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Messages et prières de chefs Spirituels


MESSAGE CIRCONSTANCIEL DU CHEF SPIRITUEL DU 25 MAI 2010, AU CENTRE D’ACCUEIL DE KAVAVUBU, A KINSHASA
Source : Presse Kimbanguiste, Rennes, France.

Pour la commémoration riche en contenu spirituel et parée de couleurs, de la nativité du Christ Papa DIALUNGANA, le Chef Spirituel Papa Simon KIMBANGU KIANGANI a dérogé à son rituel qui consiste au fait qu’il passe la plupart des fêtes à Nkamba. Exceptionnellement, en cette date du 25 Mai 2010, il a décidé de célébrer ce grand événement très significatif dans la ville de Kinshasa, au Centre d’Accueil kimbanguiste de Kasavubu. Cette date révélatrice est celle de la naissance d’un homme qui, pendant des décennies, s’est caché des hommes en dissimulant à l’humanité entière, sa véritable identité, en dérobant des regards inquisiteurs, son royal trône de Roi des rois. Pendant que les hommes continuent, dans leur ignorance ou dans leur opiniâtreté, à chercher et à espérer la venue du Messie, Papa DIALUNGANA le Christ, est revenu parmi les hommes pour remplir la promesse scellée et puis, il s’en est allé tout doucement, le 16 Août 2001 pour occuper à nouveau et pour toujours son trône de gouvernant céleste.

Après cette introduction, nous allons à présent entrer dans le vif du message. La profonde satisfaction du Chef Spirituel s’est réellement fait ressentir par l’intonation de sa voix et par la chaleur de ses propos. Il n’a cependant pas omis d’évoquer les sempiternelles souffrances du monde qui ne font que s’accroître, ce qui ne le laisse pas indifférent et qui lui a fait dire qu’il est temps d’agir pour y mettre un terme, mais, ce sont principalement nos prières qui contribuerons énormément à nous libérer du carcan des maux indicibles qui compriment notre corps et notre esprit. Après maintes recherches et études creusées en profondeur par les historiens, une lueur nouvelle commence à poindre et à faire entrevoir au monde qui comprend peu à peu, que la stupéfiante réalité n’est plus à dénier, réalité qui n’est autre que la sainte Trinité « siège » et repose au sein de la race noire.

Nous, peuple noir, détenteur de cette Vérité qui tend à bouleverser goutte à goutte la conscience du monde, nous avons désormais le devoir fondamental d’étancher la soif de tous ceux qui chercheront à s’abreuver à la source qui a pour débit, Simon KIMBANGU, le Saint-Esprit. Depuis l’origine des temps immémoriaux, nous n’avions pas compris d’un iota, que nous étions le peuple élu de Dieu, et par ignorance de ce haut privilège, nous nous sommes enlisés dans la fange marécageuse du péché. Mais à présent que nous avons pu retrouver notre identité par la clémence de celui qui lave et qui purifie par le pardon, notre dignité d’homme noir nous a été rendue. Le devoir qui doit primer en nous désormais est celui de rétablir la Vérité et de la répandre dans l’ordre des choses telles que Dieu les avaient définies.

Jésus s’exprimant beaucoup en paraboles, les moins nantis du savoir et les érudits en théologie de cette époque-là, ne comprirent rien à l’essence pure de son enseignement qu’ils finirent par considérer comme des affabulations, ou comme des provocations ostensibles, impertinentes, surtout lorsqu’il leur annonça avec la sûreté et la témérité d’un Maître absolu, qu’il détruirait le temple et le reconstruirait en trois jours. Avec la fine sagesse qui le caractérisait, il venait en fait de leur livrer le message de l’imminence de la disparition physique de son corps qui était le Temple divin, et qui ressusciterait au bout de trois jours.

En faisant lire l’Evangile selon Mathieu aux chapitres 21 : 33 – 46 puis, 24 : 3 – 14, le Chef Spirituel a démontré tour à tour, la pure méconnaissance des pharisiens qui se croyaient pourtant très instruits ; la prédiction des malheurs qui s’abattraient sur la terre. Déstabilisés au plus profond d’eux-mêmes, blessés à vif dans leur amour propre, ils pourchassèrent et accablèrent l’être innocent qu’était Jésus. Par un savant scénario, Ils le chargèrent de plusieurs chefs d’accusations dans lesquels il n’était même pas impliqué, ils l’accablèrent de méfaits qu’il n’avait pas commis. Leur aveuglément les conduisit à le faire mourir, comme nous le relate les écrits bibliques. Mais peu avant qu’il ne soit hissé au sommet de son clavaire, Jésus, s’adressant au peuple leur dit : « J’ai un autre troupeau qui ne paît pas ici et c’est en son sein que j’élirai celui qui viendra accomplir une grande mission en mon nom : celle de sauver la terre entière ».

Au moment de sa crucifixion, une longue série de catastrophes insurmontables se déclencha : le temple se fendit, le sceptre de Moïse disparut mystérieusement, ainsi que les tables des dix commandements et le coffret renfermant la manne. Jusqu’à ce jour, ces symboles bénis qui représentaient tant la présence divine, sont fébrilement recherchés dans le monde, par ceux qui en étaient les propriétaires. Mais peine perdue ! Dans un proche avenir, l’esprit de vérité, Papa Simon KIMBANGU KIANGANI, révèlera que c’est lui qui détient ces emblèmes sacrés dont ils ont été dépossédés.

Les portes de Jérusalem sont ouvertes ; la voie est libre pour ceux qui désirent revenir là où est leur vraie place, car le moment de trancher est très proche ; tout jugement appliquera sa sanction. Nous n’avons plus le droit de nous arrêter car nous avons trente ans de retard à rattraper. Allons de l’avant et aspirons à une paix universelle !

Par BOUKOU H. Gisèle, Presse Kimbanguiste, Rennes
Le 27 mai 2010



 
 
 
     
         
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