Simon,
seul et livré à une immensité d’hostilités
Il luta ferme, en
1921, pour rassembler ses brebis égarées.
Muni du sceptre
royal, il guida en toute sécurité son
peuple
Oublié, sur
le chemin où tout pousse, afin que celui-ci œuvre
Noblement pour la
postérité universelle de son NOM.
KIMBANGU, par la
puissance de sa vie avait fait goûter aux
Incrédules,
la grâce du Seigneur Jésus-Christ et du
renouveau.
Maître des
âmes, il marcha sur les ronces de son destin sans
trembler.
Bourreaux et tortionnaires
avaient cru être parvenus à sangler
Autour de lui le
parfait mystère de son omniscience.
Né, pour
régner de toute éternité, sa mort
en 1951 ne fut qu’une échéance
Galvanisant la communion,
la repentance des foules enseignées.
Un vendredi, il
prit son envol pour une renaissance dans un corps sanctifié.
KIANGANI, axe porteur
des deux premiers patronymes scellant
Incontestablement
le corps du Saint-Esprit et de son amour infiniment
grand,
Aucune force extérieure
ne déracinera la souche de l’arbre de la
vie.
Né en 1951
des desseins de la divinité, le conquérant
du monde a redéfini
Grandeur et sagesse;
guerrier défenseur des tourmentés qui
trouvent asile
Auprès de
lui, il répand avec abondance les promesses d’un
avenir paisible,
Nourrit d’espoir
cette recherche malhabile de la demeure de Dieu.
Insigne honneur
que d’être formé, par l’Esprit
qui vient des cieux!
BOUKOU
Hélène Gisèle
Presse Kimbanguiste Paroisse de Rennes,
France
11 octobre 2010
|