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Noël, le 25 Mai
Le christianisme est la première force spirituelle du
globe avec plus de 2 milliards de croyants, l’immense
majorité des chrétiens fêtent noël
le 25 décembre. A l’inverse une minorité
des chrétiens fêtent Noël, le 25 mai, la véritable
date de naissance de notre Seigneur Jésus-Christ.
En effet, c’est connu de tous que la date du 25 décembre
consacrée à la nativité de Jésus-Christ
est conventionnelle…C’est-à-dire une pure
imagination humaine.
En 375, l’église de Rome sous le Pape Julius I
confirma que la date de naissance du Christ fut le 25 décembre.
Cette « découverte » fut acceptée
par les chrétiens, et depuis, la Noël est célébrée
en cette date.
Cependant, cette date n’est autre que celle de la naissance
de Mithra, divinité de la lumière païenne
d’origine perse et très répandue à
l’époque à Rome antique. L’annonce
faite par l’église visait tout simplement à
« concilier » christianisme et mithraïsme ;
de façon à emmener ainsi les païens convertis
de force à accepter de fêter plus facilement l’anniversaire
de Jésus-Christ. On fêtait le 25 décembre,
pour le solstice d’hiver, la naissance de Mithra le soleil
invaincu.
Christ est le principe même de la vérité.
En effet, la Bible révèle que Jésus-Christ
est la lumière venue dans le monde pour dissiper les
ténèbres, les ignorances…( jean 8 : 12).
Pourquoi fêterions-nous alors la nativité de celui
qui inspire les prophètes depuis les temps anciens à
une date imaginaire ? C’est comme s’il n’est
plus capable de nous révéler la vraie date devenue
énigmatique.
Les autres chrétiens, par contre, ruminant un esprit
pseudo-chrétien prennent l’attitude de fuite pour
effacer dans leur conscience cette fête de nativité
de Christ, quelle qu’en soit la date.
Ainsi chaque année, on remarque que de plus en plus de
chrétiens célèbrent Noël à
plusieurs dates : 25 décembre pour les catholiques, les
protestants, pentecôtistes…, 6 janvier pour les
orthodoxes… Ils rendent ainsi caduque la grande prophétie
d’Esaie 9 : 6, où l’oracle de l’Eternel
indexe cette solennité de la naissance du Christ.
Depuis la mort de Jésus-Christ, le monde en général
et l’église en particulier étaient entrés
dans « la période de nuit » (Jean 9 : 4 ;
Luc 21 : 24), où la Grande Babylone a détourné
les enfants de Dieu vers l’apostasie (Daniel 7 : 25).
Au temps messianique, le temps de rétablissement de toute
chose, tout ce qui est partiel doit être aboli pour accéder
à ce qui est parfait et à la connaissance entière
(Daniel 12 : 4 – 1 ; Mt 15 : 13). Christ à son
tour fera toute chose nouvelle ( Apocalypse 21 : 1-5), car il
avait déjà promis le transfert du royaume de Dieu
à une autre nation, Mathieu 21 : 43.
Le temps est déjà là. La vraie date de
Noël, c’est–à-dire de la naissance du
Christ est connue : c’est le 25 mai.
L’Eglise Kimbanguiste, qui a ainsi proclamé devant
la face du monde non pas le changement de la date de naissance
de Jésus-Christ, mais plutôt la révélation
de la vraie date de naissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ,
a le devoir d’instruire l’humanité sur cette
vérité fondamentale ; car l’Esprit de Dieu
n’est présent que là où se dit la
vérité, surtout lorsqu’elle concerne les
Etres célestes.
Voici plus de 2000 ans que Jésus-Christ naquit à
Bethléem en Judée et voici plus de 2000 ans aussi
que les exégètes de la Bible se sont perdus dans
la lecture de cette fabuleuse histoire divine, jetant ainsi
dans l’erreur des milliards de croyants à travers
le monde. C’est pourquoi, Papa Simon Kimbangu, révélateur
des choses cachées, avait accompli sa mission par le
biais de ses Enfants, les détenteurs des pouvoirs de
leur Père.
Oui, à Bethléem, Christ naquit en brousse et aussitôt,
il fut visité par les rois mages venus lui offrir des
cadeaux.
Non, il ne naquit guère au mois de décembre pour
plusieurs raisons :
D’abord, pour les Kimbanguistes, le magistère,
c’est-à-dire la parole dite par Dieu, l’Etre
omniscient, ne peut avoir d’autres alternatives. Elle
est la vérité révélée qui
se confirme au fil du temps.
Secundo, des éléments scientifiques et historiques
indéniables appuient la révélation. En
lisant Luc 1 : 35–56, Il y eut l’ange Gabriel qui
annonça à Joseph et à Marie l’état
de conception de leurs fils, au sixième mois de l’année
; le mois Ellul du calendrier hébraïque d’alors,
équivalent au mois de Septembre du calendrier chrétien
de notre époque. Partant de Septembre, la naissance ne
pouvait intervenir qu’au mois de mai.
Tertio, l’Empereur Auguste n’avait jamais convoqué
un recensement en temps de grand froid pendant lequel la vie
à l’extérieur est inimaginable pour un bébé.
Et les bergers à leur tour ne paissaient guère
non plus leurs bétails dans le froid atroce du mois de
décembre.
Ensuite, la renommée du Christianisme en Orient fut récupérée
par les adorateurs du roi soleil, Mithra qui, par convention
avait lié à cette date de naissance du roi soleil
la naissance de Jésus-Christ, dont malheureusement les
chrétiens eux-mêmes ne connaissaient pas avec exactitude
la date. Ils furent donc embarqués d’autorité
à ce qui ressemble aujourd’hui à une vraie
supercherie.
Enfin, le Christ a promis sa nouvelle venue, bibliquement annoncée
en temps de guerre et de tremblements de terre et géographiquement
située dans Apocalypse 3 : 11-12. Lisons : « Je
viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne
ne prenne ta couronne. Celui qui vaincra, je ferai de lui une
colonne dans le Temple de mon Dieu, et il n’en sortira
plus ; j’écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et
le nom de la ville de mon Dieu, la nouvelle Jérusalem
qui descend du ciel d’auprès de mon Dieu, et mon
nom nouveau ». Fin de citation.
Ceci est la révélation profonde de la Nouvelle
Jérusalem qui est N’kamba et du nom nouveau de
Jésus-Christ qui est Dialungana, qui veut dire Accomplissement.
N’est-ce pas que Christ avait dit qu’il était
venu non pour abolir la loi, mais pour l’accomplir ?
Voilà ce qui nous renvoie clairement à la naissance
de papa Dialungana Kiangani Salomon Paul, né le 25 mai
1916 et qui le signifia au monde le 25 mai 2000, un an avant
sa transfiguration.
Les trois jeunes pastoraux de Fatima au Portugal n’avaient-ils
pas vu la vierge Marie leur apparaître puis leur annoncer
le 13 mai 1917 l’existence de Jésus-Christ au nord
de l’Angola ? Avant son immolation, la prophétesse
Kimpa Vita avait à son tour annoncé le 2 juillet
1706 ce même Christ, dont la naissance devait avoir lieu
au nord de Bangu, c’est-à- dire sur le territoire
de l’actuelle République Démocratique du
Congo.
Le Pape Jean Paul II n’avait-il pas déclaré
en 1980 au Kenya que « Dieu est noir et Christ est africain
» ? (Jeune Afrique économie n° 135, page 138,
1990 ). Cette déclaration avait été faite
au cours de son premier voyage en Afrique .
A Bethléem, lors de sa toute première venue, le
Fils de Dieu naquit bien en cette date du 25 mai et prit le
nom d’homme de « Jésus ». C’est
vraiment l’Emmanuel c’est-à-dire Dieu avec
les hommes. A sa seconde venue à N’KAMBA Nouvelle-Jérusalem,
il naquit également à la même date. Ô
Mystère quand tu nous tiens !
Or, que signifie ? « il est descendu jusqu’en bas
sur la terre. Celui qui est descendu, est aussi celui qui est
monté plus haut de tous les cieux, afin de remplir tout
l’univers » (Ephésiens 4 : 9 – 10).
Le second avènement s’est produit à l’identique
du premier, c’est-à-dire conçu du Saint-Esprit
et d’une femme. Le Messie né dans la chair ici-bas
sur terre est revenu en vérité comme le Fils de
l’homme.
L’Apocalypse 12 : 5, déclare : « Elle
enfantera un Fils, qui doit paitre toutes les nations avec une
verge de fer. Et son enfant fut enlevé vers Dieu et vers
son Trône ».
L’homme qui doit mener toutes les nations avec un sceptre
de fer, c’est le Seigneur du Second Avènement.
Il est dit dans ce passage précité qu’il
naitra d’une femme. Evidement, il naquit le 25 mai 1916
à Nkamba de Marie Muilu et de Simon Kimbangu le Saint-Esprit.
Le prophète Zacharie, dont les visions annoncent aussi
le rétablissement de l’œuvre de Dieu et les
deux venues du Christ, nous instruit dans cette prophétie
: « Voici, un homme, dont le nom est germe, germera
dans son lieu, et bâtira le Temple de l’Eternel
; il portera les insignes de la majesté ; il s’assiéra
et dominera sur son Trône , il sera sacrificateur sur
son Trône , et une parfaite union régnera entre
l’un et l’autre ». Zacharie 6 : 12 -13.
Comme l’indique son nom, Dialungana, c’est-à-dire
l’accomplissement, a bâti le Temple de la dernière
alliance ( Agée 2 : 9 ; Ezéchiel 43 : 7-10 ; Apocalypse
11 : 1 - 2). Il a par la suite assumé dans la chair la
responsabilité de la demande de pardon du péché
d’Adam et Eve, nécessaire pour une restauration
complète de l’homme, laquelle doit également
établir la famille idéale désirée
par Dieu qui règnera dans les nouveaux cieux et la nouvelle
terre.
Christ est donc revenu sous un nom nouveau à la Nouvelle
Jérusalem (Apocalypse 3:12 ; Apocalypse 14 : 1 ; Es.
62 : 2-12) , sur la terre nouvelle déterminée
par l’Eternel, placée au centre de l’Afrique
( Es 19 : 19 - 25 ; Sophonie 3 : 8 - 12 ), où se trouve
le symbole du royaume de Dieu : Le cadavre qui n’a jamais
connu de décomposition ( Luc 17 : 37) et qui constitue
le Sanctuaire de la dernière alliance ( Apocalypse 21
: 3 ; Ezéchiel 43 : 7 ; Ezéchiel 37 : 26 - 28
).
Dialungana est donc le Christ de
la seconde venue, qui s’est révélé
sous l’apparence d’Esaie 53 : 1-7 , il reviendra
de façon ostensible et reconnaissable, «
dans la gloire de son Père, avec ses anges » (Mt
24 : 30) et « tout œil le verra » (Apocalypse
1 : 7 ).
Le Christ dans sa gloire transcendera toutes les Eglises, il
réalisera le but de la création : Etablir un nouveau
monde sous la domination de Dieu. L’unique Eglise de Jésus-Christ
sera connue de tous, celle qui est bâtie sur le sommet
de la montagne sainte : N’kamba la Nouvelle-Jérusalem
(Zacharie 8:3; Jérémie 3:17; Zacharie14 : 9 -10;
Apocalypse 7 : 9 -17).
Le Christ a promis un événement majeur désigné
en Kikongo par le terme « LAYISUA » (enlèvement).
Quand cela arrivera, les morts qui étaient des vrais
croyants ressusciteront. Par contre, ceux qui se trouveront
encore sur la terre seront transformés et recevront un
corps incorruptible (1cor 15 : 51 - 55 ).
Le « LAYISUA »
est un jugement qui mettra à nu la vérité
sur la relation de chaque homme avec Dieu. Le jugement dernier
est un appel à la conversion, en ce sens que Dieu donne
encore aux humains « le temps favorable, a la repentance
» (2cor 6 : 2 ).
La Noël est la célébration de l’alliance
de Dieu avec l’homme ( Apocalypse 21 : 3), car Dieu s’est
fait homme, elle annonce aussi, l’imminence retour glorieux
du Christ avec ses saints pour le jugement final (Mt 25 : 31-32).
La parole de Dieu annoncée par le prophète du
Saint-Esprit nous dit : « … je te jugerai dans le
lieu où tu as été crée, dans le
pays de ta naissance » Ezéchiel 21 : 35.
Nous serons jugé sur le lieu de la création. L’Afrique
n’est-elle pas le berceau de l’humanité ?
Là où on à été crée
?
Dieu est noir, la Bible nous donne beaucoup des références
par les prophètes : Ezéchiel 1 : 26-28 ; Ezéchiel
40 : 2-5, Daniel en fait autant au chapitre 10 : 5-6, ainsi
que dans Jean : l’Apocalypse 1 : 12-16, ces versets nous
indiquent que Dieu a l’aspect d’airain (bronzé)
c’est-à-dire : noir.
Le fondement doctrinal du Kimbanguisme a trois sources théologiques
: la Bible, les paroles prophétiques du chef Spirituel
et les chants inspirés.
Un cantique de Noel divinement inspiré, confirme clairement
nos allégations. Le voici :
« C’est en elle que
la grâce s’est manifestée.
Oui, c’est à travers Marie, dans une
contrée de Juda, qu’est né Jésus
dans une crèche.
Les bergers, les mages se sont déplacés
pour lui rendre hommage à Bethléem.
Dans leurs trésors, des pièces en
or emportées pour présenter comme
cadeaux au nouveau né, le Roi des rois, c’est
lui Emmanuel qui signifie Dieu avec nous.
Une étoile leur est apparue pour indiquer
l’endroit où il a été
mailloté.
oui, le Messie, le sauveur est né.
C’est aussi en elle que la grâce s’est
manifestée.
Oui, c’est à travers maman Marie Muilu
Kiawanga, en 1916, que la race noire a été
honorée de la seconde venue du Christ.
En 1916, il est né.
Oui, Dialungana est né.
Venez et manifestons notre joie ! C’est Noel
Venez et réjouissons-nous ! C’est Noel
Venez et rendons-lui hommage ! C’est Noel
Venez et glorifions-le ! C’est Noel
Kimbanguistes, entonnons des louanges ! C’est
Noel
Kimbanguistes, manifestons notre joie ! C’
est Noel
Kimbanguistes, glorifions-le ! C’est Noel
Dialungana est né !”
“NOEL, NOEL ! OUI
! C’EST NOEL “
Chant psaume
de Kimbangu n°36 ( wavewa
yi Maria…Noel) www Kimbanguisme.net
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Publié par David Mankandi Biangue, article complété,
tiré du livre « Le
Kimbanguisme à la lumière des écritures
saintes » page 161-166.
MANKANDI
David Mankandi Biangue
Créil, 26 mai 2012 |
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