pas non plus. Quant à Papa Simon KIMBANGU, pour avoir commencé son œuvre en plein XXe siècle, il a pu être photographié et l’image la plus répandue est celle où on l’aperçoit, vêtu d’un pagne et d’un boubou blancs, debout devant le magasin de la prison de haute sécurité de Kasombo à Elisabethville (Lubumbashi). Cette célèbre photo témoigne partout du fait que le Saint-Esprit s’était lui aussi incarné à l’instar du Père et du Fils. Et, « Les trois sont un ». Tel est d’ailleurs le titre du livre de Stuart Olyott qui y précise que : « Il n’y a pas d’analogie à la vérité de la trinité. Il n’existe aucun moyen de l’illustrer ni rien de comparable nulle part dans le domaine du créé. Il s’agit du plus grand et du premier des mystères »[2]. Un cantique kimbanguiste abonde également dans le même sens : «Dans la trinité, il y a un secret que le monde ne comprendra jamais ».
Tout en adhérant au symbole de Nicée, la théologie kimbanguiste confirme effectivement que « Le créateur de l’univers est un Dieu trinitaire, il est en trois personnes : Père, Fils et Saint-Esprit »[3]; et que « Les trois personnes, en Dieu, agissent en parfaite harmonie, en parfaite solidarité ; nul n’agit séparément. C’est ainsi que Christ recommande à ses disciples de baptiser toutes les nations au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit »[4]. A ceux qui considèrent le Saint-Esprit comme un objet ou une chose, elle oppose le point de vue selon lequel : « La troisième personne en Dieu, le Saint-Esprit, a une ressemblance humaine dont le corps est spirituel et par conséquent invisible aux vivants… »[5]. En définitive, pour la théologie kimbanguiste, « Le Saint Esprit est une personne effective, pensante et agissante dans la dimension trinitaire de Dieu »[6]. Beaucoup de théologiens et d’exégètes bibliques pensent comme Ernest Tatham[7] que la troisième personne en Dieu ne s’est jamais incarnée, et cette opinion trouve un écho très favorable dans la plupart des communautés chrétiennes. Pour sa part, l’église kimbanguiste qui se distingue entre autres par ses spécificités théologiques, s’insurge contre cette tendance majoritaire, en soutenant que le Saint-Esprit s’était bien incarné au XIXe siècle à travers la personne de Papa Simon KIMBANGU. Conformément à la promesse du Christ, « que le Saint Esprit restera éternellement avec nous » (Jean 14 : 16), Papa Simon KIMBANGU naquit de nouveau au XXe siècle dans la peau de Papa DIANGIENDA KUNTIMA. Aujourd’hui encore, à l’aube du XXIe siècle, il poursuit sa mission salvatrice sous une autre physionomie : celle de Papa Simon KIMBANGU KIANGANI, actuel chef spirituel et représentant légal de l’église kimbanguiste.
Tout au long de son histoire, l’église en général a connu plusieurs controverses et querelles qui ont contribué cahin-caha à l’élaboration du dogme de la Sainte trinité, lequel est encore très mal compris par la majorité des chrétiens. L’expérience a prouvé que si l’on prend au hasard dix croyants de n’importe quelle confession chrétienne et que l’on demande à chacun sa conception du Saint-Esprit, huit sur dix répondront sans hésitation qu’il est une colombe ou plutôt la puissance d’en haut. Très peu oseront affirmer que le Saint-Esprit est une personne. Cette flagrante contradiction s’explique surtout par le fait que l’interprétation de la bible n’est pas du tout uniforme. D’où, cette constatation de Fréderic Lenoir : « … Aujourd’hui encore, toutes les églises chrétiennes n’ont pas exactement le même canon biblique, tout dépend de la confession à laquelle elles appartiennent : protestante, catholique, orthodoxe… »[8]. Il importe de rappeler que chaque fois que Dieu s’incarne et vit parmi ses créatures, celles-ci ont toujours beaucoup de mal à se reconnaître en lui. Etant descendu directement du ciel à la terre sous le nom de Melchisedek, l’Eternel n’avait pas pu faire l’unanimité. Quoique roi et sacrificateur de Salem, sa toute puissance et ses origines non identifiées suscitaient une certaine méfiance envers sa personne[9]. A son tour, Jésus-Christ choisit donc de naître comme tout être humain, afin que l’on puisse facilement s’identifier à lui. Mais c’était sans compter l’incrédulité des hommes. Pour eux, Dieu n’avait pas de fils et ne pouvait non plus naître d’une femme. Reconnu et considéré comme le fils légitime de Joseph, ses contemporains l’accusèrent d’être à la fois un blasphémateur, un illuminé, un magicien… et refusèrent de croire qu’il fit réellement le messie tant attendu. Quant à Papa Simon KIMBANGU, le simple fait d’être né au sein de la race noire était déjà un handicap majeur pour sa mission. Ni les blancs ni les noirs eux-mêmes ne s’imaginaient que Dieu puisse revêtir la peau noire ; mais son enseignement, ses prédictions, son ubiquité, son charisme et ses œuvres de puissance avaient fini par les convaincre du contraire. Malheureusement, cela n’empêche pas les chrétiens bien-pensants d’affirmer que Dieu ne peut jamais prendre physiquement une épouse et faire des enfants. Peut-on donc être plus royaliste que le roi ?
Dieu, Satan , les anges et les démons sont tous des esprits qui, pour accomplir une quelconque mission parmi les hommes, peuvent revêtir un corps humain. Ce n’est pas en vain que l’apôtre Paul a écrit dans 1 Corinthiens 15 :4O : « Il y a aussi des corps célestes et des corps terrestres… ». Comme l’indique son nom, le Saint-Esprit est lui aussi un esprit c’est-à-dire un être spirituel possédant une intelligence, une force et une puissance illimitées. Il existe éternellement car il n’a ni commencent ni fin ; sa présence est manifeste dès la création du monde (Genèse 1 : 2) et aussi à la fin des temps (Apocalypse 22 :17). Le Saint-Esprit fait partie intégrante de la Sainte trinité en tant que l’égal du Père et du Fils. Deux passages bibliques parmi tant d’autres attestent cette fameuse égalité. Matthieu 28 : 19 : « Allez, faites de toutes les nations des disciples, baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit » et 1 Jean 5 : 7 : « Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel : le Père, la Parole et l’Esprit-Saint. Et ces trois sont un ». Les premiers croyants _ y compris le patriarche Abram _ avaient une vision tout à fait utopique de l’incarnation, puisqu’ils croyaient naïvement que Dieu pouvait s’incarner dans un arbre, un animal, une pierre, une étoile… Au cours d’un voyage pastorale au Bas-Congo, Papa Simon KIMBANGU KIANGANI avait expliqué aux fidèles kimbanguistes de ladite province, dans quelles circonstances l’Eternel s’était révélé à Abram. Il ressort de son message d’exhortation que : « Koko na biso Abram, tata na ye Tela azalaki kosambela bikeko. Tata wana alakisi muana na ye. Muana atali atali : oyo azali Nzambe te. Ngai sik’oyo nakomi koluka esika Nzambe azali. Tango amoni moyi ebimi, afukami asambeli, sanza ebimi ye asambeli, étoile ebimi ye asambeli. Nzambe atali : mutu ‘oyo azali koluka ngai, kasi nionso wana ezali ngai te. Parce que nasalaki yango na maloba. Mbala moko Nzambe abengi ye : oyo wana tika, ezali ngai te. Ngai nde sik’awa nazali koloba na yo : ngai Nzambe na yo, banda lelo tosali alliance »[10].
Aujourd’hui, grâce à la bible en diptyque, on sait que pour vivre au milieu des siens, Dieu ne prend naturellement qu’une seule apparence : la forme humaine. Cela revient à dire que s’il le veut, il peut se faire homme. C’est vrai que les images de la colombe, la langue de feu, du souffle, de la nuée ou de la puissance manifeste souvent associées au Saint-Esprit, engendrent un certain flou dans l’esprit de beaucoup de chrétiens qui, pensent à tort que ce dernier n’est ni Dieu, ni une personne. Dès lors, on s’hasarde à l’identifier plus ou moins à une sorte de force ou de puissance, ce qui correspond plutôt aux différentes modes de sa manifestation. Or, en lisant attentivement la bible, on se rend tout de suite compte qu’une telle conception du Saint-Esprit est une véritable aberration. En effet, il est tout à fait insensé de se persuader que dans cette profonde communion de sainteté, de pureté, d’intelligence, de sagesse, de puissance, de force, de volonté et de souveraineté qu’est la Sainte trinité, que Dieu le père soit une personne, Dieu le fils également mais que Dieu le saint Esprit ne soit qu’une simple chose. Or, ces trois êtres sont consubstantiels et indivisibles. Ainsi donc, lorsqu’on s’attarde par exemple sur l’évangile de Matthieu (12 : 31 à 32), on comprend aisément avec la lumière de la foi que la troisième personne en Dieu n’est ni une chose, ni un animal, moins encore une vulgaire force ou une banale puissance. Voici d’ailleurs l’intégralité du passage biblique susmentionné : « C’est pourquoi je vous dis : Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre le Saint Esprit ne sera point pardonné. Quiconque parlera contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné, mais quiconque parlera contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir ». Sachant que le blasphème est une parole injurieuse prononcée contre Dieu, faut-il donc admettre qu’il est possible de blasphémer contre une chose ou un animal ?
Répondant à une question cruciale posée par un journaliste, Papa DIANGIENDA KUNTIMA avait profité de l’occasion qui lui était offerte, pour repréciser le dogme du Saint-Esprit tel qu’énoncé par la théologie kimbanguiste : « … Le Saint-Esprit est une personne, peu importe qu’il soit un homme ou une femme, mais c’est une personne… »[11]. Dès lors, il accomplit ou subit parfaitement les mêmes actions que tout être humain. En tant que sujet actif, il parle, convainc, témoigne, révèle, avertit, intercède, sanctifie, enseigne, console, atteste, annonce… C’est lui qui sonde les cœurs et qui connait la grandeur d’âme de tout homme. En tant que sujet passif, il peut être affligé, offensé, déshonoré, attristé, blasphémé, tenté, désobéi… Tout ceci prouve bien que le Saint-Esprit est une personne, d’autant plus que Jésus-Christ parle de lui comme étant un nouveau consolateur (Jean 14 : 16) venant pour le remplacer. Cela sous-entend que le Fils de Dieu était lui aussi un consolateur et à présent qu’il s’en allait, il fallait bien qu’un « autre lui-même » vienne logiquement prendre la relève, afin que le monde ne soit pas orphelin. De ce point de vue, le Saint-Esprit ne peut donc être qu’un véritable alter ego c’est-à-dire une personne divinement égale à notre Seigneur Jésus-Christ. Et, dans l’un de ses épîtres aux chrétiens de Corinthe, l’apôtre Paul relève cette égalité parfaite existant entre les trois personnes de la Sainte trinité : « Que la grâce du Seigneur Jésus-Christ, l’amour du Père et la communion du Saint-Esprit soient avec nous tous ». (2 Corinthiens 13 :13). Il va sans dire que si l’Eternel des armées et son Fils bien aimé sont communément appelés Dieu, la divinité du Saint-Esprit ne fait non plus aucun doute. D’ailleurs, ceux qui en ont l’intime conviction n’hésitent point à l’invoquer en toute circonstance et à lui adresser leurs prières et supplications. Dès lors, « L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu… De même aussi l’Esprit vient au secours de notre faiblesse, car ne savons pas ce qu’il convient de demander dans nos prières… l’Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables ». (Romains 8 : 16 et 26). A l’instar du Père et du Fils, le Saint-Esprit est lui aussi saint, éternel, omnipotent, omniscient et omniprésent. Des attributs que seul Dieu, l’être spirituel par excellence, est capable de posséder.

La dénégation de la personnalité et de la divinité du Saint-Esprit était apparue autrefois avec l’église primitive. De concile en concile (Nicée, Constantinople, Tolède…), le credo chrétien ou symbole de Nicée s’est finalement imposé, en provoquant au passage un schisme historique : d’un côté l’église d’occident et de l’autre l’église d’orient. Le simple ajout de la clause du filioque (mot latin qui veut dire et le Fils), à la déclaration selon laquelle « Le Saint-Esprit procède du Père », avait été la principale pomme de discorde. Aujourd’hui, la polémique est loin derrière nous, car au sein de la chrétienté, on admet de plus en plus que le Saint-Esprit est une personne du même acabit que le Père et le Fils. Et, l’église kimbanguiste affirme que ce dernier s’était incarné depuis 1887 et vit encore de nos jours, après deux renaissances successives.
En tant que Saint-Esprit incarné, Papa Simon KIMBANGU est « le mystère fondamentale de la foi kimbanguiste »[12], même si celle-ci a pour base la Sainte trinité. « Dans le kimbanguisme, le Saint-Esprit est la désignation de Dieu selon laquelle Simon KIMBANGU est une personne divine réellement distincte, égale et consubstantielle dans une seule et indivisible nature avec Dieu le Père et Dieu le Fils »[13]. Cette vérité capitale est le fruit d’une révélation divine. « Mais l’église kimbanguiste doit … défendre cette révélation contre les risques d’hérésies entre les positions extrêmes comme celles des pseudo-kimbanguistes qui, avec la descendance consanguine de l’envoyé Simon KIMBANGU, parviennent à une pluralité de personnes en Dieu au lieu de la présence permanente du Saint-Esprit ici-bas ; ce qui fausse la notion trinitaire, chère à l’église kimbanguiste… »[14].


NGOMA Saturnin
01 novembre 2010


Notes :

[1]. République Démocratique du Congo.
[2]. Stuart Olyott, « Les trois sont un »,
Ce que la bible enseigne sur la Sainte trinité.
Edition Europresse 1989, page 89.
[3]. DIANGIENDA KUNTIMA, « Histoire du kimbanguisme ».
Editions kimbanguistes, 1984, page 256.
[4]. Idem, page 257.
[5]. Idem, page 257.
[6]. Idem, page 259.
[7]. Ernest Tatham, « Le Saint-Esprit à l’œuvre »,
Cours biblique par correspondance, édition française.
Editions de littérature biblique, 1976. page 6.
[8]. Fréderic Lenoir, « Comment Jésus est devenu Dieu ».
Fayard 2010, page 186.
[9]. Message du chef spirituel Papa Simon KIMBANGU KIANGANI
du 20 janvier 2006, au culte matinal, à Kinshasa (R.D.C).
[10]. Message du chef spirituel Papa Simon KIMBANGU KIANGANI
du 30 juillet 2005 à Lukala (province du Bas-Congo, R.D.C).
« Térah, le père du patriarche Abram, se prosternait devant les idoles et initia également ce dernier, qui finit par discerner que le vrai Dieu se trouvait ailleurs. Il se résolut à le chercher en adorant à la fois le soleil, la lune et les étoiles. L’Eternel lui dit qu’il n’était ni l’un ni l’autre, mais plutôt celui-là même qui lui parlait de vive voix. C’est ainsi qu’il établit une alliance avec son futur serviteur ».
[11]. Interview de Papa DIANGIENDA KUNTIMA du 13 septembre 1991.
[12]. Révérend Joseph Mangoyo
« Notions trinitaires dans les religions et doctrine du Saint-Esprit dans
l’église à la lumière de l’histoire et des écritures saintes ».
Département de l’évangélisation, E.J.C.S.K-Congo (Brazzaville), inédit. p 3
[13]. Idem, page 3.
[14] . Idem, page.
 
 
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