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Chroniques
de Paris
Mot du webmaster
Jusque là, le site Kimbanguisme.net
s’est efforcé de ne pas intégrer dans
sa ligne éditoriale les affaires qui minent l’Eglise
Kimbanguiste en France. Quelques fois, nous n'avons parlé
de ce qui a été positif car, loin de nous de
faire croire au monde que tout ne marche pas.
Par ce choix, nous avons voulu nous tenir à l’écart
de certaines légèretés, des mensonges,
des insanités, des cultes de chefs ou même des
guerres de chefs, à la limite de l’aveuglement…
Cette fois, nous allons témoigner. Nous allons parler
de ce que voyons de nos propres yeux, de ce que nous entendons
de nos oreilles: le bien, comme le mal.
Nous allons donc écrire et relayer ce que nous prendrons
pour crédibles, quand nous choisirons nos sources.
Nous savons que l’étalage de certains désordres
ne pourra que nuire à l’image de l’Eglise
Kimbanguiste, notre EGLISE, mais, comprenez que cet engagement,
c'est aussi notre manière de dénoncer les ignominies
qui rongent notre communauté, et cela dure depuis un
bon moment maintenant.
Les intérêts personnels ont tellement pris le
dessus sur celui de l’Eglise que, maintenant, des "tendances"
s’affrontent…
Nous ne pourrons plus nous taire et nous voulons juste être
une autre voix, celle dont le crédo est la
parole de Papa Mfumu'a Mbanza qui dit: "Mbi, ka yi sansa
ngua ko..." (1).
Sans prétention, nous nous contenterons, simplement,
d’analyser les faits... selon les paroles des Chefs
spirituels, selon l’intellect de textes de l’Eglise,
selon les valeurs pieuses du kimbanguisme, …..
Papa Simon Kimbangu Kiangani - SKK - avait dit un jour
: "Soki mutu a lobi na yo - kanga miso, ko kanga
te, kasi fongola
Que ceux qui souhaitent alimenter
cette rubrique, le fassent savoir. Aussi,
le droit de réponse aura bien sa place, ici, pour ceux
qui se manifesteront en ce sens.
Alors, à vos plumes...
disons, à vos claviers!
Webmaster
E-mail: infos@kimbanguisme.net
Paris, septembre 2013

[1]
Mbi, ka yi sansu'anga ko... : Trad. On entretien pas le mal
[2] Si quelqu'un te
demande de femrer les yeux, ne l'écoute pas, gardes tes
yeux grandement ouverts.
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