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Le MANDOMBE ou écriture négro-africaine
: un éloquent témoignage sur la divinité
de Papa Simon KIMBANGU. (Première partie).
Le Mandombe est une écriture originale inventée
en 1978 par David WABELADIO PAYI, sur inspiration de Papa Simon
KIMBANGU, le Saint-Esprit. Par principe, l’inventeur lui-même
ne manque jamais de le rappeler, chaque fois qu’il évoque
l’historique de cette écriture, au cours de ses
innombrables conférences-débats. Quoique cela
ne fasse pas l’unanimité dans les milieux scientifiques,
il persiste à certifier l’authenticité de
sa découverte parce que c’est une vérité
absolue qu’on ne peut plus taire. « Ce que mes yeux
ont vu, mes oreilles l’ont entendu… je le témoignerai
toujours »[1].
Cette invention capitale est avant tout négro-africaine
du fait de son origine, sa vocation et surtout de sa spécificité,
d’où, son authentique dénomination «
Mandombe », terme Kikongo[2]
qui signifie « pour les noirs ». Naturellement,
cela n’a aucune connotation raciste ; car à l’origine,
une langue ou une écriture donnée est toujours
l’apanage exclusif d’une communauté, d’un
peuple, voire d’une race. Qu’elle soit volontaire
ou forcée, son apprentissage par des tiers ne vient qu’avec
le temps, grâce à l’exportation de la civilisation
dont elle fait partie, et qui lui sert souvent de canal de vulgarisation.
C’est ainsi que l’anglais, l’espagnol, le
français, le portugais, l’arabe et autres, jadis
langues propres aux peuples et nations identifiés comme
tels, sont devenus aujourd’hui tout à fait indispensables
dans le cadre des relations internationales.
David WABELADIO, grand-père maternel de David WABELADIO
PAYI, était un kimbanguiste actif. En 1921, sur place
à Nkamba[3],
Papa Simon KIMBANGU lui révéla ce qui suit: «
Ngeye wasolua mu sadila Nzambi, si tuasala yaku… Muna
ngeye muena vaika nkuna wa diambu »[4].
Ce qui veut dire : « Tu as été choisi par
Dieu pour œuvrer avec moi… De ta lignée jaillira
la source du savoir». Après, l’incarcération
de ce dernier, il sera lui aussi arrêté et relégué
dans un camp militaire de Port-Francqui où, il s’occupera
plus tard de la distribution du courrier administratif en qualité
de planton. Papa Simon KIMBANGU lui avait spirituellement octroyé
le don de détecter, par un simple toucher, les lettres
qui contenaient des informations confidentielles sur le kimbanguisme.
Ainsi donc, chaque fois qu’une telle lettre tombait entre
ses mains, celles-ci se mettaient instantanément à
trembloter et il la retirait systématiquement du circuit
de distribution. De soupçon en suspicion, le manège
de WABELADIO David finira par être découvert et,
quelques jours seulement après avoir été
interpellé, il décédera de façon
inopinée en 1922 à Port-Francqui (actuellement
Ilebo).
Au lendemain des funérailles de son mari, son épouse
LOMBO Marie enceinte, fut autorisée à quitter
Port-Francqui[5],
et à retourner dans son village du Bas-Congo. A Mpete,
près de Mbanza-Ngungu, elle retrouva donc toute sa liberté
d’aller et de venir. Un jour, un inconnu vint s’y
présenter en son absence et lui transmis un pli confidentiel
par personne interposée. En l’ouvrant, elle y découvrit
un message lourd de sens : « L’enfant qui naîtra
devra être nommé VUMI WA NZAMBI ». En kikongo,
VUMI WA NZAMBI signifie la crainte ou le respect de Dieu. Lorsque
sa grossesse arriva à terme, LOMBO Marie accoucha d’une
fille qu’elle appela effectivement, selon les instructions
reçues, VUMI WA NZAMBI.
Plus tard, VUMI WA NZAMBI deviendra veuve à l’issue
d’un premier mariage, avec six jeunes filles à
charge. S’étant remariée par la suite à
Emmanuel NSIANGANI, elle donnera naissance à un fils
unique nommé : David WABELADIO. Le 27 octobre 1971, du
fait de la politique d’authenticité prônée
par le président MOBUTU SESE SEKO, David WABELADIO deviendra
WABELADIO PAYI. Ce n’est que bien plus tard qu’il
se réappropriera son prénom chrétien de
DAVID. Durant sa gestation, VUMI WA NZAMBI fit plusieurs fois
le même rêve : « Alors qu’elle se baignait
dans la source sacrée de Nkamba, une étoile descendit
du ciel et tomba directement dans l’eau. Et, en levant
instinctivement les yeux, elle vit à une distance respectable
Papa Simon KIMBANGU qui s’y baignait également
en amont »[6].
Tandis que la grossesse suivait son cours normal, VUMI WA NZAMBI
fut un jour interpellée par Pierre YAFU, ami intime de
son mari, qui la mit sévèrement en garde : «
L’enfant que tu portes en toi a une bénédiction
spéciale… Je te conjure de ne pas aller accoucher
à l’hôpital… »[7].
Le 15 janvier 1957, tenaillée par d’atroces douleurs
matinales, VUMI WA NZAMBI préféra donc accoucher
à domicile, à Ngombe-Lutete. Ce jour-là,
à 8 h du matin, David WABELADIO (PAYI) vint au monde
en vagissant et sa mère, qui n’avait jusque-là
eu que des filles, fut heureuse de donner enfin naissance à
un garçon qui sera son fils unique.
David WABELADIO (PAYI) eut une enfance normale comme n’importe
quel enfant. Bien qu’il ne connût pas toutes les
prémices de son histoire jusqu’à un certain
âge, David WABELADIO (PAYI) grandit avec une certaine
crainte de Dieu et celle-ci avait plus ou moins influé
sur son éducation. Après un parcours scolaire
classique, il obtint en 1977 un certificat d’aptitude
professionnelle (CAP) de mécanique « option auto
». Voulant parfaire sa formation pour devenir machiniste,
il fut admis comme stagiaire à l’école des
machinistes de l’ONATRA[8]
de Kinshasa. Mais un jour, dans la nuit du 13 au 14 mars 1978,
avant même qu’il n’eût commencé
son stage, David WABELADIO PAYI, prédestiné au
destin extraordinaire qui allait devenir le sien, fut rattrapé
par sa propre histoire. Il entendit à trois reprises
une voix d’homme lui intimer cet ordre précis :
« David, wenda ku
Nkamba, wenda yobila ye sambila, kadi salu una baka
mu diambu dia kanda dia ba ndombe »[9].
Traduction:
« David, va à Nkamba
pour y prier et t’y baigner, car tu auras une
mission pour la race noire ».
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Bien que l’intéressé fût encore
un fervent catholique, sa foi en Dieu ne l’empêcha
pas de répondre positivement à l’appel
de Papa Simon KIMBANGU.
A cette époque-là, les camionnettes en partance
de Mbanza-Ngungu stationnaient place Molaert à Bandalungwa[10].
David WABELADIO PAYI et deux de ses tantes, MATANTU Eva et
MBONGA Elisabeth, avaient pris place dans l’une d’elles
et n’attendaient plus que le signal de départ.
Soudain, MATANTU Eva vit Papa Simon KIMBANGU assis à
côté de David WABELADIO PAYI, avec des chaînes
au cou, aux mains et aux pieds. Cela l’épouvanta
tellement qu’elle se mit à crier, avant de sortir
précipitamment de la camionnette, imités aussitôt
par tous les autres clients. Eu égard à cet
incident, aucun autre chauffeur ne voulut les prendre dans
son véhicule. Et, ce jour-là, le voyage fut
donc annulé.
Le lendemain, c’est par train que David WABELADI PAYI
et ses deux tantes quittèrent Kinshasa pour Mbanza-Ngungu,
localité située à 70 km de Nkamba. C’est
dans cette même ville du Bas-Congo, d’où
sont originaires ses parents, qu’eût lieu en 1921
le procès de Papa Simon KIMBANGU. Au cours d’une
réunion de famille, David WABELADIO PAYI expliqua à
celle-ci dans quelles circonstances il avait reçu l’appel
de Nkamba. Dès qu’elle comprit qu’il tenait
à y aller, la tension déjà manifeste
à Kinshasa s’exacerba et l’opposition des
parents à ce projet voyage se radicalisa davantage.
D’aucuns le croyaient vraiment ensorcelé, tandis
que d’autres l’imaginaient plutôt en proie
à la folie. Dans tous les cas, on envisagea de le faire
soigner dans les plus brefs délais.
Pour échapper à cette contrainte, David WABELADIO
PAYI n’eut pas d’autre choix que de s’enfuir,
afin de pouvoir poursuivre son voyage vers Nkamba. Ayant au
préalable convaincu ses cousins germains MIKIELE MAFUILA
et NKODIA MAFUILA de l’y accompagner, ils quittèrent
tous les trois le domicile familial en catimini, très
tard dans la nuit du 17 au 18 mars 1978. Bible et lampe-tempête
en mains, ils empruntèrent la route de Nsona Nkulu
par laquelle passait jadis Papa Simon KIMBANGU. D’étranges
phénomènes dépassant de très loin
l’entendement humain ne tardèrent pas à
se manifester. David WABELADIO PAYI lui-même les qualifiera
de miracles dignes de foi.
En pleine campagne, marchant à grands pas aux côtés
de ses cousins, il entendit deux cantiques kimbanguistes,
résonner successivement du haut des cieux. Le premier
: « Alleluya wa nlongo ke nukendala ko… Mawonso
mavangama mu nkumbu ya Tata Simon…»[11].
Comprenez : « Alléluia, ne regrettez pas le saint…
Tout s’est accompli au nom de Papa Simon KIMBANGU…
».
Le deuxième : « Alleluya nkembo’a Nzambi,
alleluya se usongua… Nza yawonso yikembela kua bo bakuikila
mu Nzambi’a Mpungu e »[12].
Comprenez : « Alléluia ! La gloire de Dieu…
se manifestera… Le monde entier se réjouira et
de surcroît, ceux qui auront foi en Dieu Tout-Puissant
».
Curieusement, lui seul eut le privilège de les entendre.
Ses cousins, eux, n’entendirent rien du tout. Mais,
à leur insu, ces cantiques rythmèrent leur marche
pendant quelque temps avant de se taire, à l’entrée
du village Kimongo. Le moral boosté par ce signe de
bon augure, David WABELADIO PAYI s’agenouilla par terre
et se mit à prier Dieu, pour qu’il puisse les
assister jusqu’au bout. Avant même qu’il
n’ait dit amen, ses cousins restés à la
fois debout et éveillés, le secouèrent
vivement, pour lui montrer une constellation d’étoiles
qui s’était formée dans le ciel, juste
au-dessus de leurs têtes. Cela fut interprété
tout de suite comme la preuve concrète de l’exaucement
de leur prière. A leurs yeux, c’était
un fait très positif qui les incita une fois de plus,
à continuer leur voyage jusqu’à Nkamba.
Au village Lumueno, l’hospitalité leur fut offerte
pour la nuit et les trois voyageurs dormirent paisiblement.
A minuit, ils furent réveillés trois fois de
suite par d’incessantes pleurnicheries d’une voix
humaine, provenant de l’extérieur de la maison
où ils furent hébergés. Intrigués,
ils partirent de là et reprirent nuitamment leur route,
sans avoir pu remercier leur bienfaiteur. Chemin faisant,
David WABELADIO PAYI sentit la terre trembler sous ses pieds.
Dès que le tremblement cessa, il fut incapable de mouvoir
ses deux pieds, et resta donc involontairement collé
au sol. Ses deux compagnons de route, eux ne sentirent aucune
vibration. Libre de leurs mouvements, ils essayèrent
de toutes leurs forces de le tirer de là mais en vain.
A leur grande surprise, il y eut presqu’aussitôt
une forte pluie, précédée d’un
vent violent, d’éclairs et de tonnerre. N’ayant
pu être secouru malgré leurs appels à
l’aide, ils furent très attristés et pleurèrent
tous les trois sous le froid. Après avoir passé
cinq heures sur place, David WABELADIO PAYI tenta à
nouveau de se dégager et il y parvint tout seul, sans
le moindre petit effort. Quant à la lampe-tempête,
toujours collée au sol, il n’y avait pas d’autre
solution que de l’abandonner. Le fait d’être
resté cloué au sol les avait tellement effrayés,
qu’ils décidèrent de rebrousser chemin
; alors qu’il leur restait juste quelques 12 km de marche
pour atteindre Nkamba.
Très tôt, à l’heure du réveil
matinal, David WABELADIO PAYI, MIKIELE MAFUILA et NKODIA MAFUILA
arrivèrent à « Kiatatu kia Lumueno ».
Trempés, fatigués et affamés, on leur
servit du café pour se réchauffer. Au même
moment, l’épouse de papa KIPALA _ pasteur kimbanguiste
du village _ revenait de la rivière, avec un sceau
en équilibre sur la tête. En voyant les trois
étrangers assis, elle fut prise de panique, laissa
tomber le sceau et s’enfuit dans les buissons en criant
: « Je suis morte ! Faites sortir cet homme du village
! ». Devant ce spectacle inhabituel, David WABELADIO
PAYI fut brutalisé par quelques jeunes villageois surexcités,
puis sommé d’expliquer, sous la menace, pourquoi
sa simple présence pouvait terroriser autant une pauvre
femme. En fin de compte, on aboutit très vite à
une apaisante conclusion : c’était plutôt
à la fuyarde de s’expliquer sur les raisons de
sa subite panique. Emus au contraire par l’étonnante
histoire du futur inventeur, certains de ces jeunes le dissuadèrent
de faire demi-tour, et lui prouvèrent leur magnanimité
en l’escortant jusqu’à sa destination finale.
L’arrivée de ce groupe à Weno, tout près
de Nkamba, coïncida avec un autre étrange phénomène.
L’attention de David WABELADIO PAYI fut captivée
par un homme, vêtu de blanc et de bleu, qui marchait
seul devant eux, en les précédant de quelques
mètres. Ayant étendu ses deux bras de toute
leur longueur, à l’instar d’un oiseau qui
déploie ses ailes, il s’éleva dans les
airs et commença ainsi à voler avec une facilité
déconcertante. Personne d’autre que lui ne le
voyait. Dans son envol solitaire, il se posa tout d’abord
sur le beau mausolée de Papa Simon KIMBANGU et par
la suite sur le bâtiment de l’école secondaire
KISOLOKELE de Kilo, où il fit plusieurs bonds en se
déplaçant d’un bout à l’autre.
A la fin, cet être mystérieux venu de nulle part,
réalisa verticalement une ascension fulgurante et disparut
enfin dans le firmament. C’était exactement le
18 mars 1978.
Ce jour-là, à vingt et un ans révolus,
David WABELADIO PAYI foula pour la toute première fois
le sol de Nkamba. Après avoir été accueillis
et nourris comme il se devait, ils furent présentés
(lui et tous ceux qui l’accompagnaient) au révérend
SAMBA KATUMUA[13]
qui gérait à ce moment-là les affaires
courantes de la cité sainte. Papa DIALUNGANA KIANGANI
était absent de Nkamba et se trouvait exceptionnellement
à Kinshasa. David WABELADIO PAYI conta donc son histoire
au révérend SAMBA KATUMUA, qui l’écouta
attentivement jusqu’à la fin du récit.
Aussitôt, ce dernier fit une prière à
son intention et lui recommanda d’aller se baigner dans
la source sacrée, afin de concrétiser par cette
action le principal but de son voyage. Debout dans l’eau
il plongea instantanément, comme le veut la coutume,
trois fois de suite en fléchissant les genoux. David
WABELADIO PAYI murmura cette petite prière à
Dieu avant de plonger : « A travers votre appel, vous
m’avez dit de venir à Nkamba pour y prier et
m’y baigner, parce que je dois recevoir une mission
pour la race noire. Que votre volonté soit faite »[14].
Malheureusement, ce premier séjour fut de très
courte durée parce que quelques membres de sa famille,
inquiétés par sa soudaine disparition et celle
de ses deux cousins, les y avaient rejoints afin de les ramener
chez eux, à Mbanza-Ngungu.
En définitive, il est important de souligner que de
Kinshasa à Nkamba via Mbanza-Ngungu, le futur inventeur
vécut au total sept miracles.
Premier miracle: La voix d’homme qui lui ordonna,
plusieurs fois et en plein sommeil, d’aller à
Nkamba pour y prier et se baigner, car une mission en faveur
de la race noire lui serait confiée.
Deuxième miracle:
L’apparition de Papa Simon KIMBANGU dans la camionnette
aux côtés de David WABELADIO PAYI.
Troisième miracle:
Il s’était agi de l’audition subite en
cours de route des cantiques kimbanguistes provenant des cieux.
Quatrième miracle:
Une constellation d’étoiles apparut dans le ciel,
à l’instant même où le futur inventeur
était à genoux par terre, en train d’adresser
une supplication à Dieu.
Cinquième miracle:
Le fait de rester coller au sol sous la pluie durant plusieurs
heures et de s’en détacher spontanément
tout seul, alors qu’auparavant quatre vigoureux bras
n’avaient pas réussi à le faire.
Sixième miracle:
La fuite inexpliquée de l’épouse du pasteur
devant la simple vue de David WABELADIO PAYI, en s’écriant
: « Je suis morte ! Faites sortir cet homme du village
! ». Elle restera cachée dans les buissons jusqu’à
leur départ. Qu’avait-elle vue pour s’écrier
ainsi ?
Septième miracle:
Un homme sans ailes qui vola dans les airs à l’aide
de ses bras et qui fit des bonds en allant d’un point
à un autre.
Au retour de David WABELADIO PAYI de Nkamba, quelle avait
été la position adoptée par sa famille
? Comment avait-t-il fini par découvrir l’écriture
Mandombe ? Après cette magnifique trouvaille, Papa
Simon KIMBANGU avait-il réellement continué
à se manifester à lui ou pas du tout?
Sources d’informations
• Interview de Gabriel
Patrick Ndion à David WABELADIO PAYI
du 05 mars 2003 à Montataire (Oise), France.
• Interview téléphonique de S.
NGOMA à David WABELADI PAYI
du 22 mai 2011.
• Interview téléphonique de S.NGOMA
à David WABELADIO PAYI du 12 juin 2011.
• Conférence-débat de David WABELADIO
PAYI du 31 mai 2OO3, salle AGECA, 11e arrondissement,
Paris, France.
• Conférence-débat de David WABELADIO
PAYI du 29 mars 2003 à l’université
Paris VIII de Saint-Denis. France.
• Exposé de David WABELADIO PAYI à
Brazzaville en 1998, en présence de Mr François
LUMUAMU _ ministre congolais de l’enseignement
supérieur et de la recherche scientifique,
à l’occasion de la remise des diplômes
aux « Mandombistes ». Centre d’accueil
kimbanguiste du plateau de 15 ans. Brazzaville. Congo.
• Entretien de David WABELADIO PAYI du 28 janvier
2003 avec les membres du CE.DIA.KU (centre de recherches
DIANGIENDA KUNTIMA). Paroisse kimbanguiste de Saint-Denis.
France.
• David WABELADIO PAYI
« Histoire de la révélation de
l’écriture Mandombe »,
Tome 1. CENA Edition. 2007.
• LUSIKILA KUENO BWAYI Jean-Pierre
« L’ECRITURE MANDOMBE : essai de signification
théologico-sapientale et culturelle ».
Mémoire de Licence de théologie. 1998.
Université Simon KIMBANGU (U.S.K), Kinshasa.
R.D.Congo
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NGOMA Saturnin
29 juin 2011
Notes
:
[1].
Avertissement de David WABELADIO PAYI figurant en tête
de « L’histoire de la révélation de
l’écriture Mandombe ».
[2].
Langue maternelle de Papa Simon KIMBANGU qui, à l’instar
de l’Hébreux dans le judaïsme ou de l’Arabe
dans l’islam, a pris beaucoup d’importance dans
le kimbanguisme.
[3].
Village natal de Papa Simon KIMBANGU devenu aujourd’hui
la principale cité sainte du kimbanguisme.
[4].
LUSIKILA KUENO BWAYI Jean-Pierre, « L’ECRITURE MANDOMBE:
essai de signification théologico-sapientale et culturelle
». P 27, (1998). U.S.K, Kinshasa, R.D.C.
[5].
Ville de la R.D.C aujourd’hui débaptisée
Ilebo. A l’époque coloniale, certains kimbanguistes
y furent relégués.
[6].
LUSIKILA KUENO BWAYI Jean-Pierre, Ouvrage déjà
cité. Idem. Page 26.
[7].
Idem. Page 27.
[8].
Office national des transports.
[9].
LUSIKILA KUENO BWAYI Jean-Pierre, Idem. Page 28.
[10].
L’une des 24 communes de Kinshasa, capitale de la R.D.C.
[11].
Traduction du premier cantique.
[12].
Traduction du deuxième cantique.
[13].
Membre du haut clergé kimbanguiste résidant à
Nkamba.
[14]
. Exposé déjà cité de David WABELADIO
PAYI à Brazzaville.
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